Ce lundi 25 septembre nous sommes 48 à Commercy pour un parcours de 10 km dans la Forêt de Commercy qui nous conduit à la Fontaine Royale.
Commercy existait dès le 9ème siècle. Au 14ème siècle un château fort est adossé à la Meuse. En 1662, Jean-François Paul de Gondi, Cardinal de Retz, héritier du château, y est astreint à résidence par Louis XIV pour sanction de sa participation à la Fronde. Commercy aux marches du Duché de Lorraine, du Barrois et du Royaume de France, est éloigné de Paris. Le Cardinal transforme le château fort en château résidentiel. Grand chasseur, il aménage des points d’eau dont la Fontaine Royale et son étang pour maintenir le gibier dans sa forêt de 8000 ha.
Martial est toujours fier de faire visiter son village natal aux 26 marcheurs du jour pour une rando qui sera parsemée de quelques gouttes de pluie.
Nous traversons la prairie, puis nous retournons vers le hameau de Saint Martin pour nous diriger vers le carrefour des 4 ponts en suivant l'ancienne voie ferrée.
En passant devant la Croix Mairel, nous rejoignons Sorcy et nous traversons le vieux village et son château, avec une petite halte à l'église.
Agréable rando de 8 km, à plat.
Après les vacances d'été et la vague de covid de la semaine dernière, nous pouvons reprendre les petites randos du mercredi. Nous sommes 12 (11 sur la photo plus l'opérateur) au départ depuis la zone artisanale de Tusey en empruntant l'ancienne voie ferrée jusqu'à l'entrée d' UGNY et retour, soit 5kms sous les ombrages à l'abri du vent et sous la chaleur de cette belle journée.
Cela fait du bien de retrouver les amis et les langues se délient pour raconter les vacances et bien sur quelques petites histoires drôles de notre ami Martial. On se dit au revoir en espérant être plus nombreux dans les semaines à venir.
Daniel
Ce lundi 18 septembre nous sommes 47 à Moncel sur Vair pour un parcours de 10 km. Nous laissons nos véhicules sous la garde d’une belle statue en bois de taille humaine figurant un jardinier sous son chapeau de paille.
Traversant Gouécourt, nous nous dirigeons vers la D3 et la voie ferrée pour franchir le Vair grâce au viaduc. Cet imposant viaduc ferroviaire construit en 1884 sur la ligne Culmont Chalindrey-Toul, long de 153 m, compte 10 arches et possède une voie piétonne. A 30 m de hauteur nous contemplons le Vair. Il prend sa source à Dombrot-le-Sec à peu de distance du col du Haut-de-Salin, près de Contrexéville qu'il traverse, puis reçoit le Petit Vair en provenance de Vittel. Après un parcours de 65,3 kilomètres1, il se jette dans la Meuse au nord de Neufchâteau, au nord-ouest de Maxey-sur-Meuse près de Domrémy-la-Pucelle.
Cet après-midi, nous étions 26 à randonner sur les sentiers de Neuville / Burey.
Après une petite montée sous un soleil en partie masqué par quelques nuages, nous entrons en forêt,
Puis nous descendons vers Burey en Vaux en admirant le panorama.
En traversant Burey, nous rencontrons Jeannot, notre vétéran.
Retour par la vallée de la Meuse.
En arrivant à Neuville, nous sommes invités au pot de l'amitié chez Maryse
Martial
Ce lundi matin du 11 septembre, très ensoleillé, nous sommes 43 à Pagny sur Meuse pour un parcours de 10 km qui fait le tour de la carrière du Révoi et retour par la Chapelle de Massey.
La carrière du Révoi est exploitée depuis 1966. Le gisement de calcaire de 75 m d’épaisseur, constitué de sédiments marins coralliens datant de 150 millions d’année, est recouvert d’une couche de 30 m de matériau marno-calcaire inutilisable soit 850 000 tonnes qu’il faut retirer par an et mettre en décharge. Le calcaire est découpé en quatre fronts de taille de 20 m de haut chacun environ. L’exploitation est réalisée par abattage à l’explosif. Ces explosifs sont introduits après forage de trous de 115 mm par une sondeuse sur chenilles. Le tir est commandé à distance.
Nous étions 15 participants à cette rando, maintenue malgré la chaleur. Nous avons eu le plaisir de retrouver Mélanie en pleine forme.
Au cours de cette rando de 7 kms le Pied Champêtre est intervenu 3 fois pour porter secours à des personnes et des oiseaux en difficultés.
Km 3 : un couple de hollandais était embourbé avec un 4x4 au milieu de la Viole, l'arrivée providentielle d' un quad et les hommes du club ont permis de libérer ces personnes.
Km 5 : arrêt pour soigner les ampoules d'Alexandrine .
Km 6 : Annick et Bernard ont libéré 2 mésanges coincées dans les racines d'un arbuste.
JP
Pour la reprise des randos en après-midi, Denis a modifié le programme pour une rando à partir des carrières d'Euville. Nous sommes 42 à suivre le parcours balisé vers les dernières galeries exploitées.
Les carrières d'Euville ont été exploitées à partir du 15ème siècle et c'est au début du 20ème siècle qu'elles connaissent leur plein essor grâce à deux entreprises qui employaient jusqu'à 1500 carriers. La pierre d'Euville était réputée pour sa dureté et son homogénéité. Elle a été utilisée pour d'illustres bâtiments : Le Louvre, l'Opéra Garnier, le monument du Montsec etc.... A cette époque Euville était la commune la plus riche de France, (proportionnellement à sa population). Actuellement la carrière est encore exploitée par la société Rocamat qui n'extrait que ses propres besoins.
Pour cette reprise des randos du vendredi, nous étions 21 en ce bel après-midi qui sentait l'automne.
Jean Paul nous guide au départ de Vacon sur le chemin au pied du Bois de Monfeu, puis nous montons pour longer la rigole d'alimentation du canal de la Marne au Rhin qui se poursuit jusqu'au tunnel de Mauvages. Nous surplombons la rigole en pente douce bien remplie entre deux siphons traversant les thalwegs vers la vallée de la Méholle.
Puis nous remontons vers le plateau de Monfeu en longeant une grande zone agricole avec une vue à 360° au sommet.
Après la descente, nous faisons une halte devant la source du Vidus qui serait une résurgence de l'Ornain.
Une belle rando de reprise de 7.3 km sous un ciel clément.
Ce lundi 28 août agréablement frais, c’est la dernière marche matinale car en septembre nous reprendrons les marches l’après-midi. Nous sommes 41 à avoir roulé 3 km sur la Voie des Charmes, chemin direct entre Taillancourt et Vouthon Bas.
Vouthon-Bas est le village dans lequel Isabelle Romée, la mère de Jeanne d’Arc, est née en 1377. Elle épouse Jacques d’Arc en 1405 et le couple s’installe à Domrémy. De leur union vont naitre cinq enfants vivants: Jeanne, Catherine, Jacques, Pierre, et Jean. Isabelle déménage à Orléans après le décès de son mari en 1440. Elle demande au Pape Nicolas V de réviser le procès en hérésie qui a conduit Jeanne au bucher en 1431.
En ce beau samedi par un temps clément, nous étions 104 inscrits au Repas Champêtre sous les hauts de Vaucouleurs dans la terrain d'Annie et Pierrot pour fêter la fin de vacances et la reprise, bien que les activités n'aient jamais cessé...
Pour se mettre en jambes, une petite troupe d'une vingtaine de marcheurs a parcouru 8.5 km sous la houlette de Gérard vers Montigny.
Auparavant, le chapiteau avait été monté et les équipes de restaurateurs étaient à l'œuvre : une équipe pour les amuse-bouches et desserts, une équipe pour les entrées, une équipe pour cochon et agneau à la broche et les frites, sans oublier l'équipe du bar.
Ce matin du lundi 21 août nous sommes 38 derrière l’église de Broussey en Blois pour un parcours de 10km à l’ombre des arbres du Haut Bois. Le ciel est pur de ce bleu dont on dit qu’il fait le désespoir du peintre tant il est difficile à reproduire. L’air est encore frais et c’est tant mieux car on commence par une belle côte bien longue au lieu-dit « le Sart », probablement une terre essartée c’est-à-dire défrichée. Les chemins ont gardé l’humidité des récentes averses et toutes sortes de champignons se sont développées. Pour profiter au maximum de la fraicheur de l’ombrage nous décrivons des lacets dans le bois avant de sortir en lisière près de la D194. Nous longeons la lisière au lieu-dit Cachon le Loup. Sur le parcours une croix de pierre aux inscriptions indéchiffrables nous intrigue. Arrivés au lieu-dit « Halbute » nous voisinons avec les éoliennes que Broussey partage avec Bovée-sur-Barboure.
Ce lundi 14 août orageux nous sommes 17 à braver les menaces du ciel à Domrémy devant la maison natale de Jeanne d’Arc dont il est difficile d’imaginer l’état initial.
Anoblie par le roi, exemptée d’impôt, la famille de Jeanne a agrandi la maison qui est cédée vers 1587 aux seigneurs de la région. Les comtes de Bourlémont, puis de Vaudémont, puis de Salm, mettent un point d’honneur à posséder ce lieu de mémoire. Girardin, ancien soldat de Bonaparte, fermier à Domrémy la rachète fin 18ème siècle. Il fait construire une maison devant et s’en sert comme cave à vin. L’Etat rachète, détruit la seconde maison. Pour l’ouverture du musée en 1818, on dalle le sol qui était en terre battue. En 1840 Prosper Mérimée l’inscrit sur la première liste des monuments historiques.
Ce lundi 7 août nous sommes 47 à la baraque de chasse de la forêt de Vaucouleurs sur la route de Sauvoy. Le temps est frais et sec pour parcourir 10 km sur des chemins forestiers un peu humides mais pas boueux malgré les récentes averses.
Partis des Quatre Coupes, nous atteignons le Val du Grand Vaux en longeant la D10 puis nous empruntons la Tranchée Lebon. Un monument a été érigé pour rappeler l’assassinat d’un garde forestier nommé Lebon en septembre 1871. De la plaine Chandant nous gagnons le Petit Terme pour rejoindre la Sommière de Septfond et la route forestière des Lignes Plates.
Une surprise nous attend à la baraque de chasse où, pour fêter son anniversaire, Michel a ouvert une buvette éphémère. C’est donc par un apéritif convivial très apprécié que se termine notre balade.
Mireille
Ce dernier lundi de juillet nous sommes 34 non loin de Rigny Saint Martin et du Neuf Moulin pour un parcours de 9.5 km autour de la Forêt Domaniale de l’Essart. Autrefois l’essartement ou l’essartage correspondait au défrichement d’un terrain boisé avec brûlis des bois inutilisables et épandage des cendres produites en vue d’une mise en culture du terrain défriché. La terre « éssartée » était nommée « essarts ».
La Lorraine est couverte par environ 830 000 ha de forêts dont 221 000 ha de forêts domaniales, 348 000 ha de forêts communales et 261 000 ha de forêts privées. Les forêts domaniales de notre région sont les anciens domaines du Duc de Lorraine, des autres nobles comme la famille de Salm, des abbayes et des évêchés.
En ce dernier dimanche de juillet nous étions 19 au départ de Vaucouleurs pour la randonnée jusqu’à la Chapelle de Sainte Anne. Nous passons devant la Porte de France d’où Jeanne d’Arc partit pour rejoindre le Dauphin à Chinon. A travers le bois du grand Bussy nous rejoignons Montigny les Vaucouleurs. Nous passons devant la Fontaine Jeanne d’Arc reconnaissable à la statue coulée aux fonderies de Tusey. Celle de la rue Sainte Anne, de style néoclassique, reconnaissable à son fronton triangulaire, à ses trois bassins, à sa vasque ornée de têtes de faunes et au dauphin sculpté au pied, héberge une pouponnière de têtards. Nous délaissons le vallon Marchal mais reprenons la vallée du ru Nicole pour gagner à l’ombre du bois, le vallon Sainte Anne. Mais arrivés à la Chapelle Sainte Anne nous constatons que la traditionnelle messe en plein air a été annulée et que le site est déserté. Seuls quelques amis marcheurs nous ont rejoints. Nous somme à présent 27.
En ce vendredi maussade, nous sommes 15 sur le plateau de Sauvigny à l'entrée de la forêt. Nous démarrons sous quelques gouttes de pluie qui vont nous suivre plus ou moins fort par intermittence.
Nous occultons la petite pointe prévue vers le Pré Gérard, puis nous suivons le parcours prévu.
Nous commençons à longer le département 54 (Mont l'Etroit) par une belle petite grimpette rendue glissante par le pluie.
Arrivés à la borne des 3 départements, chacun pose pour la photo dans son département de naissance. Puis nous poursuivons en longeant le département 88 (Clérey la Côte) et nous rejoignons notre point de départ en passant devant la Croix Pancarnel dont nous n'avons toujours pas déchiffré toutes les inscriptions.
Une belle rando pluvieuse de 7 km qui va nous donner de l'appétit.
Pause des randos du vendredi en août : reprise le 1er septembre
Ce lundi 24 juillet nous sommes 28 à Maxey sur Vaise, près de l’ancienne gare. Une belle fresque représente les voies et les quais où attendent les voyageurs, une locomotive à vapeur et ses wagons dans des dégradés de brun et de beige.
Le parcours de 10,8 km qui nous attend présente 215 m de dénivelé. Nous traversons la Vaise auprès d’un lavoir. La Vaise prend sa source au moulin et, après une brève course, rejoint la Haute Meuse à la sortie du village. Maxey compte plusieurs lavoirs présentant des singularités. Le toit à deux pentes de l’un couvre entièrement le ruisseau dont chaque berge est aménagée pour les lavandières. Un autre, le lavoir haut, a été doté d’une crémaillère en 1909 pour adapter son plancher au niveau de l’eau.
En ce vendredi matin, nous étions 18 (soit 16 de plus que pour la marche du 14 juillet à Gibeaumeix....) au départ de la zone de Tusey.
Après une petite montée, nous arrivons sur la plateau où nous profitons d'une vue panoramique sur les villages de Saint Germain, Ourches, les 2 Rigny et Chalaines.
Nous arrivons tranquillement à Ugny, pour la photo devant le tilleul de la révolution.
Le retour se fait en suivant l'ancienne voie ferrée qui a été débroussaillée par le Pied Champêtre et qui est depuis très fréquentée.
Belle rando de 7.5 km parcourue par un idéal temps frais.
Sortie nature organisée par Nicolas AVRIL, animateur du Conservatoire Régional des Sites Lorrains, sur la pelouse calcaire de Beauregard à Maxey sur Meuse.
Matinée très instructive et plaisante au sujet de la faune et la flore pour la petite vingtaine de passionnés.
Pour cette sortie de juillet, nous n'étions que 41 inscrits et finalement, nous nous retrouvons qu'à 37 suite à des indisponibilités de dernière minute. Le car nous transporte jusqu'à Manonville pour une rando proposée par Paul en suivant la vallée de l'Esch dans la Petite Suisse Lorraine.
Nous suivons d'agréables chemins bien ombragés à plat qui nous conduisent en bas d'une grimpette vers le Grouffre de Grimo Santé profond de 56 mètres.
Après cette seule difficulté de la matinée nous redescendons vers le Hameau Saint Jean, puis Martincourt.
Après l'apéritif (bière, porto et jus de fruits), nous pique-niquons dans la bonne humeur, dans un parc bien ombragé au centre du village.
Ce lundi 10 juillet nous sommes 39 sur la D 966 en direction de Gondrecourt au lieu-dit la Croix de Vouthon pour commencer un parcours de 9,7 km à l’ombre du Bois des Fournots.
En quoi cette date du 10 juillet est-elle intéressante ?
Le 10 juillet 1559, Marie Stuart devient Reine de France. Née en 1542, fille du Roi d’Ecosse Jacques V et de Marie de Guise la catholique, arrière-petite-fille d’Henri VII Roi d’Angleterre, Marie est âgée de quelques semaines à la mort de son père. Elle hérite de la couronne d’Ecosse. Elle est fiancée en 1548 à François, fils de Catherine de Médicis et d’Henri II Roi de France. Elle n’a que 16 ans lorsqu’elle l’épouse en 1558. Lorsqu’Henri II meurt le 10 juillet 1559 François II lui succède. Mais François meurt à son tour le 5 décembre 1560. Marie, veuve, doit rentrer en Ecosse. Reine d’Ecosse, elle aura été aussi Reine de France moins de 18 mois. La Reine Elisabeth 1ère, fille d’Henri VIII d’Angleterre, protestante, voit le retour de cette possible prétendante catholique au trône d’Angleterre d’un mauvais œil, la fait emprisonner en 1568 et, prétextant des menées subversives avec l’Espagne, la fait exécuter en 1587.
Ce vendredi 7 juillet nous sommes une douzaine pour étrenner un nouveau parcours de 8 km autour du Bois de Mortemoselle proposé par Jean-Marie. La première étape en longeant le Val des Nonnes puis en grimpant une belle côte, nous conduit à l’ancien Fort d’Ecrouves construit par Séré de Rivières entre 1874 et 1877 sur trois niveaux, et restructuré entre 1906 et 1910. Cette très vaste construction encore en bon état pouvait héberger 1046 hommes et 42 pièces d’artillerie et était équipée en l’absence de puits d’une citerne d’eau de 1300 m3. Elle servit de garnison lors de la guerre 14-18.
Le panorama au sommet de la Verte Côte détaillé sur une table d’orientation, offre une vue étendue de Choloy Ménillot à Charmes la Côte, à Pierre La Treiche, au Mont Saint Michel et à la Côte Barine.
Ce lundi 3 juillet nous sommes 49 à l’entrée de Blénod les Toul pour un parcours de 10,5 km finalement écourté (11,7 km pour les courageux) qui nous fait grimper par le Montant de la Corvée entre le Bois de la Gare aux Chèvres et le Bois de Sorvigne vers Mont le Vignoble en passant devant l’ancien Fort de Blénod.
Le départ est donné à BLENOD-LES-TOUL dont l’église fut construite entre 1506 et 1512 par un enfant du village, Hugues des Hazards, Evêque de TOUL. Elle est entourée par des « loges » qui servaient de grenier et de cave destinées à contenir les grains, les légumes et les vins des habitants. L’Association de Sauvegarde du Patrimoine s’efforce de les réhabiliter. Notre chemin est soudainement barré par des chenilles processionnaires en route vers l’arbre qui hébergera leur cocon.
Après une petite rando dans les bois de Maxey, rendez-vous à la cabane de chasse de Maxey pour un pique-nique en commun.
Il ne manquait rien car tout le monde avait apporté une spécialité : apéritif, salades, plats froids, fromages et une multitude de desserts.
L'après-midi s'est terminé par des jeux et du papotage.
Merci à tous et en particulier à l'animateur et organisateur : Jean Marie sans oublier Lucette.
Pour cette sortie matinale, nous sommes 37 répartis en trois groupes pour une rando vosgienne proposée par Jean Marc.
Après la traversée du village, nous montons sur le plateau et nous cheminons à plat sur d'agréables chemins bien ombragés qui encerclent le château de Bourlémont que nous ne verrons jamais, sauf depuis la route à la sortie du village.
En fin de parcours, nous faisons un petit détour pour visiter un magnifique hêtre tortillard complétement isolé près d'une source.
Retour au village par l'ancienne voie ferrée, après un parcours de 9.5 km et 11km.
Merci à notre vosgien pour ce parcours inédit dans de magnifiques forêts sur d'agréables chemins.
Les randos matinales n'ont pas trop de succès, car nous ne sommes que 17 au départ de l'aire de repos près de Burey la Côte.
Sous la conduite de Gérard, après la traversée du village, nous descendons vers la prairie en direction de Goussaincourt que nous traversons par la rue principale.
Après la montée du Chermont, nous obliquons vers la droite et nous rentrons dans le Bois de Burey la Côte pour profiter de la fraîcheur et de l'ombre.
Nous rejoignons nos véhicules après 8 km d'un parcours bien connu.
Le pagnotin Philippe nous a préparé une sortie à la journée agrémentée d'une visite industrielle et d'un pique-nique.
Un premier groupe de 25 se dirige directement vers le site Derichebourg, pendant qu'un deuxième groupe de 24 fait un circuit pour la deuxième visite programmée une heure plus tard.
La société Derichebourg est spécialisée dans le tri et la récupération des plastiques à partir de déchets provenant de l'industrie et du commerce de consommation. Au final il ressort différentes sortes de plastiques triés qui sont recyclés vers l'industrie pour la création de nouveaux objets.
Après cette visite instructive très appréciée, les 49 marcheurs rejoignent la baraque de chasse pour un apéritif en commun, puis un pique-nique où chacun a pu griller sa viande sur un barbecue allumé par Philippe qui avait aussi transporté tous les pique-niques et glacières.
Le retour se fait par une rando de 8 km en parcourant le Bois du Juré et retour par le chemin du Mont avec de belles vues sur la vallée de la Meuse.
Merci à Philippe et aussi Christiane pour cette belle journée de rando de 12 km pour certains et 14 km pour les autres.
Changement de lieu et d'horaire pour cette rando du vendredi pour cause de chaleur.
Dès 8h45, 21 marcheurs se rassemblent pour entrer dans la forêt communale de Vaucouleurs entre Gombervaux et Sauvoy.
Patrick nous a programmé une rando à plat de 7.6 km sur de bons chemins, parfois herbus, mais en totalité à l'ombre.
Les discussions vont bon train pour se remémorer notre super séjour au Pays Basque qui restera dans les mémoires.
Première rando matinale de l'année qui a été appréciée pour les températures acceptables.
En ce lundi 12 juin, au lendemain du séjour à Hendaye, nous étions 21 à Burey en Vaux pour un parcours écourté de 8,4 km qui nous a conduit de la chapelle Sainte Libaire au Bois de Burey puis retour par la fontaine du lieu-dit « Vignes des Bois ».
Territoire des Leuques occupé par les Romains, cette terre devint partie de la province de Belgique au 1er siècle après JC et plus tard a fait partie de l’Austrasie. Ensuite Burey appartiendra au canton de Vaux puis à la seigneurie de Vaucouleurs détenue par les Sires de Joinville et cédée à la France au milieu du 14ème siècle. Au 15ème siècle la sœur d’Isabelle Romée, mère de Jeanne d’Arc, y demeurait avec son époux Durant Laxart.
La croix de 1618 qui se trouve devant le presbytère représente au revers Ste Libaire patronne des lieux. Le chœur de l’ancienne église paroissiale forme la chapelle Sainte Libaire située au milieu du cimetière. La relique de Sainte Libaire se trouve dans l’actuelle église paroissiale construite en 1777. Représenté sur un des deux vitraux de la chapelle, Saint Elophe est le frère de Sainte Libaire, deux saints céphalophores (qui portent leur tête après la décapitation), lorrains et chrétiens, décapités au 4ème siècle sur ordre de l’empereur romain Julien.
Sous un soleil généreux, le récit des randonnées sur les pentes des Pyrénées atlantiques et sur la côte basque occupe les conversations. Mais les paysages vallonnés qui s’offrent à nous ne sont pas mal non plus.
Mireille
Nous sommes une dizaine à parcourir la vallée de "Sainte Anne" après avoir abandonné nos véhicules à l'entrée du chemin côté Epiez.
Arrivés sur les lieux, les vétérans sont déjà fatigués et s'octroient un peu de repos sous l'abri du site. Après un léger aller-retour en direction de Montigny, nous prenons le petit petit sentier bien ombragé faisant le tour du vallon avec quelques haltes au bord du ruisseau. Tout en appréciant la fraicheur du lieu nous découvrons ici un moulin artisanal sans doute construit par des enfants, là une belle fougère en pleine croissance et aux abords de la chapelle une petite fleur (parisette à quatre feuille) que la doyenne du groupe a baptisé : " braguette à 4 pattes" . Tout le groupe a pensé qu'elle a du prendre un coup de soleil sur la tête.
Après une dernière parlotte aux environs de la chapelle, nous rejoignons nos voitures, bien contents de cette agréable promenade de 5,5 kms.
Daniel
En ce vendredi chaud et ensoleillé, le chalainois Martial guide les 22 marcheurs au départ de la rue de Rouvau..
Nous empruntons le chemin derrière le Petit Chalaines et après un chemin non fauché, nous empruntons le chemin à mi-côte. Suite à la demande de Martial, le chemin a été fauché par l'employé communal. Le foin bien sec était bien glissant et nous avons enregistré 4 petites chutes!!!
Changement de programme au km 2.6 : au lieu de descendre vers la Meuse pour un parcours sans ombre, nous décidons de monter vers la forêt de la Fouée sans allonger le parcours prévu.
Nous suivons le chemin qui mène derrière la Biquotte et nous bifurquons vers la route forestière, puis nous rejoignons le beau chemin de ronde bien ombragé. Après la descente de Rouvau, Martial nous a proposé la visite du robot de traite du GAEC de ses neveux.
Une belle rando de 7.8 km dont le changement de parcours a été apprécié pour bénéficier de la fraicheur de la forêt.
Le soleil et le vent sont bien de la partie ce mercredi pour une petite rando entre MAXEY et TAILLANCOURT-MONTBRAS aller-retour soit: 5,5 kms et 15 jeuniors pleins de vitalité.
Tout d'abord, la photo du groupe puis sur le chemin entre les villages une belle rencontre avec de jeunes cavaliers sur leurs chevaux de course parmi les fleurs sauvages. Au gré de notre périple nous remarquons plusieurs fois de pauvres vieux retraités prenant un repos bien mérité (certains sont déjà bien bronzés). Après un petit tour dans les rues de Taillancourt, nous contournons la grande cité de Montbras en passant devant la mairie et son cadre champêtre où l'un des nôtres en profite pour s'éloigner un peu avec une nouvelle marcheuse : la jeune Nathalie.
Nous repartons alors pour rejoindre nos voitures sans oublier l'arrêt repos désaltérant et chocolaté.
Daniel
En ce lundi de Pentecôte 29 mai, sous un ciel bleu limpide, l’ardeur du soleil tempérée par un agréable souffle de vent, nous sommes 24 sur le parking à la sortie de Vaucouleurs pour une balade de 8 km. Nous montons lentement vers le château de Gombervaux par le lieu-dit « les Terres Froides ».
Sur le site d’un rendez-vous de chasse de Charlemagne, Geoffroy de Nancy édifie le château actuel qui sera terminé en 1351. Le château, entouré de douves, formait un quadrilatère flanqué de quatre tours d’angle circulaires aussi hautes que le donjon crénelé de 22 m. En pénétrant par la « basse-cour » dont le porche a été habillé au 16ème siècle de pierres vermiculées, on passe les douves à l’endroit où se situait la barbacane d’où les paysans de corvée de guet appréciaient s’il fallait permettre ou non l’accès à la cours du château.
27 marcheurs au départ de Pagny la Blanche Côte verts la Tête des Rousseaux.
Tout le groupe est monté jusqu'à la stèle des parapentistes pour une belle vue sur la vallée de la Meuse et ses prairies verdoyantes. Au retour un coucou aux petits veaux de Pagny.
Les 7.8 km ont été parcourus à une allure modérée sous un soleil ardent, ce qui a nécessité un étalement de crème de protection.
Notre virée de ce mercredi venteux mais ensoleillé nous a emmenés dans la verdoyante nature entre les villages de Saint Germain et Ugny sur Meuse. Après le départ en haut du village, nous avons descendu le sentier longeant l'ancienne voie ferrée, (où l'herbe est aussi haute que nous) puis nous avons longé celle ci jusqu'à l'ancienne barrière d'Ugny.
De là nous avons emprunté divers chemins pour traverser divers champs et prairies pour rejoindre notre point de départ après environ 7 kms de marche. Pendant notre rando nous avons pu admirer notre "Meuse" endormeuse, la nature toute verte parfois bien fleurie et même au loin ,perché sur le tronc d'un peuplier, un beau nid de cigognes.
Cette marche, comme chaque semaine fut bien sur agrémentée par quelques agréables arrêts gourmands et de repos pour les 19 joyeux participants.
Daniel
Ce lundi 29 mai 2023 chaud et ensoleillé, nous sommes 44 à Saulxures les Vannes dans la carrière de sable en haut du village, avec une belle vue sur Allamps et Housselmont et au loin Colombey les belles. Notre parcours de 9,2 km (10,7 pour les plus courageux) nous amènera jusqu’au Bois de la Folie non loin de Mont L’Etroit.
De 1618 à 1638, la guerre de Trente Ans et les épidémies de peste ont provoqué une chute considérable de la population lorraine. Ainsi, Saulxures les Vannes n’avait plus en 1710 que 107 habitants. Grâce notamment à l’immigration depuis les provinces voisines encouragée par le Duc de Lorraine Léopold, la population va grimper jusqu’à 922 en 1836.A partir de cette date on enregistre un recul démographique puisqu’il n’y a plus que 680 habitants en 1886. L’épidémie de choléra de 1854, qui a causé 30 décès, a joué un rôle mais c’est surtout la diminution du nombre d’enfants par famille au 19ème siècle qui est à l’origine de cette décroissance. L’exode rural du 20ème siècle a fait le reste. La population était de 374 habitants en 2020.
C'est par un temps un peu frisquet que nous nous retrouvons à 12 personnes dirigées par notre amie Annick pour arpenter les hauteurs de Pagny la Blanche Côte au lieu-dit le bois du Jacques.
Pendant cette belle balade forestière de 6kms parmi les lignes ombragées et à l'abri du vent, nous avons fait une petite halte à la baraque de chasse pour reprendre un peu de force et gouter quelques friandises apportées par notre guide du jour. Tout au long de ce périple nous avons pu découvrir parfois de beaux paysages verdoyants, mais aussi au bord des allées, de longs tas de bois de tous calibres.
Nos jeunes amies ont été très heureuses de pouvoir encore cueillir quelques brins de muguet et autres fleurettes en souvenir de cette agréable promenade.
Daniel
Ce lundi 15 mai nous sommes 54 à la ferme de Louvent près de Lahaymeix pour une sortie à la journée : le matin sur un parcours de 10 km qui emprunte les circuits du Vent des Forêts, puis le repas, et une balade l’après-midi à Benoîte Vaux.
Le Vent des Forêts est un Centre d’Art Contemporain d’Intérêt National en pleine nature dans 5 000 ha de forêt. Il a été créé en 1997 sous forme associative à l’initiative des 6 communes voisines. Chaque année des artistes sont invités en résidence pour créer des œuvres d’art dans la forêt. Ainsi 8 à 10 nouvelles œuvres sont ajoutées annuellement aux 200 œuvres que l’on peut admirer au long des 45 km de sentiers balisés accessibles à pied, à cheval ou en VTT et organisés en 7 circuits de 3 à 14 km. Notre déambulation matinale nous fait découvrir 25 œuvres dont certaines, en voici quelques exemples, marquent plus les esprits que d’autres.
24 marcheurs sont au départ entre Epiez et Badonvilliers pour une rando dans les Bois d'Epiez, où au début l'allure ralentit pour permettre la cueillette de beaux brins de muguet bien fleuri.
Après la traversée de la RD193, nous empruntons un chemin empierré qui nous procure de belles vues sur la vallée de la Meuse. Puis nous suivons le balisage du GR 703 dans le Bois de Burey jusqu'à la chapelle Sainte Anne où nous faisons une petite pause pour une pose photo de groupe.
Retour tranquille vers nos véhicules par la forêt domaniale des Défours, après un parcours de 8 km sous quelques rayons de soleil.
Après la belle journée pluvieuse d'hier; nos vieux amis marcheurs ont dû être refroidis, car aujourd'hui nous ne sommes que "les 6 plus vaillants" pour emprunter les lignes dans la forêt de Vaucouleurs puis Sauvoy sur 4,5 kms. Départ à la baraque de chasse sur la grande "sommière des lignes plates" puis à droite la 1ère ligne nous mène tranquillement après quelques détours sur l'ancienne voie ferrée longeant le CD entre Mauvages et Sauvoy.
Durant ce parcours nous cueillons déjà de beaux brins de muguet, puis traversant le CD entre Sauvoy et Vaucouleurs nous nous attaquons à la grimpette juste en face pour trouver tout plein de clochettes blanches, de quoi élaborer chacun 2 magnifiques bouquets aux exquises senteurs.
Tant pis pour nos peureux et lâcheurs collègues qui ont raté une bien agréable promenade par des chemins ensoleillés.
Ci-joint quelques photos des courageux baladoux et leurs magnifiques bouquets parfumés.
Daniel
Ce lundi 8 mai ensoleillé nous sommes 25 à Maxey à l’entrée du Bois de la Scée, au lieu-dit Sous la Scée, près du poste de gaz pour un parcours de 9,5 km (11,7 km pour les courageux) avec l’ambition de trouver du muguet. Nous repartons vers Maxey pour tourner à gauche sur le chemin qui monte au lieu-dit Le Jeune Juré puis aux lieux-dits les Blusses et Le Grand Chénois. Des températures modérées, et l’alternance de pluies et d’éclaircies ont accéléré la croissance des plantes au sol et des feuilles sur les arbres de sorte que le vert domine bois, champs et prairies. Et dans tout ce vert ce ne sont pas les euphorbes vert pâle, les boutons d’or ou le lamier jaune, les pervenches ou les bugles bleues, que nous cherchons mais de délicates clochettes blanches et odorantes lovées entre deux feuilles vert tendre en forme de pointe de lance.
Dès le départ de Lay Saint Remy, les 26 marcheurs sont obligés d'enfiler les vêtements de pluie pour une averse qui durera jusqu'au km 5.
Après avoir longé le canal de la Marne au Rhin, nous traversons la réserve naturelle des marais sur des planches qui mériteraient un peu d'entretien. Ensuite Nous entamons une montée en forêt en suivant la tranchée des Dames, Puis nous descendons vers les abords de Foug en même temps que la fin de l'averse.
Nous terminons notre parcours de 7.8 km sous un soleil timide, ce qui nous permet d'arriver pratiquement secs.
Nous nous sommes retrouvés à 18 personnes par ce beau temps pour marcher dans la vallée du beau petit village de Lay Saint Remy. Départ depuis le pont à l'entrée du village, rencontre avec de gentilles chèvres puis rando le long du canal avec même la chance de voir passer un joli bateau de plaisance. Nous avons ensuite traversé la vallée boisée et marécageuse en empruntant le parcours de planches (comme à Deauville mais sans la mer et le sable). 2 nouveaux marcheurs sympathiques nous ont accompagnés, Yves le photographe et Patricia (2ème sur le petit pont). Après avoir rejoint et traversé le village nous avons un peu prolongé la balade de l'autre côté du canal avec plus loin l'entrée d'un petit tunnel puis, retour au départ.
Belle et agréable promenade de 4kms environ. RDV est pris la semaine prochaine pour aller cueillir le muguet.
Daniel
Départ depuis la baraque de chasse de Vaucouleurs sous le soleil, puis quelques gouttes de pluie pour les 24 marcheurs.
Dans la descente, nous trouvons un bel arc de cercle d'avrillots où chacun a pu faire sa récolte pour une bonne omelette.
En arrivant à la maison de l'homme des bois, Alain est ravi de nous indiquer un beau rond d'ail des ours près de son jardin pour une belle cueillette.
Ensuite nous cheminons tranquillement vers la Méholle que nous traversons et, puis nous la suivons à travers un véritable champ d'ail des ours.
Sous un beau soleil, nous rejoignons Sauvoy que nous contournons par l'arrière et nous attaquons la dernière côte sous une véritable chaleur printanière.
Beau parcours varié de 8km où chacun rentre avec sa récolte de champignons et ail des ours.
Nous étions 19 au départ à Sorcy sous la conduite de Martial qui nous a promené dans les ruelles avec quelques nom rigolos : rue du GOULOT, des OUILLONS (le C était peut être tombé!!!) ou Ici stationnement autorisé le temps de l’apéro.
Marche très agréable de 5kms par un beau soleil. Merci Martial pour cette balade.
A mercredi.
Jean Marie
Ce lundi 24 avril nous sommes 42 et laissons nos véhicules route forestière Saint Fiacre-Charmes-la-Côte, sur la Côte Balile au-dessus de Charmes. Nous nous dirigeons par le « Grand Bourguignon » vers la ferme de Saint Fiacre pour un parcours de 10,2 km (11,5 km pour les courageux). Au passage, sur un terrain un peu gras, une belle descente nous vaut trois glissades sans gravité.
Saint Fiacre a une longue histoire. En 1516 les frères du Saint Esprit, moines réguliers de l’Ordre de Saint Augustin, s’installèrent au lieu-dit Moyenmont où devait s’édifier la ferme de Saint Fiacre. Ils portaient sur l’habit ecclésiastique, une croix pectorale de 6 branches et à 12 pointes en toile blanche, qui se distingue de la croix de Lorraine par ses extrémités fourchues.
Ce lundi matin 17 avril nous sommes 55 amenés en bus devant l’église Saint André à Orquevaux pour une sortie à la journée. Orquevaux est un village de Haute Marne avec son lavoir et ses vieux ponts sur la Manoise, dont l’activité principale fut longtemps la métallurgie. C’est en 1157 que les moines cisterciens de l’abbaye de la Crête installent les premières forges industrielles. La Haute Marne devient un haut lieu de la métallurgie. En 1847 ce seul département contribuait pour plus d’un cinquième au total de la production nationale mais son activité commence à décliner à partir de 1860. Pour sa part Orquevaux a compté jusqu’à trois forges et deux hauts fourneaux. Mais à la fin du 19ème siècle toutes les friches industrielles ont été éliminées du village. Le château agrémenté de briques roses, construit en 1897 par un descendant de Diderot, abrite en résidence des musiciens, des danseurs et des artistes plasticiens de toutes nationalités dont certaines œuvres se trouvent à la galerie d’art.
En ce beau vendredi printanier, nous sommes 31 au départ de Montigny en direction de la Chapelle Sainte Anne. Martial et son assistant Clément, nous guident dans la Vallée Marchal où les chemins sont encore boueux par endroits à cause de plusieurs petites sources en activité suite à la pluviosité d'avril.
En suivant le balisage des carrés verts nous arrivons à la chapelle Sainte Anne qui est occupée par un petit nid avec 6 œufs prêts à éclore.
Après la photo de groupe, nous repartons par la rive gauche du ruisseau de Montigny en suivant le balisage du GR 703.
Avec les éternels bavardages nous arrivons tranquillement à Montigny après 8.2 km sur un parcours facile et bien connu.
Ce lundi de Pâques 10 avril, nous sommes 24 à Sepvigny pour un parcours de 9,400 km. (La moitié d’entre nous fera courageusement le parcours de 10,8 km plus accidenté). Sepvigny possède deux monuments remarquables.
L’église paroissiale St Evre édifiée entre le XIIème et le XVIème siècle, fortifiée au XVème siècle, primitivement une chapelle devenue église principale de Sepvigny à la suite, au Moyen Age, de la destruction du village situé alors autour de l’église du Vieux-Astre. Le clocher occupe une place inhabituelle entre la nef et le chœur. Entourée de contreforts massifs, dernier refuge en cas d’attaque de mercenaires ou de pillards, aménagée pour se défendre le plus longtemps possible, elle comporte plus d’archères que de vitraux. Sur le côté se trouve une tour basse octogonale également pourvue de meurtrières.
En ce vendredi partiellement ensoleillé, Martial remplace Jean Paul au pied levé pour une rando au départ de Gibeaumeix. Les 23 marcheurs prennent le chemin bien à plat dans la campagne en parallèle à l'Aroffe, puis montent en bordure de forêt pour redescendre vers Uruffe.
Nous traversons le village en admirant les épitaphes, statues et l'ancien lavoir. Après un détour, nous longeons la Départementale 4 pour remonter sur les hauteurs du Timois, où nous bénéficions de belles vues panoramiques sur la vallée de l'Aroffe et sur Gibeaumeix.
Retour en traversant Gibeaumeix après un agréable parcours de 7.3 km dont la fin inédite a été appréciée pour ses belles vues.
C'est par un très beau soleil que 17 randonneurs sont partis du bas de la cote de Rouveau à Chalaines pour une petite balade de 5kms vers le moulin de la Roche, puis le long de la Meuse qui était redescendue.
Retour à Chalaines, mais comme il faisait tellement bon nous avons terminé par une boucle dans le lotissement et retour aux voitures.
À mercredi
Jean Marie
Ce lundi 3 avril nous sommes 55 à Lucey pour un parcours de 10 km (11,9 km pour les courageux). C’est en dominant les vignes que nous prenons la direction de Bruley dont on s’écarte pour passer à proximité de l’ancien Fort de Bruley puis dans le Bois de Pagney pour se diriger vers le Fort d’Ecrouves et plonger ensuite sur Pagney-derrière-Barine.
Nous nous dirigeons vers Bruley au milieu des ceps avec à nos pieds un vaste panorama qui s’étend de la Croix de Metz à Toul à droite, à Francheville, Bouvron, Mesnil la Tour, et au loin jusqu’au immeubles du Haut du Lièvre de Nancy.
En ce vendredi venteux, nous sommes tout de même 22 à Delouze malgré les prévisions météos pessimistes.
Sous la conduite de Patrick, dès le départ nous entamons la seule montée du jour. Le peloton s'étire puis se regroupe sur le plateau, sous quelques rayons de soleil. Au Km 2, nous essuyons une belle et seule averse de 2 minutes. En cheminant dans la forêt, les vêtements sont rapidement secs, grâce au vent.
A la sortie du bois, nous entrons sur le plateau des éoliennes, toutes en activité par ce temps venteux.
Nous rentrons tranquillement vers Delouze par une belle descente avec vue panoramique sur le village.
Rando de 7.8 km parcourue dans de bonnes conditions. Les dieux étaient avec nous, car la 2ème averse est arrivée après notre retour.
En ce lundi 27 mars nous sommes 60 à Vignot pour un parcours proposé par Martial, de 9,2 km (10,8 km pour les plus courageux). Le départ s’opère à l'église paroissiale dédiée à Saint Rémy, qui date du 15ème siècle. Cet édifice fortifié servait de refuge aux habitants en cas d'attaque. Plus récemment c’est l’église qui a accueilli Pierrot et Annie pour leur mariage.
Sur le mur de l’église une plaque honore le soldat Onésime Hélère fait prisonnier en 1870, qui s’évade, erre longtemps dans le pays occupé par les Allemands et parvient à Vignot où il meurt en septembre 1870.
Martial guide les 32 marcheurs dans son village natal. Nous empruntons les petites ruelles les sentiers, les anciens lavoirs. Il est tout fier de nous montrer son ancienne école datant de 1866 qu'il a fréquentée en même temps que Marie Claude, la sorcéenne du jour.
Après une visite de l'église Saint Martin et ses bas reliefs du choeur, nous rejoignons la prairie pour rejoindre nos véhicules.
Une petite rando de 6.7 km entièrement à plat qui a ravi les marcheurs du vendredi.
Par un beau soleil nous étions 22 au départ à Pagny sur Meuse pour une randonnée en 2 parties.
La première au-dessus des carrières pour 2 km.
La deuxième le long du canal : 3km.
Merci Dédé pour cette belle journée.
Jean Marie
Merci à Yoyo et Nathalie pour les succulents beignets distribués à l'arrivée.
Ce lundi 20 mars ensoleillé nous sommes 60 à Greux pour un parcours de 9,8 km dont une partie du parcours du Boldair 2023. Nous traversons la D 166 au lieu-dit « le Rouge Bonnet » et grimpons le thalweg qui nous amène de 282 m à 338 m d’altitude. Nous suivons la limite entre le Bois de Greux et le Bois de Brixey vers le Banc des Roises. Au sol les scilles mettent une touche bleue entre les feuilles mortes. Nous obliquons dans le Bois Brûlé et descendons à travers le Bois de Brixey vers la Chapelle de Bermont.
31 marcheurs au départ de Sepvigny en direction du petit Chalaines sur un parcours de 7.8 km entièrement à plat le long de le Meuse par le GRP Jeanne d'Arc. Retour par le même chemin.
En fin de rando, passage devant l'église fortifiée de Sepvigny, puis visite de la chapelle du Vieux Astre, classée Monument Historique.
Ce lundi 13 mars nous sommes 66 à Toul pour une journée de randonnée hors les murs le matin sur les berges de la Moselle, puis après le repas au restaurant « au Commerce », une balade intra-muros.
La Moselle, longue de 560 m, prend sa source dans les Vosges au Col de Bussang à 715 m d’altitude. Autrefois affluent de la Meuse, elle se jette aujourd’hui dans le Rhin à Coblence. Toul, ville de 17 000 habitants, est traversée par la Moselle et par le Canal de la Marne au Rhin. Historiquement la ville est connue pour avoir été le siège de l’un des trois Grands Evêchés comme Metz et Verdun puis pour avoir été une grande place forte militaire.
En remplacement de la rando prévue à Gibeaumeix, nous avons choisi l'opportunité d'une rando en forêt de Rigny la Salle vers les nivéoles en fleurs dans une zone qui nous était inconnue.
Au départ, nous sommes uniquement 9, conséquence des infos alarmistes des chaines d'info.: pluie et vent fort. Finalement à part quelques gouttes au départ, pas de pluie, ni de rafales de vent, même quelques rayons de soleil...
Après quelques centaines de mètres, nous récupérons 3 marcheurs retardataires qui avaient eu du mal à trouver le point de départ et ainsi nous étions pile la douzaine.
Ce lundi 6 mars, il fait 3° et le ciel est gris, nous sommes 63 sur le parking de la D 966 route de Gondrecourt pour un parcours de 10 km (plus pour les courageux). Ce site a une histoire.
C’est en 1917 que les USA ont déclaré la guerre à l’Allemagne. Le premier contingent américain est arrivé en juin 1917. En quelques mois, plus de 8OOO hommes s’installent dans plusieurs villages du Val d’Ornois. L’aérodrome militaire français installé au nord-ouest d’Amanty est agrandi pour entrainer l’armée américaine. L’aérodrome sert également au Premier Groupe d’Observation et de Photographie Aérienne US. Mais l’arrivée du gros des troupes a mis du temps que les Allemands ont mis à profit en attaquant tous azimuts de mars à juillet 1918. Ils étaient à 65 km de Paris quand les Américains sont véritablement entrés en scène.
En ce vendredi ensoleillé, nous sommes 34 devant l'ancien camp américain d'Amanty pour une rando guidée par Martial, à la recherche de jonquilles.
Nous entrons dans la forêt du Vauhaton sur de beaux chemins blancs. Ensuite nous cheminons dans la forêt d'Abainvile sur d'agréables chemins de terre.
Après plusieurs zig-zags nous arrivons en fin de parcours où apparaissent les tapis de jonquilles qui sont seulement en boutons prêts à éclore, alors que l'an dernier à cette date elles étaient bien fleuries.
Les plus courageux se baissent pour cueillir le bouquet réglementaire tenant dans la main. (Attention aux contraventions...)
Ensuite, retour aux véhicules après un circuit de 7.2km presqu'à plat parcouru au rythme du vendredi
En ce lendemain des fêtes johanniques, nous sommes 58 au départ de Vaucouleurs pour affronter sous un beau soleil, une grande bise de l'est
Les 3 groupes suivent la déviation de Vaucouleurs, puis montent sur le plateau de Neuville pour bien profiter des belles vues et du souffle de la bise. Les deux premiers groupes poursuivent jusqu'au GR 703 et le 3ème groupe bifurque dans la forêt à l'abri du vent. Nous descendons vers le Fond de Viller en passant à côté de la source bleue, bien grise sans les pervenches qui vont bientôt fleurir.
Nous traversons les quartiers ouest du Champ Bojot et de Grivaux, puis descente vers les lieux historiques par les petits sentiers. Nous terminons par les petites ruelles méconnues et délaissées. Au total 9.8km et 11.4km.
Rendez-vous la semaine prochaine pour la rando des jonquilles.
Par ce vendredi brumeux, nous sommes 29 au départ de Sauvoy pour une rando de 7 km guidée par Martial.
Direction le Bois Cheté, où nous longeons entre deux siphons la rigole d'alimentation du canal de la Marne au Rhin. Cette rigole alimentée par l'usine élévatrice de Vacon est seulement en activité lors des basses eaux ou par fort trafic qui vide les écluses.
Après le passage devant l'entrée du château de Béhilleux, nous rentrons à nouveau dans le Bois pour une longue montée pour arriver sur le plateau.
A cet instant nous essuyons quelques gouttes de pluie annoncées par la météo.
Retour tranquille en passant par le chemin à l'arrière des habitations en longeant le canal.
Nous étions 13 pour la rando douce dans les bois d'Amanty pour une marche de 5.500 km un peu gâchée par une petite pluie fine.
Autre déception : pas de jonquilles, car un grillage de 4m de hauteur sur des centaines de mètres nous empêche de rentrer dans les bois.
déception vite passée, car marie Ange nous réservé une petite surprise faîte de douceurs de mardi-gras dans une ambiance formidable qui a duré un bon moment.
A mercredi
Jean Marie
En ce lundi printanier ensoleillé, 48 marcheurs sont prêts au départ. Pierre nous a guidés à partir de Broussey en Blois en direction de Naives en Blois à travers la campagne.
Les 3 groupes se suivent puis se perdent de vue. A proximité de Naives, nous marchons sur un chemin blanc en réfection avec des engins en pleine action.
Après la visite du monument aux morts de 2006, puis du lavoir, nous remontons la côte vers le retour.
A 1km de l'arrivée, les 14 plus fatigués rejoignent directement Broussey et les autres poursuivent sur le parcours prévu en montant sur le plateau et retour par le bois de Broussey.
C'était la journée des parcours à la carte, puisque certains ont parcouru 9 km, d'autres 11km et les plus vaillants : 12.5 km.
En ce vendredi brumeux, nous sommes 21 à l'entrée de Lay Saint Rémy pour une rando de 7.8 km encadrée par Jean Marie.
Après la traversée du canal de la Marne au Rhin, nous montons vers la Pelouse qui nous mène jusqu'à l'entrée de Foug. Nous montons tranquillement la côte du cimetière jusqu'au plateau de la Louvière pour entrer dans le Bois de Romont.
Après la descente nous suivons la route de Trondes et en longeant la voie ferrée nous arrivons dans les marais : zone naturelle sensible gérée par le Conservatoire des Sites Lorrains où nous cheminons sur une allée surélevée lattée.
Nous arrivons à notre point de départ à un rythme de sénateurs puisque les plus lents marchent en tête.
Par ce bel après midi ensoleillé sous15 degrés, nous étions 16 au départ à UGNY et c'est avec un plaisir immense que nous avons accueilli notre ami Dédé et son épouse Bernadette, ainsi que Claudette.
Rando de 5km dans la nature qui commence à donner quelques fleurs.
À la semaine prochaine.
Jean Marie
En ce beau lundi ensoleillé, nous sommes 46 au départ sur les hauteurs de Brixey pour un parcours qui permettra de reconnaître une partie des circuits du prochain Boldair.
Au départ les 3 groupes se suivent, puis se doublent plusieurs fois du fait des extensions de parcours.
Après un arrêt au point de vue vers la plaine de Colombey les Belles et ses beaux villages, nous descendons vers Jubainville avec un arrêt devant l'église.
Puis nous entamons une longue montée qui nous procure aussi un beau panorama sur les villages vosgiens de Ruppes, Punerot, Clérey la Côte et aussi Mont L'Etroit (54).
Après un passage d'arbres couchés, un beau raidillon a été franchi allègrement!!! Pour nous reposer de ces efforts, la suite est entièrement à plat. Nous terminons notre parcours de 9.7 km en compagnie du 2ème groupe qui nous a rejoints à la sortie du Bois de Hazaumont.
Avec le retour des beaux jours, c'est aussi le retour des marcheurs, puisque nous sommes 38 au départ de Mauvages. Après présentation de trois futurs adhérents d'Ecrouves et Vannes le Châtel, nous entamons la rando en suivant la grande rue puis le chemin desservant les arrières des habitations.
Comme c'est une marche du vendredi les plus lents marchent en tête et personne ne doit les dépasser. Après une rapide visite de la chapelle ND de Bonne Espérance, nous rejoignons l'ancienne voie ferrée puis un chemin blanc qui nous mène vers le Bois de Dongermain. Nous entamons alors une montée qui est la seule difficulté du jour.
A la sortie du Bois nous rejoignons l'entée du tunnel du canal de la Marne au Rhin. Avec ses 4877m, il est le 2ème plus long tunnel de canal de France. Nous suivons le chemin de halage pour l'ultime photo devant la fontaine lavoir du Deo, classée monument historique.
Une agréable rando facile de 7.6 km, parcourue au rythme du vendredi. Merci à tous d'avoir bien respecté les consignes.
Nous étions 16 au départ de la rando à Rigny Saint Martin vers Gibeaumeix et par des chemins très propres.
Après une longue absence, retour de Francine Noël que nous avons accueillie avec un grand plaisir.
Petite marche de 5kms 400 par un magnifique soleil.
A mercredi prochain.
Jean Marie
En ce lundi 6 février ensoleillé, nous sommes 55 sur le territoire de la commune de Rigny Saint Martin, non loin de la ferme du Neuf Moulin, au lieu-dit Quatre Vaux pour faire en 10 km le tour de la forêt domaniale de l’Essart.
Au 13ème siècle le site de Rigny est rendu célèbre par les diverses entrevues entre le Roi de France et l’Empereur Germanique, et surtout l’entrevue de Quatre-Vaux en 1299 entre Philippe Le Bel roi de France (1268-1314) et Albert de Habsbourg empereur du Saint Empire Romain Germanique (1250-1308). On discuta du mariage de Blanche de Flandres, sœur de Philippe et de Rodolphe de Habsbourg fils d’Albert, et les deux souverains déterminèrent la limite de leurs Etats en reconnaissant le fleuve Meuse comme frontière commune.
En ce vendredi par un temps couvert, mais sans pluie Jean Marie propose aux 23 marcheurs une rando au départ de l'ancienne piscine de Commercy. Après l'allée des Tilleuls, nous montons la Pocherie, puis descente vers la Vaine Vau.
Ensuite remontée vers la route de Void en passant devant l'usine Safran. Nous redescendons vers la zone de la Louvière et le Quartier Oudinot.
Nous entrons dans la ville et passons par l'arrière du château Stanislas en suivant un agréable circuit de promenade que certains découvrent.
Nous rejoignons nos véhicules en suivant l'avenue Voltaire après un parcours bien apprécié de 7.8 km
Nous étions onze au départ avec 2 nouvelles marcheuses : Véronique de Blénod et Alexandrine de Vannes le Chatel.
Rando de 5kms sur le chemin de Sainte Anne par un chemin bien gras et retour par le village de Montigny.
A l'arrivée Brigitte nous avait réservé une petite surprise (gaufres et cidre) pour nous requinquer de nos efforts.
Jean.Marie
Ce lundi 30 janvier dans la brume, nous sommes 49 à Abainville pour un parcours de 10 km qui nous amène à Gondrecourt le Château.
Abainville fut peuplée dès l’époque mérovingienne comme en témoigne la nécropole des 6ème et 7ème siècles retrouvée dans les années 1970. Au 19ème Abainville possédait des forges très importantes qui contribuèrent à la fabrication des rivets de la Tour Eiffel. Le village est traversé par l’Ornain qui naît au Sud de Gondrecourt-le-Château de la confluence de l’Ognon et de la Maldite, traverse 39 communes sur 116 km avant de se jeter dans la Saulx à Etrepy. La Saulx est un affluent de la Marne.
Le Pied Champêtre partenaire du collège de Vaucouleurs
Pour financer le voyage des élèves de 6ème dans les Alpes, une marche nocturne était organisée par l’Association des Parents d’Elèves du Collège de Vaucouleurs, samedi 28 janvier à 18h00. Deux parcours avaient été créés et balisés par le Pied Champêtre.
L’un de 5 kilomètres, balisé en orange, passait par la maison de retraite, serpentait sur les hauteurs de Vaucouleurs, empruntait le parcours de santé avant de redescendre dans la ville. L’autre de 9 kilomètres, balisé en jaune, montait sur le plateau de Bussy pour rejoindre Burniqueville, puis par la vallée du ru Nicole, atteindre Montigny les Vaucouleurs où se tenait un poste de ravitaillement organisé par la municipalité, Madame le Maire en tête : boissons, vin chaud et brioche. Ensuite retour à Vaucouleurs à travers le bois « le Grand Bussy ».
Les deux traversées de la D960 étaient sécurisées par des animateurs du Pied Champêtre. Munis de lampes, gants et bonnets, un peu plus de cent inscrits de tous âges se pressaient avec animation dans la cour du collège au moment du départ, certains adhérents à un club, d’autres simplement amateurs ou parents et amis d’élèves. Parmi eux une jeune femme hémiplégique délaissait son fauteuil roulant pour une joëlette, véhicule adapté pour permettre aux personnes à mobilité réduite de suivre les marcheurs valides sur les chemins de randonnée. Tirée et poussée par deux marcheurs du Pied Champêtre, elle allait effectuer le parcours de 5 kilomètres.
La nuit était bien noire lorsque le dernier groupe est parti accompagné par des animateurs du Pied Champêtre dont la mission était aussi de ramener les éventuels égarés et d’enlever les balises. Pendant ce temps au retour, des bénévoles offraient une bonne soupe et faisaient sauter les crêpes qui allaient réchauffer les marcheurs affamés à leur retour et dont la vente allait compléter le pécule du voyage.
Belle soirée de solidarité multi-gérationnelle envers les jeunes.
Par un temps frais et couvert, Martial donne le départ aux 28 marcheurs depuis la place du monument aux morts de Saint Germain. Après un petit raidillon pour accéder à l'ancienne voie ferrée, nous suivons un parcours à plat jusqu'à l'ancienne garde-barrière d'Ugny.
Puis direction les Lochères et nous apercevons au loin un groupe d'aigrettes qui se déplace au fur et à mesure de notre cheminement. Après la plaine de Blainville nous retraversons la Meuse pour arriver à Saint Germain, où Yoyo nous fait un petit coucou depuis sa fenêtre.
Une balade traditionnelle de 6.8 km parcourue à un rythme cool du vendredi.
Ce lundi 23 janvier nous sommes 55 à Allamps au lieu-dit « les Herbues » pour un parcours de 9,5 km qui nous conduit à Barisey la Côte. Dès le début on monte de 287m à 400 m d’altitude jusqu’à l’Observatoire des étoiles au sommet de la Butte de Bonnet qui est joliment enneigée. De descentes en remontées, nous faisons le tour de la Butte dans le bois jusqu’au lieu-dit « Sous la Chalade » où un chemin blanc nous amène à Barisey la Côte. On entre dans Barisey par l’église Saint Jean-Baptiste construite au XIIème siècle. De l’origine reste le clocher fortifié portant des meurtrières et le portail roman latéral. Le chevet plat avec son oculus rond est du XIIIème siècle et la nef du XIXème siècle. La vue s’étend jusqu’à Colombey les Belles et Barisey au Plain.
Ce vendredi nous sommes 31 à Burey la Côte pour un parcours de 8,2 km qui nous conduit à Goussaincourt par le chemin qui longe le ru « la Noue de Burey ».
Goussaincourt est riche de témoignages des siècles passés. Tel est le cas du château édifié au XIVème siècle, dont la porte cochère et les portes piétonnes datent du XVème siècle, et qui fut remanié au XVIIIème siècle. L’église-halle dédiée aux frères jumeaux Saint Gervais et Saint Protais fut érigée au XVème siècle et le chœur d’origine a été préservé lors de la reconstruction au XVIIIème siècle. La croix de mission en haut du village et la fontaine de Saint Gervais et Saint Protais sont du XVIIIème siècle. La mairie date du milieu du XIXème siècle. Dans la rue principale au milieu de ces monuments du passé se trouve l’échoppe d’un potier.
Nous sommes 25 à démarrer du haut de la rue de Rouvau, sous la conduite de Martial qui n'a que 100 mètres à faire pour donner le départ.
Après la montée de la côte de Rouvau, nous contournons l'ancienne carrière et il est décidé de modifier le parcours prévu.
Nous descendons vers Rigny Saint Martin et nous rejoignons Rigny la Salle par le chemin de la Voie des Morts, dénommé ainsi car il était autrefois emprunté par le corbillard lorsqu'il n'y avait pas d'église au Petit Rigny (Saint Martin) vers le Grand Rigny (La Salle).
Par le chemin devant le cimetière, nous contournons le Château de Malpierre de Rigny la Salle dont nous apercevons le toit des 2 tours.
Pour accéder au chemin du moulin de la Roche, nous empruntons un chemin public récemment réouvert, car il a longtemps été impraticable, en étant cultivé par les exploitants riverains.
Nous rejoignons Chalaines en longeant la Meuse presqu'en crue et nous arrivons à la rue de l'Enfer. Une belle balade de 8.3 km, parcourue sous de légères averses intermittentes.