Par un beau soleil nous étions 22 au départ à Pagny sur Meuse pour une randonnée en 2 parties.
La première au-dessus des carrières pour 2 km.
La deuxième le long du canal : 3km.
Merci Dédé pour cette belle journée.
Jean Marie
Merci à Yoyo et Nathalie pour les succulents beignets distribués à l'arrivée.
Ce lundi 20 mars ensoleillé nous sommes 60 à Greux pour un parcours de 9,8 km dont une partie du parcours du Boldair 2023. Nous traversons la D 166 au lieu-dit « le Rouge Bonnet » et grimpons le thalweg qui nous amène de 282 m à 338 m d’altitude. Nous suivons la limite entre le Bois de Greux et le Bois de Brixey vers le Banc des Roises. Au sol les scilles mettent une touche bleue entre les feuilles mortes. Nous obliquons dans le Bois Brûlé et descendons à travers le Bois de Brixey vers la Chapelle de Bermont.
31 marcheurs au départ de Sepvigny en direction du petit Chalaines sur un parcours de 7.8 km entièrement à plat le long de le Meuse par le GRP Jeanne d'Arc. Retour par le même chemin.
En fin de rando, passage devant l'église fortifiée de Sepvigny, puis visite de la chapelle du Vieux Astre, classée Monument Historique.
Ce lundi 13 mars nous sommes 66 à Toul pour une journée de randonnée hors les murs le matin sur les berges de la Moselle, puis après le repas au restaurant « au Commerce », une balade intra-muros.
La Moselle, longue de 560 m, prend sa source dans les Vosges au Col de Bussang à 715 m d’altitude. Autrefois affluent de la Meuse, elle se jette aujourd’hui dans le Rhin à Coblence. Toul, ville de 17 000 habitants, est traversée par la Moselle et par le Canal de la Marne au Rhin. Historiquement la ville est connue pour avoir été le siège de l’un des trois Grands Evêchés comme Metz et Verdun puis pour avoir été une grande place forte militaire.
En remplacement de la rando prévue à Gibeaumeix, nous avons choisi l'opportunité d'une rando en forêt de Rigny la Salle vers les nivéoles en fleurs dans une zone qui nous était inconnue.
Au départ, nous sommes uniquement 9, conséquence des infos alarmistes des chaines d'info.: pluie et vent fort. Finalement à part quelques gouttes au départ, pas de pluie, ni de rafales de vent, même quelques rayons de soleil...
Après quelques centaines de mètres, nous récupérons 3 marcheurs retardataires qui avaient eu du mal à trouver le point de départ et ainsi nous étions pile la douzaine.
Ce lundi 6 mars, il fait 3° et le ciel est gris, nous sommes 63 sur le parking de la D 966 route de Gondrecourt pour un parcours de 10 km (plus pour les courageux). Ce site a une histoire.
C’est en 1917 que les USA ont déclaré la guerre à l’Allemagne. Le premier contingent américain est arrivé en juin 1917. En quelques mois, plus de 8OOO hommes s’installent dans plusieurs villages du Val d’Ornois. L’aérodrome militaire français installé au nord-ouest d’Amanty est agrandi pour entrainer l’armée américaine. L’aérodrome sert également au Premier Groupe d’Observation et de Photographie Aérienne US. Mais l’arrivée du gros des troupes a mis du temps que les Allemands ont mis à profit en attaquant tous azimuts de mars à juillet 1918. Ils étaient à 65 km de Paris quand les Américains sont véritablement entrés en scène.
En ce vendredi ensoleillé, nous sommes 34 devant l'ancien camp américain d'Amanty pour une rando guidée par Martial, à la recherche de jonquilles.
Nous entrons dans la forêt du Vauhaton sur de beaux chemins blancs. Ensuite nous cheminons dans la forêt d'Abainvile sur d'agréables chemins de terre.
Après plusieurs zig-zags nous arrivons en fin de parcours où apparaissent les tapis de jonquilles qui sont seulement en boutons prêts à éclore, alors que l'an dernier à cette date elles étaient bien fleuries.
Les plus courageux se baissent pour cueillir le bouquet réglementaire tenant dans la main. (Attention aux contraventions...)
Ensuite, retour aux véhicules après un circuit de 7.2km presqu'à plat parcouru au rythme du vendredi
En ce lendemain des fêtes johanniques, nous sommes 58 au départ de Vaucouleurs pour affronter sous un beau soleil, une grande bise de l'est
Les 3 groupes suivent la déviation de Vaucouleurs, puis montent sur le plateau de Neuville pour bien profiter des belles vues et du souffle de la bise. Les deux premiers groupes poursuivent jusqu'au GR 703 et le 3ème groupe bifurque dans la forêt à l'abri du vent. Nous descendons vers le Fond de Viller en passant à côté de la source bleue, bien grise sans les pervenches qui vont bientôt fleurir.
Nous traversons les quartiers ouest du Champ Bojot et de Grivaux, puis descente vers les lieux historiques par les petits sentiers. Nous terminons par les petites ruelles méconnues et délaissées. Au total 9.8km et 11.4km.
Rendez-vous la semaine prochaine pour la rando des jonquilles.
Par ce vendredi brumeux, nous sommes 29 au départ de Sauvoy pour une rando de 7 km guidée par Martial.
Direction le Bois Cheté, où nous longeons entre deux siphons la rigole d'alimentation du canal de la Marne au Rhin. Cette rigole alimentée par l'usine élévatrice de Vacon est seulement en activité lors des basses eaux ou par fort trafic qui vide les écluses.
Après le passage devant l'entrée du château de Béhilleux, nous rentrons à nouveau dans le Bois pour une longue montée pour arriver sur le plateau.
A cet instant nous essuyons quelques gouttes de pluie annoncées par la météo.
Retour tranquille en passant par le chemin à l'arrière des habitations en longeant le canal.
Nous étions 13 pour la rando douce dans les bois d'Amanty pour une marche de 5.500 km un peu gâchée par une petite pluie fine.
Autre déception : pas de jonquilles, car un grillage de 4m de hauteur sur des centaines de mètres nous empêche de rentrer dans les bois.
déception vite passée, car marie Ange nous réservé une petite surprise faîte de douceurs de mardi-gras dans une ambiance formidable qui a duré un bon moment.
A mercredi
Jean Marie
En ce lundi printanier ensoleillé, 48 marcheurs sont prêts au départ. Pierre nous a guidés à partir de Broussey en Blois en direction de Naives en Blois à travers la campagne.
Les 3 groupes se suivent puis se perdent de vue. A proximité de Naives, nous marchons sur un chemin blanc en réfection avec des engins en pleine action.
Après la visite du monument aux morts de 2006, puis du lavoir, nous remontons la côte vers le retour.
A 1km de l'arrivée, les 14 plus fatigués rejoignent directement Broussey et les autres poursuivent sur le parcours prévu en montant sur le plateau et retour par le bois de Broussey.
C'était la journée des parcours à la carte, puisque certains ont parcouru 9 km, d'autres 11km et les plus vaillants : 12.5 km.
En ce vendredi brumeux, nous sommes 21 à l'entrée de Lay Saint Rémy pour une rando de 7.8 km encadrée par Jean Marie.
Après la traversée du canal de la Marne au Rhin, nous montons vers la Pelouse qui nous mène jusqu'à l'entrée de Foug. Nous montons tranquillement la côte du cimetière jusqu'au plateau de la Louvière pour entrer dans le Bois de Romont.
Après la descente nous suivons la route de Trondes et en longeant la voie ferrée nous arrivons dans les marais : zone naturelle sensible gérée par le Conservatoire des Sites Lorrains où nous cheminons sur une allée surélevée lattée.
Nous arrivons à notre point de départ à un rythme de sénateurs puisque les plus lents marchent en tête.
Par ce bel après midi ensoleillé sous15 degrés, nous étions 16 au départ à UGNY et c'est avec un plaisir immense que nous avons accueilli notre ami Dédé et son épouse Bernadette, ainsi que Claudette.
Rando de 5km dans la nature qui commence à donner quelques fleurs.
À la semaine prochaine.
Jean Marie
En ce beau lundi ensoleillé, nous sommes 46 au départ sur les hauteurs de Brixey pour un parcours qui permettra de reconnaître une partie des circuits du prochain Boldair.
Au départ les 3 groupes se suivent, puis se doublent plusieurs fois du fait des extensions de parcours.
Après un arrêt au point de vue vers la plaine de Colombey les Belles et ses beaux villages, nous descendons vers Jubainville avec un arrêt devant l'église.
Puis nous entamons une longue montée qui nous procure aussi un beau panorama sur les villages vosgiens de Ruppes, Punerot, Clérey la Côte et aussi Mont L'Etroit (54).
Après un passage d'arbres couchés, un beau raidillon a été franchi allègrement!!! Pour nous reposer de ces efforts, la suite est entièrement à plat. Nous terminons notre parcours de 9.7 km en compagnie du 2ème groupe qui nous a rejoints à la sortie du Bois de Hazaumont.
Avec le retour des beaux jours, c'est aussi le retour des marcheurs, puisque nous sommes 38 au départ de Mauvages. Après présentation de trois futurs adhérents d'Ecrouves et Vannes le Châtel, nous entamons la rando en suivant la grande rue puis le chemin desservant les arrières des habitations.
Comme c'est une marche du vendredi les plus lents marchent en tête et personne ne doit les dépasser. Après une rapide visite de la chapelle ND de Bonne Espérance, nous rejoignons l'ancienne voie ferrée puis un chemin blanc qui nous mène vers le Bois de Dongermain. Nous entamons alors une montée qui est la seule difficulté du jour.
A la sortie du Bois nous rejoignons l'entée du tunnel du canal de la Marne au Rhin. Avec ses 4877m, il est le 2ème plus long tunnel de canal de France. Nous suivons le chemin de halage pour l'ultime photo devant la fontaine lavoir du Deo, classée monument historique.
Une agréable rando facile de 7.6 km, parcourue au rythme du vendredi. Merci à tous d'avoir bien respecté les consignes.
Nous étions 16 au départ de la rando à Rigny Saint Martin vers Gibeaumeix et par des chemins très propres.
Après une longue absence, retour de Francine Noël que nous avons accueillie avec un grand plaisir.
Petite marche de 5kms 400 par un magnifique soleil.
A mercredi prochain.
Jean Marie
En ce lundi 6 février ensoleillé, nous sommes 55 sur le territoire de la commune de Rigny Saint Martin, non loin de la ferme du Neuf Moulin, au lieu-dit Quatre Vaux pour faire en 10 km le tour de la forêt domaniale de l’Essart.
Au 13ème siècle le site de Rigny est rendu célèbre par les diverses entrevues entre le Roi de France et l’Empereur Germanique, et surtout l’entrevue de Quatre-Vaux en 1299 entre Philippe Le Bel roi de France (1268-1314) et Albert de Habsbourg empereur du Saint Empire Romain Germanique (1250-1308). On discuta du mariage de Blanche de Flandres, sœur de Philippe et de Rodolphe de Habsbourg fils d’Albert, et les deux souverains déterminèrent la limite de leurs Etats en reconnaissant le fleuve Meuse comme frontière commune.
En ce vendredi par un temps couvert, mais sans pluie Jean Marie propose aux 23 marcheurs une rando au départ de l'ancienne piscine de Commercy. Après l'allée des Tilleuls, nous montons la Pocherie, puis descente vers la Vaine Vau.
Ensuite remontée vers la route de Void en passant devant l'usine Safran. Nous redescendons vers la zone de la Louvière et le Quartier Oudinot.
Nous entrons dans la ville et passons par l'arrière du château Stanislas en suivant un agréable circuit de promenade que certains découvrent.
Nous rejoignons nos véhicules en suivant l'avenue Voltaire après un parcours bien apprécié de 7.8 km
Nous étions onze au départ avec 2 nouvelles marcheuses : Véronique de Blénod et Alexandrine de Vannes le Chatel.
Rando de 5kms sur le chemin de Sainte Anne par un chemin bien gras et retour par le village de Montigny.
A l'arrivée Brigitte nous avait réservé une petite surprise (gaufres et cidre) pour nous requinquer de nos efforts.
Jean.Marie
Ce lundi 30 janvier dans la brume, nous sommes 49 à Abainville pour un parcours de 10 km qui nous amène à Gondrecourt le Château.
Abainville fut peuplée dès l’époque mérovingienne comme en témoigne la nécropole des 6ème et 7ème siècles retrouvée dans les années 1970. Au 19ème Abainville possédait des forges très importantes qui contribuèrent à la fabrication des rivets de la Tour Eiffel. Le village est traversé par l’Ornain qui naît au Sud de Gondrecourt-le-Château de la confluence de l’Ognon et de la Maldite, traverse 39 communes sur 116 km avant de se jeter dans la Saulx à Etrepy. La Saulx est un affluent de la Marne.
Le Pied Champêtre partenaire du collège de Vaucouleurs
Pour financer le voyage des élèves de 6ème dans les Alpes, une marche nocturne était organisée par l’Association des Parents d’Elèves du Collège de Vaucouleurs, samedi 28 janvier à 18h00. Deux parcours avaient été créés et balisés par le Pied Champêtre.
L’un de 5 kilomètres, balisé en orange, passait par la maison de retraite, serpentait sur les hauteurs de Vaucouleurs, empruntait le parcours de santé avant de redescendre dans la ville. L’autre de 9 kilomètres, balisé en jaune, montait sur le plateau de Bussy pour rejoindre Burniqueville, puis par la vallée du ru Nicole, atteindre Montigny les Vaucouleurs où se tenait un poste de ravitaillement organisé par la municipalité, Madame le Maire en tête : boissons, vin chaud et brioche. Ensuite retour à Vaucouleurs à travers le bois « le Grand Bussy ».
Les deux traversées de la D960 étaient sécurisées par des animateurs du Pied Champêtre. Munis de lampes, gants et bonnets, un peu plus de cent inscrits de tous âges se pressaient avec animation dans la cour du collège au moment du départ, certains adhérents à un club, d’autres simplement amateurs ou parents et amis d’élèves. Parmi eux une jeune femme hémiplégique délaissait son fauteuil roulant pour une joëlette, véhicule adapté pour permettre aux personnes à mobilité réduite de suivre les marcheurs valides sur les chemins de randonnée. Tirée et poussée par deux marcheurs du Pied Champêtre, elle allait effectuer le parcours de 5 kilomètres.
La nuit était bien noire lorsque le dernier groupe est parti accompagné par des animateurs du Pied Champêtre dont la mission était aussi de ramener les éventuels égarés et d’enlever les balises. Pendant ce temps au retour, des bénévoles offraient une bonne soupe et faisaient sauter les crêpes qui allaient réchauffer les marcheurs affamés à leur retour et dont la vente allait compléter le pécule du voyage.
Belle soirée de solidarité multi-gérationnelle envers les jeunes.
Par un temps frais et couvert, Martial donne le départ aux 28 marcheurs depuis la place du monument aux morts de Saint Germain. Après un petit raidillon pour accéder à l'ancienne voie ferrée, nous suivons un parcours à plat jusqu'à l'ancienne garde-barrière d'Ugny.
Puis direction les Lochères et nous apercevons au loin un groupe d'aigrettes qui se déplace au fur et à mesure de notre cheminement. Après la plaine de Blainville nous retraversons la Meuse pour arriver à Saint Germain, où Yoyo nous fait un petit coucou depuis sa fenêtre.
Une balade traditionnelle de 6.8 km parcourue à un rythme cool du vendredi.
Ce lundi 23 janvier nous sommes 55 à Allamps au lieu-dit « les Herbues » pour un parcours de 9,5 km qui nous conduit à Barisey la Côte. Dès le début on monte de 287m à 400 m d’altitude jusqu’à l’Observatoire des étoiles au sommet de la Butte de Bonnet qui est joliment enneigée. De descentes en remontées, nous faisons le tour de la Butte dans le bois jusqu’au lieu-dit « Sous la Chalade » où un chemin blanc nous amène à Barisey la Côte. On entre dans Barisey par l’église Saint Jean-Baptiste construite au XIIème siècle. De l’origine reste le clocher fortifié portant des meurtrières et le portail roman latéral. Le chevet plat avec son oculus rond est du XIIIème siècle et la nef du XIXème siècle. La vue s’étend jusqu’à Colombey les Belles et Barisey au Plain.
Ce vendredi nous sommes 31 à Burey la Côte pour un parcours de 8,2 km qui nous conduit à Goussaincourt par le chemin qui longe le ru « la Noue de Burey ».
Goussaincourt est riche de témoignages des siècles passés. Tel est le cas du château édifié au XIVème siècle, dont la porte cochère et les portes piétonnes datent du XVème siècle, et qui fut remanié au XVIIIème siècle. L’église-halle dédiée aux frères jumeaux Saint Gervais et Saint Protais fut érigée au XVème siècle et le chœur d’origine a été préservé lors de la reconstruction au XVIIIème siècle. La croix de mission en haut du village et la fontaine de Saint Gervais et Saint Protais sont du XVIIIème siècle. La mairie date du milieu du XIXème siècle. Dans la rue principale au milieu de ces monuments du passé se trouve l’échoppe d’un potier.
Nous sommes 25 à démarrer du haut de la rue de Rouvau, sous la conduite de Martial qui n'a que 100 mètres à faire pour donner le départ.
Après la montée de la côte de Rouvau, nous contournons l'ancienne carrière et il est décidé de modifier le parcours prévu.
Nous descendons vers Rigny Saint Martin et nous rejoignons Rigny la Salle par le chemin de la Voie des Morts, dénommé ainsi car il était autrefois emprunté par le corbillard lorsqu'il n'y avait pas d'église au Petit Rigny (Saint Martin) vers le Grand Rigny (La Salle).
Par le chemin devant le cimetière, nous contournons le Château de Malpierre de Rigny la Salle dont nous apercevons le toit des 2 tours.
Pour accéder au chemin du moulin de la Roche, nous empruntons un chemin public récemment réouvert, car il a longtemps été impraticable, en étant cultivé par les exploitants riverains.
Nous rejoignons Chalaines en longeant la Meuse presqu'en crue et nous arrivons à la rue de l'Enfer. Une belle balade de 8.3 km, parcourue sous de légères averses intermittentes.
Ce lundi 9 janvier nous sommes 31 à Rosières en Blois pour un parcours de 9,3 km (10,9 km pour les courageux). Notre parcours nous conduit parallèlement à la D 960 vers le lieu-dit « les Bainsolles », puis nous bifurquons pour faire le tour du bois au « Haironlieu ». Après la traversée du Fond de la Mare et de la Vallée Saint Martin, nous nous dirigeons vers « Lignière », coupons la D 168 et parvenons à Gérauvilliers puis nous partons vers « les Bouchetées » et revenons à Rosières par le Fond de Grèves.
De presque tous les points du parcours on aperçoit le parc d’éoliennes partagées entre Rosières, Delouze et Demange-aux-Eaux. Leur production couvre la consommation d’une ville de 35 000 habitants.
En cette belle soirée de janvier, nous sommes 44 devant le monument aux morts pour une balade nocturne. Sous les dernières lueurs du jour, Denis guide le groupe vers les hauteurs de Vaucouleurs en cheminant sur les petits chemins et sentiers pour arriver au Plateau de Bussy à la tombée complète de la nuit éclairée par une belle lune rousse.
Nous descendons la rue de Grivaux, puis nous suivons une petite montée vers le lotissement des Plantes. Après la traversée des quartiers résidentiels du Champ Bojot et des Castors Sud, nous longeons l'Avenue de Domrémy avec une incursion au Clos Berthelot, peu connu car en impasse
A la Place Poirel, nous grimpons sur le chemin Derrière le Ville qui nous mène aux Lieux Historiques avec un petit tour sur l'emplacement de l'ancien château de Vaucouleurs
En cette première rando du vendredi de l'année, Jean Marie nous a gâtés avec un parcours facile qui a attiré 33 marcheurs.
Nous démarrons par la seule petite montée qui permet de surplomber le village de Troussey que nous traversons ensuite par les arrières, puis en longeant la Meuse.
Ensuite direction le site de Dommartin où nous passons sous la voie ferrée et le canal pour nous diriger vers les fours à chaux de Sorcy. Après le passage sur le pont canal Mazagran, nous rejoignons Troussey par un petit chemin encombré d'arbres couchés par les coups de vent.
Belle rando classique de 8.3 km parcourue sous un temps agréable, qui a bien plu à tous, en particulier aux nouveaux marcheurs.
Nous étions 11 au départ direction Sauvoy pour une rando de 4kms700 sans pluie par un chemin au départ agréable, mais ensuite impraticable car entravé par un fatras de branches et de rondins. Mais heureusement nous avons retrouvé un autre chemin très agréable.
Le retour est un peu perturbé par une pluie fine et pénétrante, mais dans la bonne humeur.
Jean-Marie
En cette première rando de l'année nous ne sommes que 26 au départ du Plateau de Bussy sur les hauteurs de Vaucouleurs. Les absents ne devaient pas être bien remis des festivités du réveillon ou tout simplement ont été effrayés par une pluie intermittente depuis la matinée.
Nous démarrons vers l'ancienne ferme de Burniqueville et après 2 km, à l'entrée en forêt, la pluie a cessé. Nous arrivons à la Fontaine de Gomévaux bien encombrée par des arbres tombés lors d'un récent coup de vent.
Nous poursuivons notre parcours en modifiant le tracé pour éviter le chemin blanc de la grande route forestière.
Elle fut mémorable cette dernière marche de l’année 2022. Nous étions 11 à Neuville les Vaucouleurs pour un parcours de 7,8 km sous une pluie intermittente.
Neuville tient une place particulière dans la première guerre mondiale. En 1916 pour ravitailler les premières lignes, on a importé des ânes d’Afrique du Nord de petite taille, endurants et dociles, permettant un passage discret à l’intérieur des tranchées. Malgré la mitraille, ils sont chargés de ravitailler les premières lignes en nourriture, boisson, petites munitions, matériaux divers. Comme les soldats, ils sont mal nourris, blessés par les tirs et les éclats d’obus, accidentés sur les terrains défoncés par les obus. Ils ont des blessures aux pieds, d’autres provoquées par des chargements trop lourds, des plaies infectées, la gale. Neuville avait été choisi pour y installer un hôpital destiné à soigner les ânes blessés au cours des combats.
En ce vendredi 23 décembre, nous étions 6 vaillants marcheurs au pont de Pagny la Blanche Côte pour une balade de 8 km. Après avoir salué les deux croix qui jalonnent la montée vers l’ancienne batterie d’Uruffe, nous nous sommes engagés dans la végétation qui dissimule les vestiges des constructions militaires de Séré de Rivières. Trois ouvrages, le fort de Pagny et les batteries d’Uruffe et de Pagny, insérés dans le dispositif défensif consécutif à la défaite de 1870 ont été érigés entre 1879 et 1883 et pouvaient abriter 822 hommes. Pourquoi un Fort à Pagny la Blanche Côte ? Après l’annexion de l’Alsace-Moselle par la Prusse en 1870, la frontière s’était rapprochée de Nancy et de Toul. A partir de 1874, pour tenir compte des progrès de l’artillerie, il a été décidé de construire à quelques kilomètres des villes et des nœuds ferroviaires proches des frontières, dont Toul faisait partie, une ceinture de fortifications dites Forts Séré de Rivières, du nom de l’auteur du projet.
Nous sommes 57 au départ de l'ancienne gare de Maxey pour une petite rando apéritive vers le Bois Salmon. Deux groupes sont créés et se suivront sur le même parcours.
Au début les discussions vont bon train pour commenter la mémorable finale de la Coupe du Monde où l'équipe de France est tombée avec les honneurs.
Après notre petit tour de 8.5 km, nous arrivons affamés pour le traditionnel goûter de Noël préparé par les locaux de Maxey à la Salle de Fêtes mise gracieusement à notre disposition. Merci à la municipalité de Maxey.
Le petit groupe du mercredi en a profité pour organiser sa rando douce avant le goûter.
En comptant les non marcheurs du jour, nous sommes près de 100 convives pour déguster les petits pâtés lorrains de Pagny la Blanche Côte, puis l'assiette de fromages et surtout les nombreux délicieux desserts préparés par les pâtissières du club.
Un grand MERCI aux organisateurs.
Prochain rendez-vous festif : le réveillon de la Saint Sylvestre et la soupe aux pois du samedi 7 janvier après la marche nocturne.
Pour éviter des chemins pentus rendus glissants par la neige, Jean Marie a proposé une rando plus facile depuis Pagny sur Meuse.
Malgré un soleil éclatant, nous n'étions que 16 marcheurs au départ près du terrain de sports. Tout au long du parcours la température a été proche de 0°, sans vent, d'où une température ressentie largement positive.
Après la traversée des arrières de Pagny, nous prenons le chemin du Mont par une longue pente douce. Arrivés sur le plateau, nous suivons de bons chemins blancs recouverts d'une pellicule de neige glissante, d'où les précautions à prendre surtout dans la descente douce surplombant la vallée de la Meuse.
Une belle rando de 8.5 km avec de magnifiques paysages légèrement enneigés.
Etant en vigilance orange la rando à été annulée. Nous étions 8 pour répondre à l'invitation de la famille LAMBLIN (Christine et Noël) pour admirer leur magnifique crèche.
La visite a duré plus longtemps que la rando traditionnelle devant un verre de vin chaud et quelques gâteaux.
Tous sont sortis admiratifs devant ce travail magnifique
Jean Marie
Sous un éclatant soleil avec une température négative, nous sommes 48 au départ de Sauvigny. Deux groupes équivalents sont formés : le 1er groupe guidé par Patrick et le 2ème guidé par Jean Paul.
En montant la rue du Bois, nous arrivons sur le plateau, où nous pouvons admirer le paysage engivré sous un ciel azur. Un vrai décor féérique...
Le 1er groupe fait un détour vers la borne bien connue des 3 départements, où chacun pose dans son département de naissance.
Le 2ème groupe arrive à Clérey sous une bonne odeur de mirabelle qui nous dirige vers la distillerie. Le" brancunier" nous accueille en offrant une crème de mirabelle bien appréciée.
Dès 6h30 en ce vendredi hivernal, 53 marcheurs montent dans le bus au départ de Dijon. (59 inscrits, mais 6 défections de dernière minute pour raison familiale ou médicale).
A partir de la Place Darcy, deux groupes de randos sont formés. 1er groupe encadré par Gérard et Patrick pour 9 km. 2ème groupe encadré par Denis et Jean Paul pour 7 km. Sans oublier le petit groupe d'une dizaine de touristes qui vont faire du shopping en ville...
Nous partons en direction du Lac Kir en traversant d'agréables espaces verts, puis en longeant la rivière L'Ouche. Nous arrivons au Lac Kir qui a été créé par le célèbre chanoine Kir, député maire de Dijon de 1945 à 1967. En plus du célèbre apéritif, le chanoine à créé ce lac en 1964 pour réguler les inondations de la rivière l'Ouche.
Ce lundi 5 décembre nous sommes 47 au « point de vue » situé à l’intersection de la D 114 et de la D 960 à l’entrée de Blénod les Toul. Sous les yeux amusés de la compagnie, le Grand Patrick tente en pestant d’ajuster sa seconde guêtre avant qu’Annick s’avise que Patrick s’acharne à mettre une guêtre à sa taille à elle.
Chaque guêtre ayant rejoint son légitime propriétaire, notre balade de 10 km peut commencer par une incursion dans le Grand Bois qui nous conduit à traverser la D 960 pour nous diriger vers Blénod en longeant le Bois de Sorvigne.
En ce lundi 28 novembre pluvieux, nous sommes 52 à Taillancourt pour un parcours de près de 10 km (12 km pour les plus rapides).
Taillancourt possède un lavoir singulier, construit au XVIIIème siècle et restauré en 1853 par Merdier. Alimenté par un bras de la Haute Meuse, il est précédé d’un porche en pierre de taille comportant une porte plein cintre. Le toit couvert en tuiles violon est surmonté par un lanterneau en surélévation éclairant le bassin par le haut en complément des quatre baies rectangulaires percées sur le côté. La charpente de chêne est impressionnante. La rue principale de Taillancourt est constituée d’un alignement remarquable de façades avec portes charretières du XVIIIème siècle. On peut voir en outre l’église Saint Gengoult reconstruite en 1760, une croix de chemin, et deux belles fontaines avec leurs abreuvoirs.
Ce lundi 21 novembre nous sommes 56 à Ménil la Horgne pour un parcours de 10,8 km qui nous conduit à Meligny le Grand, patries de deux hommes de bien, Dom Calmet et Pierrot sans qui les festivités du Pied Champêtre ne seraient pas ce qu’elles sont.
A Ménil la Horgne nous passons devant la maison natale d’Antoine Calmet devenu Dom Augustin Calmet en religion (1672-1757). Fils d’un maréchal ferrant, il entre à 15 ans à l’université de Pont à Mousson, prononce ses vœux à Saint Mansuy à Toul en 1689, et est ordonné prêtre en 1696. Il est nommé abbé de l’abbaye de Senones en 1728. Cette abbaye du 7ème siècle reconstruite au 18ème siècle en partie par Dom Calmet, est réputée pour sa bibliothèque de 15 000 volumes. En 1806, elle connait un destin industriel puisque l’anglais John Heywood y installe la première filature mécanique de coton du département des Vosges. Elle fermera ses portes en 1992.
En ce beau vendredi automnal, nous sommes 30 au départ d'Epiez pour une rando guidée par Martial.
Petite surprise au sommet de la première côte : le passage dans le pré est entièrement labouré et nous décidons de faire du hors piste dans la forêt pour rejoindre l'itinéraire prévu.
En suivant le chemin de Sainte Anne, nous bifurquons dans la forêt des Défours pour arriver sur le plateau en bénéficiant d'une belle vue panoramique sur la vallée ensoleillée de la Meuse.
Nous redescendons vers Epiez après un parcours bien apprécié de 8 km.
Pour reprendre des forces, nous prolongeons vers Taillancourt où nous nous retrouvons à 40 pour fêter l'arrivée du Beaujolais nouveau. Merci à Christine et Patrick pour cette excellente initiative et pour l'organisation, aidés par Eliane et Martine, ainsi que Monique et Pierre.
Merci à Monsieur le Maire (membre sympathisant du club) pour la mise à disposition gratuite de la salle communale.
Nous étions 14 au départ du monument avec quelques. nouvelles têtes. Direction Gombervaux. Nous craignons la pluie, mais nous avons eu de la chance : pas une goutte.
Aujourd'hui une marche un plus longue que d'habitude 6kms avec l'accord de tous. Nous sommes allés voir la stèle de l'avion Tout le monde était content et on s'est donné rendez-vous la semaine prochaine.
Jean Marie
Ce lundi 14 novembre doux et sec, nous sommes 50 au cimetière à Goussaincourt pour une balade de 10,4 km. Goussaincourt possède un château, propriété privée, qui comporte certains éléments défensifs du 14ème siècle, deux portes piétonnes du 15ème, et une partie du bâtiment du 18ème siècle. Il est entouré d’un haut mur de clôture. L’église a conservé le chœur d’origine du 15ème siècle. Reconstruite en 1782, elle est dédiée aux frères jumeaux saints patrons du village : Saint Gervais et Saint Protais. Après la Mairie datée de 1859, se trouve la fontaine élevée dans la seconde moitié du 18ème siècle et restaurée en 1804 lorsqu’on a construit le lavoir. L’eau jaillit sous un arc plein cintre orné des statuts des Saints Patrons du village.
En ce vendredi 11 novembre, nous sommes 11 à Trondes pour un parcours de 8,4 km entre Trondes et Laneuville derrière Foug. Des vestiges gallo-romains attestent de l’ancienneté du village de Trondes dont le saint-patron est Saint Elophe. L’église, construite à partir de 1340 à l’emplacement d’une ancienne église romane, lui est dédiée. Elophe, né en Lorraine, fut décapité en 362 une semaine après sa sœur Libaire. Comme elle, il se releva et se mit à gravir la colline pour prononcer un dernier sermon à l’endroit du cimetière de Soulosse-Saint Elophe. La particularité du clocher est d’avoir un cadran d’horloge sur chacun de ses quatre côtés.
Ce lundi 7 novembre gris mais sec, nous sommes 52 à Mauvages sur la place de l’église Saint Pantaléon du XIIIème siècle reconstruite au XVIIIème siècle. Elle a gardé d’un sanctuaire d’origine, un portail roman du XIIème siècle. Le village est abondamment pourvu de lavoirs et fontaines dont la plus remarquable « le Déo ».
Après la révolution, les Municipalités ont la charge de régir les biens et revenus de la communauté et de faire exécuter les travaux publics. Il s’agit de fournir une eau de qualité pour enrayer les épidémies de fièvre typhoïde et de choléra, et faciliter le travail des lavandières. Mais aussi il faut servir le prestige du village comme l’exprime le conseil municipal de Mauvages qui veut un lavoir dont « l’aspect le fasse remarquer ».
Ce vendredi 4 novembre, sous une pluie fine et persistante, nous sommes 17 valeureux marcheurs sur l’aire de pique-nique de la D 964 à la sortie de Vaucouleurs vers Void, pour un parcours à découvert, bien connu, de 8 km, qui rend hommage aux châteaux de Gombervaux et de Tusey. Nous montons par le « Rombévallon » et « les Terres Froides »vers Gombervaux. La vue sur la forêt et la ville de Vaucouleurs n’est pas trop obscurcie. Puis le chemin descend et le château du 14ème siècle apparait en contrebas, entouré de ses douves, avec son donjon crénelé de 22 mètres, les deux tours sud décapitées percées d’archères, le logis éclairé par de hautes ouvertures, le porche surmonté des blasons des familles de Pouligny, des Salles et de Myon, la herse.
Ce lundi 31 octobre bien ensoleillé, nous sommes 41 sur le parking près de l’église de Broussey en Blois pour un parcours de 10 km (11.5 km pour les rapides) dans le « Haut Bois ». Broussey est arrosé par le ruisseau de Broussey qui rejoint la vallée de la Méholle. Ce village champêtre, qui compte une soixantaine d’habitants, possède un lavoir bien entretenu, et s’est doté en 2011 d’un très joli blason orné d’une fleur d’aubépine sur fond rouge.
Le Haut Bois mérite bien son nom car nous attaquons par une côte qui nous hisse de 300 à 400 mètres d’altitude. C’est une forêt lumineuse aux allées larges et bien tracées qui nous accueille. Bien que plusieurs essences d’arbres aient conservé des feuilles vertes, au sol nous foulons un épais tapis de feuilles mortes.
Ce vendredi 28 octobre chaud et ensoleillé, nous sommes 30 marcheurs Place Cugnot à Void-Vacon pour un parcours de 8 km dans le Bois de Voirut. A l’époque gallo-romaine Void se trouvait à la convergence de voies romaines pour le franchissement de la rivière le Vidus. Le Vidus semble être une rivière autonome née à Vacon d’une source abondante et constante. La Méholle venue de Mauvages, le Mérivaux qui descend la vallée de Naives et le Mazelin sont de petits affluents intermittents où l’eau manque souvent pendant l’été. Le Vidus se jette dans la Meuse. La statue de la Place Cugnot, fondue à Tusey au 19ème siècle, représente une femme debout portant deux amphores d’où l’eau jaillit, symbolisant la Meuse et le Vidus.
Ce mercredi en début d'après midi nous nous retrouvons à 9 près de l'église pour descendre l'unique rue de RIGNY SAINT MARTIN et au bas du village nous diriger vers RIGNY LA SALLE. Sur cette petite route bien au calme et au soleil; nous pouvons voir un parasol assez original, puis entre les arbres un peu effeuillés, les immenses tentes du "camping gaz" de Rigny St Martin.
Plus au loin sur la droite nous passons tout près de "la cité universitaire" de Rigny la Salle et à l'horizon à gauche, le sommet de la côte de Rouvau en haut de CHALAINES. A l'entrée du village, les marcheurs respectant bien les consignes de sécurité (bien marcher en file indienne sur le bord de chaussée), sont accueillis par le Christ encore bien fleuri de géraniums. Plus loin dans le village que nous connaissons tous, quelques consignes sont rappelées.
Sur le chemin du retour à l'arrière des maisons nous passons tout près d'un beau massif de dahlias encore bien coloré et bientôt la vue sur la petite église ronde nous annonce la fin de la rando.
Daniel
Ce lundi 24 octobre nous sommes 48 à Brixey aux Chanoines, répartis en trois groupes, pour un parcours de 11 km (plus de 12 km pour les rapides) qui nous conduit, en faisant le tour du Bois de Brixey, à la Chapelle de Beauregard par Jubainville.
Nous laissons nos voitures au lavoir, construit en 1835 et très bien restauré, dans lequel sept panneaux expliquent au visiteur l’histoire du village.
Déjà habité à l’époque gallo-romaine, Brixey domine la vallée de la Meuse à l’altitude de 300 m. C’est au XIème siècle que, sous l’égide des Evêques de Toul, Brixey devient châtellenie et qu’un château défensif en dur est construit à la place de la tour de guet en bois.
Après une matinée pluvieuse, le beau temps est revenu pour les 27 marcheurs au départ de la forêt de Sauvigny.
Malgré nos réticences Gisela (von Deutschland) a insisté pour participer (avec des chaussures non adaptées) à la rando sans difficulté, mais avec des chemins boueux.
Nous passons devant la Croix Pancarnel, puis nous cheminons tranquillement vers la borne des 3 départements : 55-54-88. Comme d'habitude, chacun a posé dans son département de naissance.
Et ce qui devait arriver arriva : à mi-parcours, Gisela peinait à suivre le groupe. Denis a joué le bon samaritain en la raccompagnant avec Michèle par un raccourci sur un bon chemin à plat. Expérience à ne pas renouveler.
Le reste du groupe continue sur le parcours prévu qu'il a fallu adapter à cause d'exploitations bloquant les chemins. Tout le long du parcours de 8.3 km, nous avons relevé d'innombrables champignons et nous avons profité des connaissances de Bernard, l'ancien pharmacien. Malheureusement impossible de retenir tous les noms surtout les noms latins...
Nous sommes 13 ce jour à prendre le départ depuis le monument aux morts pour nous diriger vers les quartiers nord et rejoindre la départementale menant à Sauvoy.
Après être passé au bas de l'élevage Saint Paul tout en marchand bien en file indienne sur le côté gauche de la route; nous rejoignons le carrefour au bas de la côte de Void pour prendre le chemin vers Tusey. Tout en admirant ici et là les couleurs d'automne, les arrières de Tusey,des Castors nord et la gendarmerie; nous nous retrouvons bientôt sur le grand trottoir avec ses beaux arbres colorés et la fin de la rando au bout de 5 bons kms de marche plaisante.
A noter la présence de 2 nouvelles marcheuses : Edith de Tusey et Marie Ange de Taillancourt.
Daniel
Ce lundi 17 octobre chaud et ensoleillé, nous sommes 54 en haut de la Butte de Montsec pour effectuer durant la journée le tour du Lac de Madine soit 18 km avec repas à mi-chemin à Nonsard pour les uns et à Essey-Maizerais pour les autres car ce dernier restaurant ne peut accueillir que 50 personnes. La Butte de Montsec, haute de 375 m, offre un panorama très étendu, à l’ouest, sur la Woevre et les Côtes de Meuse, au nord-est, sur le lac de Madine et la retenue d’eau de Nonsard. Au sommet les Américains ont élevé un monument pour commémorer l’offensive du 12 au 16 septembre 1918 qui leur a permis de réduire le « Saillant de Saint Mihiel » et de faire 15 000 prisonniers. Les colonnes de l’édifice forment une rotonde dont le couronnement porte les noms des unités américaines ayant combattu dans ce secteur.
Par un temps incertain, 12 valeureux marcheurs démarrent de Delouze en suivant le GR 703 en direction du plateau de la Plaine.
Jusqu'à l'ancienne voie ferrée nous essuyons deux petites averses, puis le temps s'améliore et devient même agréable.
Au passage à Rosières nous visitons le nouveau parc et son araignée géante. La rosièroise Claudine est fière de poser devant sa maison natale.
Nous remontons la belle côte vers le plateau des éoliennes et nous cheminons tranquillement vers Delouze sous une petite averse qui nous rafraîchit après nos 8.3 km de rando humide.
Il fait bien bon sous le chaud soleil pour les 14 participants au départ à l'entrée de BADONVILLIERS. Nous descendons d'abord la départementale vers EPIEZ et prenons le 1er chemin à gauche pour rejoindre le chemin de Sainte-Anne tout en admirant la nature si belle en cette saison (début de la coloration de la forêt, verdure des champs, clocher du village au loin, et ensileurs en plein travail).
Après la douce et tranquille remontée, nous nous retrouvons bientôt à l'entrée du village coté Sainte-Anne avec sur la droite, la rue de Froid-Cul et plus loin nous rejoignons la Grande Rue avec son église, sa mairie, sa maison du rucher et presque aussitôt l'arrivée aux voitures après avoir parcouru 4 bons kms toujours sous le soleil radieux de cet agréable début d'automne.
Daniel
Ce lundi 10 octobre nous sommes 57 devant l’église Saint Evre de Tranqueville-Graux dans le département des Vosges pour un parcours de 11 km (12 km pour les plus rapides).
La commune est arrosée par l’Aroffe. Ce ruisseau long de 50 km, prend sa source à Beuvezin (54). L’Aroffe disparait par endroit sous terre à partir de Gémonville, réapparait à Barisey au Plain, puis est alimenté par de nombreux ruisseaux dont la Viole. A Rigny Saint Martin il reçoit le ruisseau Saint Fiacre. Appelé alors Baumelle puis Goulot de Meuse, l’Aroffe se jette dans la Meuse à Rigny la Salle (55). Mais une autre partie de l’Aroffe va dans la Moselle. Pour rejoindre la Moselle l’Aroffe devient souterrain et ressort à Crézilles (deuille de Crézilles), à Moutrot (trou des Glanes, trou du Chahalot) et Ochey (deuille d’Ochey) d’où part le Larot il se jette finalement à Pierre la Treiche, et, par le Chaudeau à Bicqueley/Toul, dans la Moselle.
Après des difficultés pour trouver le parking de la Croisette (suivant carte IGN), mais situé impasse de la Boisette, les 26 marcheurs démarrent de Foug vers le quartier des Sources. Après avoir longé le canal de la Marne au Rhin, nous traversons l'ancienne RN4 pour entrer dans Grandménil, écart d'Ecrouves.
En haut du village, rencontre avec Christian, un ami de régiment de Denis. Rappels de bon souvenirs de séances de jogging du 15ème RGA qui se terminaient chez ses parents à Bruley, étant toujours accueillis avec de bonnes tartes!!!
Retour en passant à proximité de la ferme du Point du Jour et nous rejoignons le parking après un beau parcours inédit de 8 km, par un agréable temps d'automne.
C'est sous un bon et beau soleil que 20 braves se sont réunis vers 14h15 au sommet de la Blanche Côte entre CHAMPOUGNY ET PAGNY pour une marche sympathique sur les hauteurs de ce dernier village.
Après les photos du groupe; la 1ère avec en arrière plan Champougny et la vallée, la seconde tout en haut de la côte et la 3ème, tous tournés pour admirer la jolie vue sur le village de Pagny et la vallée de la Meuse. Nous avons alors pris la direction du "Fort de Pagny" situé en fait, sur la commune de Champougny en passant d'abord devant l'ancienne maison des officiers et peu après, l'entrée du Fort. La balade s'est agréablement poursuivie avec quelques petites haltes pour gentiment discuter, un peu se reposer et parfois apercevoir au loin plusieurs villages de Meurthe et Moselle.
De retour à notre point de départ après 5.3 kms de marche, nous avons pu encore jeter un regard admiratif sur notre belle vallée de Meuse aux environ de Maxey sur Vaise.
Daniel
Ce lundi 3 octobre nous sommes 60 au parking à l’entrée de Bulligny pour un parcours de 9,5 km plus pour les deux groupes plus rapides. Juste en face du parking nous commençons par une montée courte mais raide entre les vignes qui nous permet de gagner, au lieu-dit « Haut de la Pierre Bitron », le chemin qui traverse le haut du vignoble au-dessous du Bois de la Dame. Les vignes commencent à revêtir leurs couleurs d’automne, rouges, jaunes d’or, mordorées.
Bulligny, Blénod les Toul et Mont le Vignoble représentent près de la moitié de l’ensemble AOC des Côtes de Toul. Introduite par les Romains sur les coteaux du Toulois, la vigne couvrait 50 000 ha après la Révolution. Le phylloxéra, la concurrence des vins du Sud amenés par rail, ont entraîné le déclin de la viticulture de sorte qu’en 1950 il ne restait que 30 ha de vignes. Depuis la replantation, le travail remarquable accompli sur la qualité du vin a été couronné par la classification AOC en 1998. Les cépages Gamay, Pinot et Auxerrois plantés sur 100 ha produisent environ 4000 hl de vins gris (dit Gris de Toul), rosés, blancs, et rouges, tranquilles ou pétillants.
L'association les Tailbras de Taillancourt-Montbras ont sollicité le Pied Champêtre pour préparer les parcours de marche dans le cadre de l'opération Octobre Rose.
Dès 7h30, sous une pluie fine, les 3 baliseurs du club sont sur place pour le balisage du parcours principal de 7 km vers Champougny puis Maxey et un petit parcours de 2 km contournant Taillancourt.
Dès 9h00, les premiers marcheurs arrivent, accueillis dans la cour de Montbras pour donner leur obole.
Sur la soixantaine de participants, on comptait une vingtaine d'adhérents du Pied Champêtre en plusieurs petits groupes. Toute la rando entièrement à plat a été parcourue sous une petite pluie fine.
Au retour, il y avait possibilité de pique-niquer sur place à l'abri avec barbecue à disposition.
Ironie du sort : en début d'après-midi, le débalisage s'est effectué sous le beau temps ...
Expérience à renouveler en espérant de meilleurs conditions climatiques.
A l'année prochaine.
Sous un beau soleil automnal, les 30 marcheurs démarrent de Laneuville en suivant Michèle qui donne une allure modérée à la rando guidée par Martial.
Après la montée jusqu'aux éoliennes, nous empruntons un beau chemin à plat vers le Bois de Laneuville.
Nous sortons du bois en traversant le thalweg du Vaux Saint Nicolas, puis nous longeons le haut de la Côte Gérard où un fauconnier entraîne son oiseau.
Retour au village en passant devant l'église rénovée.
Un bon bol d'air sur un parcours de 7.4 km parcouru à un train de sénateur.
C'est vers 14h15 que par ce bel après midi d'automne nous nous sommes retrouvés à 16 amis devant le monument en haut de SAINT GERMAIN pour un parcours de 6 kms . Après la descente par le sentier entre les jardins, nous avons emprunté le chemin menant à OURCHES à travers la prairie. Brigitte nous ayant régalés de petits chocolats, nous avons poursuivi allègrement notre promenade jusqu'à l'entrée du village avec depuis le pont,
Ourches et ses belles maisons colorées et les beaux reflets de la Meuse encore bien basse pour la saison. Nous avons fait demi-tour à l'ancien moulin en admirant au passage les deux vieux lavoirs et les ponts encore tous fleuris de beaux géraniums.
Nous avons quitté le village et son clocher pour rejoindre SAINT GERMAIN avec au loin une vue sur la carrière et de tout près les ânes de la savonnerie. Nous remontons ensuite la rue du Hardal et passons devant l'ancienne gare pour regagner notre point de départ.
De l'avis de tous, une belle et bien agréable promenade par une météo clémente.
Daniel
Ce matin du lundi 26 septembre nous sommes 42 à Lucey pour un parcours de 11,3 km suivi d’un pique-nique sous la halle du terrain de sport de Trondes et un après-midi en forêt de Rangéval.
A Lucey, village viticole depuis l’époque romaine, nous nous laissons guider par les croix de chemin et les calvaires commémoratifs à travers les vignes alourdies de grappes de grains noirs. Les vendangeurs sont à pied d’œuvre. Au lieu-dit « le Chaudron », nous passons devant la croix de l’Evangile. Cette croix de chemin érigée en 1703, a été l’objet en 2006 du vol de la partie supérieure qui a dû être remplacée en 2008.
Sur les hauteurs de Saulxures, nous démarrons la marche à 26. Dès la montée du bois des Fagivaux, nous sommes 27, car nous voyons arriver une marcheuse qui nous rejoint pour une rando d'essai.
Après la traversée du bois, nous retrouvons un chemin blanc avec de belles vues vers Barisey au Plain, Barisey la Côte, Colombey les Belles et au loin la colline de Sion.
A l'entrée du village, nous rallongeons volontairement le parcours prévu pour rendre visite à la Vierge à l'entrée de Saulxures. Bernard en profite pour cueillir des roses des prés.... Après la photo de groupe, quelques-uns s'arrêtent là et les autres rejoignent les voitures en remontant vers la rue du Bois.
Un beau parcours de 8.5 km et seulement 7.5 km pour les quelques-uns récupérés devant la Vierge.
C'est à la zone artisanale qu'a lieu le départ de notre rando douce et cool de ce jour pour emprunter l'ancienne voie ferrée jusqu'au passage à niveau d'Ugny.
Le parcours tout à plat et bien nettoyé se fait encore sous le dernier soleil de l'été puisque nous approchons à grands pas de l'automne. Nous sommes 11 amis à nous retrouver pour cette marche bien sympathique avec l'habituelle distribution de bonbons tout en nous racontant les dernières nouvelles et surtout nos dernières vacances et sorties de l'été.
Les langues allant bon train, c'est tout étonné que nous regagnons déjà notre point de départ après environ 5 kms de balade en espérant qu'il fera encore bien bon la semaine prochaine pour nous retrouver encore plus nombreux.
Daniel
En ce lundi 19 septembre ensoleillé, nous sommes 52 à l’entrée de Gondrecourt le Château pour une balade de 10 km entre prairies et champs.
Gondrecourt le Château est dominée par la Tour Ronde du XVème siècle, dernier vestige d’un ancien château fort érigé au XIème siècle. Château et remparts furent démantelés sur ordre de Richelieu en 1633. La ville est traversée par l’Ornain qui naît de la confluence de l’Ognon et de la Maldite, traverse 39 communes sur 116 km avant de se jeter dans la Saulx à Etrepy.
Les vacances sont vraiment terminées, car pour un vendredi, nous étions 29 au départ de Montigny.
Nous empruntons le sentier de la Vallée Marchal en direction de Sainte Anne.
Un km avant la Chapelle, nous bifurquons à droite pour longer la limite communale avec Burey en Vaux et nous traversons la Forêt Domaniale jusqu'à la Plaine des Fourneaux exploitée par les fermiers de Toulon.
Nous longeons le Grand bois et à la sortie de la forêt, nous terminons le parcours de 7.6 km par une belle vue plongeante sur Montigny ensoleillé.
Aujourd'hui nous étions 7 au départ sous la conduite de Robert pour une rando de 4 kms par les Maroches Tusey et retour par la gendarmerie. A la semaine prochaine
Jean Marie
Ce lundi 12 septembre, sous un soleil radieux et 27° de température, nous sommes 31 à la sortie de Vaucouleurs pour une balade de 10 km. Passant par Tusey, nous prenons de la hauteur en direction du lieu-dit « l’Enfer » pour profiter de la vue sur les méandres de la Meuse d’abord vers Rigny la Salle, Chalaines et Vaucouleurs et ensuite, en descendant vers Ugny, on découvre Saint Germain et Ourches.
Tout en commentant le week-end divertissant d’une quarantaine de membres du club à Besançon, nous atteignons Ugny sur Meuse, son église du 12ème siècle dédiée à Saint Loup qui arrêta Attila à Troyes au 5ème siècle, et son cimetière dans lequel reposent les sept membres d’équipage d’un avion anglais, Avro Lancaster, abattu par la défense antiaérienne allemande le 27 avril 1944. Une pause à l’ombre du tilleul plus que centenaire, symbole d’amour, de fidélité et de justice (NDLR : tilleul de la révolution), au centre de la place, nous permet de nous désaltérer et les bonbons de Marie-Jeanne redonnent du tonus.
Le chemin du retour vers Tusey emprunte l’ancienne voie ferrée. Au XIXème siècle, c’est le chemin de fer qui a bouleversé les paysages et la vie de notre région. En 1861 a été déclarée d’utilité publique la ligne Neufchâteau/Pagny-sur-Meuse (46 km) qui était un tronçon de la ligne de Bologne (près de Chaumont) à Pagny-sur-Meuse (95 km). La gare de Pagny-sur-Meuse se trouvait située entre les gares de Lérouville et Toul de l’axe Paris/Strasbourg. Un triangle de raccordement permettait d’aller de Vaucouleurs à Nancy sans passer par Pagny-sur-Meuse.
Par un temps variable, Gérard nous guide sur ses terres de Maxey sur Vaise, depuis l'entrée de la forêt.
Les 18 marcheurs suivent le balisage du GRP Jeanne d'Arc jusqu'à la limite de Commune, où nous essuyons un petit grain. A peine les vêtements de pluie enfilés, que l'averse s'arrête.
Ensuite nous entrons dans la forêt de Taillancourt où nous alternons de beaux chemins blancs et d'autres chemins complétement détériorées par des ornières profondes formées par des engins de débardage.
La rando de 6.7 km se termine sous un beau soleil sur un chemin rendu boueux par les récents passages d'engins.
Aujourd’hui 5 septembre, nous avons fêté les 30 ans du Pied Champêtre. Nous étions 101 soit les 2/3 des adhérents. Dès l’arrivée on était plongé dans une ambiance de fête et de retrouvailles. 25 courageux avaient parcouru 7 km le matin sous la houlette de Gérard et rejoignaient le champ des agapes chez Annie et Pierrot, nos hôtes infatigables, attentionnés et toujours souriants.
Pour la reprise des randos du vendredi, nous sommes 16 au départ d'un parcours proposé par Martial. Nous profitons des chemins ombragés derrière Gombervaux, car le soleil tape fort en ce début d'après-midi.
Après la traversée du Bois d'Ourches, nous traversons la voie romaine et nous arrivons à l'Etoile pour une petite pause devant la baraque de chasse de Void.
Retour en empruntant le chemin parallèle à la RD 964, où apparaissent les premières colchiques qui annoncent la fin de l'été.
Pour ce parcours de 7.6 km, nous avons apprécié le travail des chasseurs après la fauche des grandes herbes.
En ce dernier lundi d’août, nous sommes 43 à la chapelle de Massey pour une balade de 10 km.
La chapelle de Massey date du 13ème siècle. Selon la tradition orale, un seigneur prisonnier évadé, chargé de chaînes fait vœu de dresser un oratoire à la Vierge. Ses chaînes le libèrent miraculeusement. Chaînes et entraves sont attachées au mur de l’abside de la chapelle.
En 1535 Jean Forget, Grand-Chantre de la Cathédrale de Toul a rebâti le sanctuaire. L’ensemble de 15m de long et 7m de large est de style gothique avec des fenêtres à meneaux. Le chœur offre de beaux vitraux.
Ce lundi 22 août nous sommes 40 à Maxey sur Meuse près de l’église Saint Michel aux vitraux aux couleurs vives et aux dessins géométriques, pour une balade de 9 km avec un point culminant à 454 mètres. Nous passons devant l’ancienne gare et l’antique pompe à eau pour combattre les incendies qui y est exposée.
Depuis Maxey nous suivons la vallée du Vair jusqu’au lieu-dit Moncel situé bien avant le village du même nom. Le Vair prend sa source à Dombrot-le-Sec, près de Contrexéville qu'il traverse. Après un parcours de 65,3 kilomètres1, il se jette dans la Meuse à Maxey-sur-Meuse. Le Vair traverse ou longe 23 communes vosgiennes. Il a dix-sept affluents dont le Petit Vair qui baigne Vittel; la Vraine, la Sermone, et le Frezelle.
En ce matin du lundi 8 août 2022, nous sommes 33 à la baraque de chasse au lieu-dit « les Granges » sur la route de Sauvoy dans la forêt de Vaucouleurs. Notre parcours de 10 km passe par « les Quatre Coupes » et « le Quart en Réserve » pour atteindre la D 10 et le canal de la Marne au Rhin. Nous suivons la lisière du bois pour rejoindre « la Tranchée Lebon ». Un monument a été dressé à l’endroit où le garde forestier Lebon a été assassiné par un braconnier le 17 septembre 1871. Nous traversons la « Sommière de la Réserve » pour suivre « le Petit Terme » et regagner « les Granges » en coupant successivement les Sommières « de Burniqueville », « de Septfond », et « du Moine ». La forêt semble globalement résister à la sècheresse. Mieux vaut cependant prendre garde aux nombreuses branches mortes que le vent a dispersées sur les chemins. Dans certaines parties du bois on constate les dégâts provoqués par de petits insectes nuisibles sur les charmes ou charmilles à l’écorce en lambeaux, aux branches dépouillées, à l’allure desséchée.
Le soleil brille dans un ciel sans nuage. La nuit a rafraichi la température de l’air ce qui rend la marche très agréable.
Mireille
En ce premier lundi d’août, nous sommes 27 à Boucq pour un parcours de 9,3 km. Nous passons devant le château pour atteindre le belvédère.
Le château de Boucq est une maison forte érigée au 14ème siècle par Jean de Brixey en remplacement d’une ancienne forteresse du milieu du 13ème siècle. L’église Saint Pierre constituait une partie de cette maison forte du 13ème siècle dont le clocher servait de tour avancée avec un chemin de ronde entre la tour et le château. La taille des murs et la présence de meurtrières dans la tour attestent de son usage défensif. Le château actuel édifié vers 1340 est une maison-tour au plan carré ce qui lui vaut le nom de « Tour Quarrée ». L’édifice est flanqué de deux tourelles semi-circulaires aux angles Nord et Est. C’est une propriété privée à louer pour des évènements privés.
Nous partîmes à 16 depuis le Collège de Vaucouleurs vers Montigny. Et par un prompt renfort de petites marcheuses, nous arrivâmes à 18 à la chapelle de Sainte Anne où nous attendaient d'autres marcheurs et non marcheurs pour la messe de 11h en plein air.
Après l'office religieux, nous récupérons nos pique-niques transportés dans les voitures des moins courageux (merci à eux...).
Parmi les autres pèlerins, nous choisissons des endroits bien ombragés pour nous protéger des rayons du soleil ardent. Nous apprécions les boissons rafraichissantes. Après la sieste réparatrice, nous occultons les offices de l'après-midi et nous prenons le chemin du retour. Les troupes s'amenuisent encore plus à Montigny, puisque nous ne sommes plus que 10 à rejoindre notre point de départ à Vaucouleurs sous un chaud soleil, après un parcours total de près de 15 km.
Sous la conduite de Denis, la troupe de 10 marcheurs démarre depuis la Porte d'Uruffe pour accéder au Circuit Coeur de Vert en Forêt de Meine.
Nous empruntons d'agréables chemins ombragés et même parfois un petit sentier bien balisé. Dès l'arrivée sur le circuit, nous nous arrêtons devant les différents totems ou panneaux qui sont une découverte pour certains.
Après avoir parcouru les 3/4 du circuit Coeur de Vert, nous rejoignons nos véhicules sous les premiers chauds rayons du soleil.
Un parcours instructif et apaisant de 7.2 km
Quelques infos sur le Circuit Coeur de Vert
Pour cette chaude matinée, Gérard nous a concocté une rando en zigzag pour profiter au maximum des chemins ombragés du Bois de Burey la Côte.
Nous sommes 22 au départ sur le parking de la RD 964 et après quelques centaines de mètres, nous rentrons dans la forêt pour ne plus en sortir qu'en fin du parcours de 9.8 km.
Un coup à droite, un coup à gauche, une petite montée, une petite descente et ainsi de suite, mais nous sommes toujours à l'ombre.
Nous terminons ce parcours en labyrinthe en sortant de la forêt sous les premières chaleurs de la journée en profitant de belles vues panoramiques sur Brixey, Sauvigny et Burey.
En période de vacances, et de reprise des cas Covid, le groupe est très réduit au départ : 6 avec parité respectée.
Départ de la baraque de chasse de la Fouée en suivant le parcours préparé par Martial (HS). Nous modifions légèrement le tracé prévu en prolongeant le chemin de Ronde pour bénéficier de son ombre et de sa fraîcheur.
Après la descente de Vigne la Dame, nous cheminons en forêt, jusqu'au chemin de Rouvau où nous montons sous le soleil matinal.
Belle rando de 7.3 km par une température agréable.
Après des désistements et des inscriptions de dernière minute, nous sommes 48 au départ d'une journée vosgienne organisée par Philippe et Daniel.
Après un voyage par un parcours à rallonge, nous arrivons à 10 heures au Haut du Tot, village le plus élevé des Vosges.
La canicule commence à se faire sentir au départ d'un parcours de 7 km. Au passage devant les Jardins de Bernadette, un petit groupe en profite pour une visite guidée des jardins et du circuit photographique.
Nous passons devant la cascade de la Pissoire presqu'à sec. A la grande montée du retour, il a fallu choisir les endroits ombragés pour ne pas souffrir de la grosse chaleur.
En cette matinée caniculaire, Jean Paul nous guide sur des chemins ombragés dans le Gros Bois de Pagny la Blanche Côte.
Les 20 marcheurs se sont rassemblés à l'entrée du Bois, côté Vannes le Chatel. Nous suivons la fraîche vallée de la Viole, petit ruisseau qui se jette dans l'Aroffe à Vannes le Chatel. Par endroits le ruisseau coule au milieu du chemin où viennent se désaltérer les nombreux gibiers de la forêt.
Nous remontons vers le Bois du Jacques, puis Jean Paul modifie la fin du parcours de 8 km pour profiter au maximum de la fraîcheur et du charme de la vallée de la Viole.
Ce lundi 11 juillet très ensoleillé, nous étions 25 au refuge des chasseurs de Gibeaumeix. Après une « mise en boîte » méritée de la guide du jour pour les bégaiements de messages sur l’horaire et le lieu de départ, la troupe s’élance pour 10 km de balade à l’ombre des hêtres, des fratries de charmes et des chênes des Bois Ascensés. L’air, encore frais, et la lumière vive agrémentent la marche. Une longue descente et une aussi longue montée nous amènent au bord de la D 114 à l’emplacement de la Porte d’Uruffe matérialisée par une pyramide en bois expliquant que l’on pénètre dans les sentiers balisés du « Cœur de Meine ». Ces parcours très bien signalés, destinés aux promenades familiales, dessinent une boucle au milieu de la forêt communale d’Hussigny accéssible depuis les villages alentour par différentes Portes comme celle où nous nous trouvons. Des bornes disposées le long des sentiers balisés explicitent divers aspects de la faune, de la flore, ou des éléments comme le vent. Nous suivons le balisage un court moment puis nous éloignons en direction de la fontaine de Meine. Une nouvelle descente et remontée plus loin, nous atteignons la Porte de Blenod que nous dépassons. Sur le chemin de la fontaine une borne nous indique le temps nécessaire à différents déchets pour être éliminés dans la nature. Une autre borne est consacrée à un des oiseaux habitués de nos forêts, le geai. Nous renonçons à faire l’aller-retour jusqu’à la fontaine supposée à sec, et obliquons vers le chemin du retour au prix d’une montée un peu rude. Puis c’est un parcours à plat, toujours à l’ombre des bois, qui nous ramène à nos véhicules.
Vu le peu d'enthousiasme pour les premières randos matinales et compte-tenu de la température correcte prévue, la rando matinale du lundi a été reprogrammée l'après-midi. Finalement, le changement d'horaire a été globalement apprécié, puisque nous étions 45 au départ de Vouthon-Bas.
Nous montons en direction de Vouthon Haut jusqu'au monument d'Isabelle Romée et nous suivons le GR 703-714. Pour profiter de la fraîcheur, nous randonnons sur de bons chemins ombragés.
A la sortie du Petit Bois, nous profitons d'une vue sur Vaudeville et Séraumont. Après la campagne en début de moisson, nous entrons de nouveau dans la forêt. En fin de parcours, Jean Marc modifie le tracé en passant en lisière de la Frière et nous terminons en contournant le village par l'arrière.
Agréable parcours en huit de 10.3 km, en grande partie inédit, parcouru sous une température idéale de 24°.