Par un beau vendredi automnal, nous sommes 37 sur le plateau de Sauvigny à l'entrée de la Forêt Communale. Après quelques mètres nous passons à côté de la Croix Pancarnel dont les inscriptions sont difficilement déchiffrables.
Nous cheminons sur de beaux chemins et lignes bien dégagées par les chasseurs. Après une incursion dans les Vosges, nous arrivons à la borne à l'intersection de 3 départements : 54 (Mont l'Etroit), 55 (Sauvigny) et 88 (Clérey la Côte). Pour la photo, chacun pose sur son département de naissance, sinon d'habitation.
Le guide a été obligé de modifier et raccourcir le parcours, car une ligne prévue était inexistante.
Nous arrivons à nos véhicules après un parcours de 6.8 km avec peu de dénivelé à part une petite descente glissante passée allègrement sans chute.
Nous sommes 20 courageux au départ de Sorcy sous un ciel chargé.
Nous arpentons ruelles et sentiers entre les deux villages avec bonne humeur et peu de dénivelé sur 4.3 km.
La pluie nous épargne et nous terminons par une bonne surprise : Lucette nous invite à fêter son anniversaire
Martial
En ce lundi nuageux, nous sommes 52 au départ du circuit balisé n°2 dit de la Chapelle de Massey. La cohorte des deux groupes se dirige vers la carrière Novacarb, puis suit le sentier dans le sens inverse du balisage pour avoir une autre vision.
Au passage une partie du groupe descend jusqu'à la Chapelle de Massey récemment rénovée.
Et c'est après que les difficultés commencent : montée glissante, puis chemin boueux encombré de branches mortes et caillasse.
Arrivés au point culminant, nous voyons au loin une famille de sangliers traverser le chemin trop rapidement pour être photographiée.
Retour par un bon chemin blanc glissant par endroits (nouvelle chute de la présidence, mais le nouveau gobelet est intact!!!). Le 1er groupe nous rejoint à l'endroit de la partie commune.
Deux parcours de 10.4 km et 11.8 km parcourus par un temps idéal avec quelques gouttelettes de pluie au départ et à l'arrivée.
Au départ du bas de Saint Germain, nous sommes 30 à traverser la Meuse sous la conduite de Jean Marie en direction de la prairie.
En longeant un bois, le sentier se ferme et nous faisons du hors piste pour retrouver le bon chemin.
Après avoir résolu le problème du pantalon qui ne tenait plus...,nous contournons Ourches par les hauteurs, puis nous entrons dans le village.
Après le passage sur le pont provisoire de 1940 enjambant la Meuse, nous rejoignons Saint Germain par la prairie.
Nous faisons un petit coucou à Yoyo notre ancienne Mère Picsou.
Un beau parcours sous le vent de 7.4 km.
Denis remplace au pied levé Jean Marie qui a déclaré forfait, ainsi que les nombreux marcheurs du mercredi effrayés par l'averse de midi.
Finalement nous sommes quand même 8 courageux au départ de la Zone de Tusey par un temps couvert et doux. Nous contournons la zone, puis nous redescendons pour emprunter le sentier bucolique de l'ancienne voie ferrée en direction d'Ugny.
Nous retournons sur nos pas en suivant le sentier jusqu'à notre point de départ sans une goutte de pluie.
Les participants ont apprécié ce parcours de 4.9 km que les nouveaux ont découvert et apprécié. Les absents ont eu tort.
En ce lundi de lendemain du week-end à Bitche nous sommes 47 au départ de Houdelaincourt sur des parcours préparés par Jean Luc.
Le premier groupe démarre pour une rando de 12.5 km vers les arrières d'Abainville par l'ancienne voie ferrée, puis remonte vers la campagne entre Bonnet et Houdelaincourt.
Le deuxième groupe chemine dans la campagne et en fin de parcours, il est décidé de raccourcir à 8.8 km pour profiter de la traversée du village et admirer la belle fontaine.
En ce vendredi sous un chaud soleil estival, nous sommes 21 au départ de NAIVES EN BLOIS sous la conduite de Bernard.
Après l'arrivée des retardataires qui se sont perdus entre Broussey et Naives, nous démarrons à travers la campagne et nous apprécions ensuite d'entrer dans la forêt sur de beaux chemins ombragés.
Après le Bois de la Sarthe et la traversée de la départementale 29, nous cheminons dans le Bois d'Inglure pour terminer par un chemin blanc vers Naives.
Merci à Bernard pour ce beau parcours en partie inédit de 7.8 km.
Après le repos des vacances, nous sommes 23 au départ de Vaucouleurs vers Tusey sous la conduite de Jean Marie.
Parcours agréable de 5.5 km sous un beau soleil mais beaucoup de vent.
Martial
En ce lundi matin nous sommes 44 à monter dans le car en destination de la Butte de Montsec. Après la photo devant le monument américain, nous faisons deux groupes pour des randonnées à la carte.
Le premier groupe de 30, guidé par Gérard et Jean Luc, démarre pour un parcours de 11 km jusqu'à la base d'Heudicourt.
Un deuxième groupe plus cool de 11, guidé par Denis s'arrête à la base de Nonsard pour un parcours de 8 km.
Un mini-groupe de 3 touristes se promène sur le site de Madine.
Au passage au village de Montsec le 2ème groupe savoure un petit café chez la sympathique Pépette.
Ce vendredi 13 septembre nous sommes 33 à Delouze, commune fusionnée avec Rosières, pour un parcours de 7,7 km sous un soleil automnal. Delouze possède deux belles fontaines et deux lavoirs dont le lavoir Saint Pierre qui a une belle charpente traditionnelle en bois. A l’origine le lavoir n’était qu’une pierre plate ou une planche posée au bord d’un cours d’eau sans abri. Les épidémies et les politiques hygiénistes qui s’ensuivent entrainent le développement de constructions spécifiques dès la fin du 18ème siècle. Les épidémies de choléra, de variole, et de typhoïde, inciteront le Parlement à voter la loi de 1851 qui accorde une subvention de 30% pour la construction de lavoirs couverts.
Nous étions 112 inscrits au Repas Champêtre sous les hauts de Vaucouleurs dans la propriété d'Annie et Pierrot pour fêter la fin de vacances et la reprise, bien que les activités n'aient jamais cessé...
Pour se mettre en jambes, une petite troupe d'une vingtaine de marcheurs a parcouru 8.5 km sous la houlette de Gérard vers Montigny.
Auparavant, le chapiteau avait été monté et les équipes de restaurateurs étaient à l'œuvre : une équipe pour les amuse-bouches et desserts, une équipe pour les entrées, une équipe pour le boeuf à la brésilienne et les frites fraîches, sans oublier l'équipe du bar.
Ce vendredi 6 septembre ensoleillé nous sommes 21 devant le cimetière de Goussaincourt pour une marche de 8 km. Nous parvenons en bordure de GOUSSAINCOURT à une croix sur laquelle une plaque indique « Mission de Toul 1766 ». Les croix de mission étaient érigées pour commémorer une manifestation appelée « mission » durant laquelle les prêtres « missionnaires » qui parcouraient le pays pour les organiser prêchaient de façon « percutante » pour stimuler la foi des fidèles. A la fin de chaque mission, on élevait une croix.
Ce lundi 02 septembre, nous reprenons les marches l'aprés midi. Nous sommes 27 au rendez vous sur le parking au dessus de Blénod les Toul. Le premier groupe est composé de 10 participants pour un circuit de 11.2 Kms avec 242 m de dénivelé, il est guidé par Patrick.
Jean Paul emmène les 17 autres pour 10 Kms et 224 m de montées.
Ce lundi 26 août ensoleillé nous sommes 33 à Taillancourt pour un parcours de 10 km (11,1 km pour les courageux) dans le Bois de Taillancourt au départ de la baraque de chasse. Taillancourt possède un lavoir singulier, construit au XVIIIème siècle et restauré en 1853 par Merdier. Alimenté par un bras de la Haute Meuse, il est précédé d’un porche en pierre de taille comportant une porte plein cintre. Le toit couvert en tuiles violon est surmonté par un lanterneau en surélévation éclairant le bassin par le haut en complément des quatre baies rectangulaires percées sur le côté. La charpente de chêne est impressionnante.
En ce beau lundi d'août, nous sommes quand même 33 au départ de la Croix Maury à Troussey, juste après le passage sous le canal et la voie ferrée.
En deux groupes, nous partons vers la forêt domaniale de Dommartin aux Fours qui était un village disparu, rattaché à Troussey.
Puis nous entrons dans le Bois La Ville de Sorcy par un chemin blanc et au retour nous suivons un beau chemin de terre agréablement ombragé en passant devant la baraque de chasse de Sorcy.
Au sortir de la forêt, nous bénéficions d'une superbe vue panoramique sur les fours à chaux et sur le village de Troussey.
Merci à Bernard pour ces beaux parcours totalement inédits de 10 et 11.5 km.
Ce lundi ensoleillé et chaud nous sommes 38 à la baraque des chasseurs route de Sauvoy pour un parcours à l’abri des arbres de 10 km (plus de 11 km pour les courageux). Les chemins sont secs mais l’herbe est haute et dissimule des obstacles à la marche. C’est pourquoi au lieu-dit « Quart en Réserve », Monique a fait une chute. Son poignet et sa tempe ont tapé le sol. Denis a récupéré sa voiture pour la raccompagner chez elle et prévenir sa fille qui a pris le relai. Après avoir longé la vallée de la Méholle et la route de Mauvages, nous empruntons la tranchée Lebon où une stèle rappelle le lieu où, en 1871, un garde forestier du nom de Lebon a été assassiné. Puis d’un commun accord nous revenons par la route forestière, certes longue, mais gravillonnée et plate où la marche est aisée.
Ce lundi 5 août nous sommes 28 sur la D114 Uruffe-Blénod à la « Porte d’Uruffe », un des accès au circuit « Cœur de vert » pour un parcours de 10 km (plus de 11 km pour les courageux) dans la Forêt de Meine. En 1993 le Conseil Départemental de Meurthe et Moselle a lancé une politique de préservation des Espaces Naturels Sensibles (ENS) dont fait partie le massif de Meine entretenu par l’ONF. Une partie de la forêt a été classée ENS, préservée mais ouverte au public et aménagée en parcours de randonnée de 4,5 km, balisé par des rectangles jaunes sous un cœur vert, pour permettre la découverte de la faune et de la flore du site. On y accède par 5 portes depuis les communes avoisinantes : Porte d’Uruffe, Porte de Blénod-les-Toul, Porte de Vannes-le-Chatel, Porte de Bulligny, Porte d’Allamps distantes d’environ 2 km du parcours de découverte. Les portes sont des totems en forme de pyramides à 4 pans qui présentent le circuit de promenade et signalent les points d’intérêt à visiter dans la commune la plus proche.
Ce lundi 29 juillet nous sommes 34 à l’ancienne gare de Maxey sur Meuse pour un parcours de 9 km. Les chemins de fer se sont développés en France entre 1830 et 1870. De 1850 à 1874, trois lignes concernant notre région se sont construites. La ligne Paris-Strasbourg est ouverte par tronçons à partir de 1849: le tronçon Bar le Duc-Commercy en 1851 et Commercy-Nancy en 1852. De même une ligne relie Neufchâteau à Paris-Nancy-Strasbourg. Des lignes d’intérêt local ont également été ouvertes. A cette époque les trains desservaient la plupart des villes et villages. Dans une vitrine de la gare de Maxey, on peut voir une ancienne « pompe à bras » utilisée jadis par les pompiers pour arroser les incendies.
Ce dernier dimanche de juillet très ensoleillé, nous sommes 23 qui partons dès 8h15 du collège des Cuvelles à Vaucouleurs pour la traditionnelle marche vers la Chapelle Sainte Anne de 15,5 km aller et retour.
En suivant le balisage réalisé par le Pied Champêtre, nous marchons sur le GRP « au Pays de Jeanne » jusqu’à Montigny-les-Vaucouleurs. Connu pour ses faïenceries au XVIIIème siècle, Montigny s’est doté au XIXème de 4 fontaines. La Fontaine dédiée à Neptune se trouve non loin du lavoir-égayoir, Celle de la rue Sainte Anne est de style néoclassique, reconnaissable à son fronton triangulaire, à ses trois bassins, à sa vasque ornée de têtes de faunes et au dauphin sculpté au pied. La Fontaine Jeanne d’Arc est reconnaissable à la statue coulée aux fonderies de Tusey. Enfin la Fontaine de la Faïencerie (1845) est équipée de deux auges rectangulaires et d’un bassin semi-circulaire. Un dauphin orne sa base et un vase décore le sommet.
Ce vendredi 26 juillet nous sommes 22 devant le monument du Sacré Cœur dans le Bois de Rigny-la-Salle pour un parcours de 8 km. Au lieu-dit « Sur les Monts » s’élève la stèle dite du Sacré Cœur en pierre d’EUVILLE surmontée d’une statue du Christ, coulée par les établissements PIERSON, qui a une belle histoire. L’abbé LAQUESTE, curé d’UGNY et des deux RIGNY, lors de la guerre 14-.18, fit le vœu d’ériger une chapelle dédiée au Sacré Cœur si ses trois paroisses étaient épargnées par la guerre. Il fut exaucé car le front resta au-delà des trois villages. N’ayant pu collecter une somme suffisante pour une chapelle, ce fut cette stèle qui fut érigée et inaugurée le 6 Septembre 1936.
Ce lundi 22 juillet nous sommes 40 à partir pour une sortie à la journée dans les environs de Villey-Saint-Etienne.
Le matin un parcours de 10 km dans la forêt communale de Villey-Saint-Etienne nous fait découvrir la richesse de cette très belle forêt en chênes plusieurs fois centenaires. En outre nous croisons de beaux et forts chevaux de débardage qui ont l’avantage de causer moins de dégâts dans les bois que les engins à moteur.
Ce vendredi 19 juillet chaud et ensoleillé, nous sommes 17 pour un parcours de 7,5 km qui commence sur le GR 703 en direction de Rigny-Saint-Martin. Du haut de la côte du Rouvel, nous profitons de la vue sur la vallée de la Meuse et en descendant vers Rigny sur la vallée de l’Aroffe. A l’entrée du village de Rigny, la croix Gastiner rappelle les épidémies qui ont frappé la population. C’est en remerciement pour avoir été épargnée par l’épidémie de choléra de 1854 que la famille Gastiner a fait ériger la croix qui porte son nom. Nous saluons la très originale église Saint Martin construite en 1849 et restaurée en 1893, à la nef ronde rarissime. Au-dessus du grand portail un fronton triangulaire porte « Deo Optim Maxim » DOM : Dieu est très grand.
Ce lundi 15 juillet très ensoleillé, nous sommes 32 à Lay-Saint-Remy pour un parcours de 9,5 km. Nous longeons d’abord les berges du canal de la Marne au Rhin qui disparait sous un tunnel de 870 mètres. Au lieu-dit Neuf Pont, ce tunnel débouche sur un vaste bief de deux écluses.
Nous pénétrons alors dans le domaine de Savonnières. Le partage du royaume laissé par Charlemagne à son fils Louis le Pieux entre ses petits-fils, Charles le Chauve, Lothaire et Louis le Germanique par le traité de Verdun en 843 a donné lieu à bien des conflits et les trois frères se sont retrouvés à plusieurs reprises pour régler leurs différends.
Ce vendredi 12 juillet nous sommes 16 à l’entrée de la route menant au château de Gombervaux. Mais c’est vers Sauvoy que nous abordons la sommière de Gombervaux pour un parcours de 7,8 km dans la forêt de Vaucouleurs. Pour se faire pardonner les passages un peu gras, la forêt nous offre au bord du chemin des « jaunottes », champignons en forme de trompette d’un jaune lumineux. On ne se fait pas prier pour les ramasser. Les conversations s’orientent immédiatement sur les manières de les cuisiner et les extraordinaires récoltes des années passées.
A mi-parcours nous passons devant la baraque des chasseurs et poursuivons nos conversations au cours d’une balade sans gros dénivelé agrémentée de friandises, sous le soleil, par une température idéale pour la marche.
Détendus et satisfaits, nous regagnons nos véhicules.
Mireille
Ce lundi 8 juillet le ciel est tout bleu. Nous sommes 30 à Broussey en Blois au pied de l’église de la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie, pour un parcours de 10,5 km (11,5 km pour les plus courageux).
16 participants pour une rando matinale de 7.9 km guidée par Jean Paul entre Gibeaumeix et Uruffe. Retour par le plateau des Lavières.
Ce premier lundi de juillet nous inaugurons la période d’été où le Pied Champêtre randonne le matin pour échapper à la chaleur. Mais c’est la fraicheur et la pluie qui accueillent les 29 courageux marcheurs à leur descente de voiture au lieu-dit « le Rond Pommier »dans le Bois de Charmes-la-Côte. Notre parcours fait 11 km et celui des plus courageux 12 km. Sous nos capes et à l’abri des arbres, nous suivons la ligne des fortifications de Séré de Rivières sur la Côte Labile et la Côte Labeur au-dessus de Charmes-la-Côte, puis la Côte Monnaie et la Côte le Loup au-dessus de Domgermain. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le saint patron du village n’est pas Saint Germain mais Saint Maurice auquel est dédié l’église du 18ème siècle et la chapelle du 15ème siècle.
Ce vendredi 28 juin chaud et ensoleillé nous sommes 19 dans le Bois de Void au lieu-dit l’Etoile pour un parcours de près de 8km à l’ombre des arbres. Le chemin d’abord en direction d’Ourches nous réserve la découverte de magnifiques chênes dont certains ont mérité l’appellation d’arbres remarquables par la largeur et la hauteur de leur fûts. Les moustiques se montrent un peu insistants mais grâce aux plus prévoyants d’entre nous, nous nous protégeons avec force onguents répulsifs. Notre marche tranquille est ponctuée de distributions de gâteries caramélisées ou chocolatées.
Pour la dernière rando douce avant les vacances, la tradition est de se retrouver pour un pique-nique à la baraque de chasse de Maxey.
Sous la conduite de Jean Paul, une dizaine de marcheurs a fait un aller et retour de 4 km à plat sur un beau chemin à l'ombre.
A midi, l'assemblée triple puisque nous sommes une trentaine de mangeurs à l'ombre sous l'auvent pour déguster l'apéritif offert par le club : bière pression, porto, jus de fruits et divers accompagnements.
On note la présence de deux anciens présidents Mohamed et Jean Paul et du président actuel Denis.
En ce vrai premier lundi d'été, nous sommes 51 au départ de Pagny la Blanche Côte. Sous un chaud soleil, les deux groupes se dirigent vers le sommet de la Blanche Côte, site classé Réserve Naturelle Régionale par le Conservatoire des Sites Lorrains.
Nous passons devant le Fort de Pagny, qui en réalité est situé à cheval sur les territoires de Champougny et Uruffe. Puis nous entrons dans le Bois de Montcel pour bénéficier de l'ombre rafraîchissante. Un petit aller retour est proposé pour monter à la Tête des Rousseaux pour bénéficier d'une magnifique vue sur la vallée de la Meuse.
Retour à Pagny après un agréable parcours de 9.6 km pour les uns et 12 km pour les autres.
Ce vendredi du 21 juin qui fait suite à une série d’orages, nous sommes 14 à Lucey pour un parcours de 7 km qui nous mène aux forts de Trondes et de Lucey.
Un « Vauban du 19ème siècle », le général Séré de Rivières (1815-1895) réalise de 1874 à 1885 un nouveau système de défense qui pense répondre aux évolutions des armements. Mais les avancées technologiques vont vite et le programme de fortification est condamné à peine achevé. La France doit consentir à partir de 1885 un effort supplémentaire pour moderniser ses défenses. C’est ainsi que le fort de Lucey a été construit en 1892.
Petite affluence de 8 marcheurs pour la rando douce guidée par Gérard.
Départ entre Epiez et Badonvilliers en direction de la Chapelle de Sainte Anne. Retour par la campagne de Badon, puis la petite route 193.
Parcours à plat de 4.8 km.
En ce lundi maussade, nous ne sommes que 38 au sommet de la colline inspirée. Beaucoup ont renoncé à cause de la météo incertaine et du pique-nique qui n'est pas très apprécié...
Sous la conduite de Jean Paul nous suivons une boucle de 9.2 km en passant par le site Maurice Barrès. Un autre groupe guidé par Gérard emprunte un parcours allongé de plus de 11 km. Quelques belles descentes et montées rendues glissantes par les pluies de la nuit, mais de beaux sentiers bien agréables. Avant midi, nous essuyons une petite bruine qui ne nous a même pas mouillés.
Cet après-midi, nous sommes 14 courageux au départ de la randonnée sous un soleil timide.
Marche inédite dans la forêt de Troussey sous la conduite de Bernard. Très beau parcours de 7.2 km malgré un sol détrempé.
Nous sommes contraints de passer les capes sur la fin de la marche.
Très bel après-midi dans une forêt magnifique.
Martial
Nous étions 17 personnes au départ de la rando de Lay ST Rémy pour un parcours de 5 kms.
L'espace sauvage des marais est à déconseiller jusqu'à la remise en état du sentier qui est complètement obstrué par la végétation et par le remplacement des planches défectueuses des passerelles.
Jean Paul
En ce lundi sous un ciel voilé, nous sommes 57 au départ d'une rando inédite au départ de Luméville en Ornois (Commune de Gondrecourt le Château).
2 groupes sont formés et au début, nous suivons l'ancienne voie ferrée, puis nous traversons Luméville, village natal de Fernand Braudel, historien et académicien. Puis en longeant le Bois du Mont, nous arrivons dans le parc du Château de Beaupré avec l'autorisation obtenue par Jean Marc.
En longeant les étangs nous arrivons à Chassey Beaupré avec visite de l'église.
Le retour se fait par un chemin de campagne entre céréales et fleurs des champs : 11.5 km pour le groupe 1 et 9.6 km pour le groupe 2.
Par un beau soleil, nous sommes 24 sur le plateau de Brixey pour une rando guidée par Patrick. Pour changer les vues habituelles, le sens de la rando est inversé et nous montons tranquillement à travers la campagne.
A proximité de la Chapelle, nous croisons un groupe de marche nordique du Club Vosgien de Neufchâteau avec qui nous taillons une petite bavette...
Après la distribution de nougat ardéchois, nous empruntons en file indienne un agréable sentier ombragé. A la sortie de la forêt, la majorité du groupe fait un aller retour vers le point de vue sur la plaine de Ruppes Punerot.
Ensuite retour vers les véhicules après un agréable parcours de 8.1 km (7.3 km sans l'aller et retour)
Nous sommes 17, dont 16 dames au départ de la rando en direction de la sommière de Gombervaux.
Le parcours prévu devait prendre la 1ère ligne à gauche. Surprise : cette ligne est complètement défoncée par des ornières de 50 cm partiellement remplies d'eau.
Application du plan B en suivant un autre parcours qui nous fait longer la forêt de Sauvoy, puis traverser le Bois d'Ourches où sont cueillies quelques asperges de bois.
Un parcours 4.7 km à plat avec des parties boueuses et enherbées.
Ce lundi 3 juin nous sommes 47 à l’église de Vacon pour un parcours de 10 km (11km pour les courageux). Le trajet nous fait emprunter toutes sortes de chemins : au milieu de très hautes herbes, puis boueux, puis impeccablement gravillonnés, en montée, à plat, en descente. Les conversations sont alimentées par le séjour en Ardèche que beaucoup d’entre nous viennent de faire et qui a été apprécié. Nous goûtons avec gourmandise au nougat ardéchois.
Le temps est doux et nous prenons plaisir à parcourir le Bois de Voirut. Arrivés à l’aire de pique-nique au-dessus de la Côte des Vignes, un vaste paysage dévoile Ville Issey, Sorcy, et une belle vue sur l’église et le château de Void.
Une agréable balade sous un soleil enfin printanier.
Mireille
Ce lundi 27 mai, amputés des 61 marcheurs partis en Ardèche, nous sommes 15 devant le lavoir de Gibeaumeix par un temps sec et frais, si propice à la randonnée que notre parcours s’est trouvé allongé à 11 km. La côte de la Vigne la Dame a fait abandonner les vêtements superflus. Le chemin de la Fouée nous a conduits tranquillement à Chalaines. C’est au niveau du Champ Wuillaume que nous avons aperçu un papillon aussi beau qu’original aux ailes striées de jaune et de noir. Puis la descente vers Rigny Saint Martin, bordée de magnifiques sauges des prés d’un bleu profond, s’est déroulée dans un paysage champêtre de pâtures, de champs de colza et de blé, de collines boisées, offrant à perte de vue un beau dégradé de vert avec vue sur Rigny la Salle et sur Gibeaumeix. Peu enclins à nous déchausser, nous avons préféré utiliser la passerelle pour la traversée du gué de l’Aroffe. Le chemin de la Rochotte qui suit la rive du ruisseau nous a paisiblement ramenés à Gibeaumeix.
Les conversations sont allées bon train et les bonbons généreusement offerts ont été appréciés.
Mireille
Ce vendredi 24 mai plutôt pluvieux nous sommes 17 à Gombervaux pour un parcours de 7,4 km qui passe pour partie sur les parcours de la manifestation « Marcher pour bien vivre en Meuse » organisée le dimanche 16 juin au château. Aujourd’hui nous sommes peu nombreux car demain matin 61 membres du club embarquent pour une semaine en Ardèche et font leurs bagages.
Notre chemin monte vers l’ancienne ferme du Margouillis offrant une belle vue sur Saint Germain et Ourches. Nous longeons le bois au lieu-dit Saint Gorgon qui abritait autrefois un ermitage et une chapelle ainsi que le village d’Amblainville.
Nous sommes sommes 18 courageux au départ de Troussey. Après un léger dénivelé rue de la Rouchotte, nous rencontrons un aimable brasseur qui nous fait visiter sa micro brasserie (adresse à retenir pour nos prochaines fêtes).
Puis direction sur les hauteurs de Troussey avec un magnifique panorama.
Puis descente vers le centre du village pour la visite du musée de la pomme de terre.
Visite très intéressante commentée par un passionné. Dégustation de petits gâteaux à base de pomme de terre.
Martial
Musée déjà visité lors de la marche du vendredi 22 mars
Ce lundi 20 mai nous sommes 26 à Trondes. Nous profitons d’une pause entre deux journées pluvieuses pour un parcours de 10,2 km vers Boucq. Le long du ruisseau de Vano, puis dans le Vaux le Loup où nous rencontrons deux petites vaches vosgiennes très caractéristiques avec une bande blanche le long du dos et sous le ventre et des taches noires et grises sur les flancs. Notre chemin grimpe ensuite une côte qui mène au Bois du Change, puis au Bois du Val Maillot pour atteindre Boucq. Devant la table d’orientation nous apprécions le vaste panorama qui va du Monument Américain du Montsec à gauche, jusqu’à Lagney au pied des Côtes de Meuse à droite en passant au-dessus de la Forêt de la Reine. A nos pieds se trouve le château.
Ce vendredi 17 mai pluvieux nous sommes 18 à Mauvages pour un parcours de 7,9 km qui passe devant deux lavoirs dotés de très anciennes charpentes et devant moult fontaines. Nous revivons les étapes de la Grande Randonnée vers Paris des 12 et 13 avril, le passage devant la Chapelle Notre Dame de Bonne Espérance (16ème et 17ème siècles), les photos devant la Fontaine du « Déo »(1831) et devant le portail roman de l’église Saint Pantaléon (12ème siècle), et le pot de l’amitié offert par M le Maire. Dans le cadre des JO 2024, sept itinérances ont été organisées par les Comités Départementaux et Régionaux de la FFRP. Les départs se sont échelonnés du 13 janvier au 20 avril pour une arrivée sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris le samedi 11 mai dernier. Cela a représenté plus de 10 000 km en 558 étapes. Bravo à notre ambassadeur vétéran du Grand Est âgé de 79 ans, qui a parcouru 650 km de Schengen à Paris, accompagné à chaque étape par les marcheurs des clubs locaux.
Nous sommes 15, en comptant le petit Emile, au départ d'une rando sur les hauteurs de Sepvigny par un temps couvert, sans pluie et sans vent.
Nous suivons d'abord un chemin blanc, puis le retour emprunte un chemin enherbé un peu humide.
En fin de parcours les plus courageux ont fait un petit aller et retour pour bénéficier d'une superbe vue panoramique sur la vallée de la Meuse et les villages de Sepvigny, Burey en Vaux et Maxey sur Vaise. Après 3.6 km nous rejoignons nos véhicules devant le Jardin des Grimpantes où nous terminons notre après-midi par une visite guidée.
Ce lundi 13 mai nous sommes 58 à Sampigny pour une randonnée à la journée. Le départ a lieu au cimetière et nous marchons sur un peu plus de 9km d’abord dans le Bois de Sainte Lucie, puis dans le Bois de Béthelémont, et dans le Bois de Sampigny avec retour par la jolie chapelle Sainte Lucie.
A midi nous nous rendons au restaurant de Koeur la Petite où nous attend un repas alléchant: apéritif (kir, bière, jus de fruits), salade vosgienne, filet mignon de porc sauce champignons et frites maison, vin rouge, blanc ou rosé, café ou thé gourmand.
A Sampigny se trouve le château « le Clos » qui fut la résidence secondaire de Raymond Poincaré (1860-1934) et de son épouse Henriette (1858-1943).
Ce lundi 10 mai ensoleillé nous sommes 27 à Maxey sur Vaise pour un parcours dans les bois de 7,6 km qui commence au lieu-dit « les Atteincôtes » et emprunte une partie du GRP « au pays de Jeanne d’Arc » entre Vouthon Bas et Maxey. Arrivés à 413 m d’altitude on oblique à travers le bois du « Petit Chênois » vers le « Vau de Bure » sans l’atteindre. Une longue ligne droite à plat suivie d’une belle descente nous ramène vers la Scée, notre point de départ.
Les pluies abondantes des dernières semaines ont profité à la végétation maintenant touffue et aux arbres qui se sont couverts de feuilles. Le sol est gorgé d’eau. Sources et fontaines sourdent un peu partout. Le muguet abondant dans ce bois est déjà un peu fané mais les brins encore beaux et odorants se méritent au prix d’un pataugeage dans la boue sur plus de 600 mètres. Mais rien ne peut assombrir notre bonne humeur puisque le soleil égaie la balade.
Mireille
A Orléans chaque année le 5 mai une procession laïque célèbre la délivrance de la ville par Jeanne. C’est donc naturellement que Jean-Marc nous a préparé une balade à Domrémy la Pucelle ce lundi 6 mai. Jeanne arrive à Chinon le 7 mars 1429, rencontre Charles VII, puis part pour Orléans, avec un détour par Poitiers où se trouvent le Parlement et l’Université afin qu’ils s’assurent que Jeanne n’est pas une illuminée. Orléans est assiégée par les Anglais. Jeanne parvient à y entrer avec quelques chevaliers, mobilise les habitants. Les troupes françaises la rejoignent et le combat s’engage le 4 mai 1429. Le 7 mai Jeanne est blessée à l’épaule mais revient dans la bataille et c’est la victoire.
Ce vendredi 3 mai nous sommes 33 à Pagny sur Meuse pour un parcours de 7,4 km dans le Bois Le Juré avec l’espoir de trouver encore du muguet.
Nous sommes à la gare mise en service en 1872 lorsque la Compagnie des Chemins de Fer de l’Est a ouvert la ligne Paris-Strasbourg. Cette gare est maintenant desservie par les TER Bar-le-Duc-Nancy. Devant la gare, Denis Mellinger a sculpté une voyageuse vêtue à la mode des années 30, assise à côté de ses bagages, protégée par son parapluie. La statue est réalisée avec des pierres de trois provenance : Euville, Savonnières, Jaumont.
Ce lundi 29 avril nous sommes 47 au stand de tir de Vaucouleurs pour un parcours de 12,1 km pour le premier groupe et 9,9 km pour le second groupe. Du plateau de Bussy nous descendons vers Burniqueville. A Burniqueville, ne subsiste devant le Trou du Loup qu’une tour carrée vestige de la propriété où, en 1713, Antoine Girault a créé la première faïencerie valcoloroise. A la suite de nombreuses péripéties et de revers financiers, l’entreprise cesse son activité et l’un de ses ouvriers Mansuy Pierrot fonde en 1730 sa propre faïencerie à MONTIGNY-LES-VAUCOULEURS. Il est imité par François Cartier vers 1732/34 et par le potier Jean-Baptiste Gauron.
Par un après-midi au temps variable, Gérard guide les 22 marcheurs vers le Bois de Neuville. Dans la montée, nous sommes obligés d'enlever une couche car le soleil fait de chaudes apparitions.
En forêt, nous cherchons quelques brins de muguet pour le repas du Boldair, mais la récolte est bien maigre. Par contre Guy a ramassé quelques avrillots pour une bonne fricassée.
A la sortie de la forêt nous bénéficions d'une belle vue panoramique sur la vallée de la Meuse, en même temps que quelques gouttes de pluie qui ne nous ont même pas mouillés.
Une agréable rando variée de 7.8 km.
Nous sommes 14 courageux au départ de la baraque de chasse de Chalaines sous une averse de grêle.
Malgré la météo, nous parvenons à faire 5 km.
Le parcours est modifié en raison des chemins boueux.
Une belle balade fraîche et humide
Martial
Ce lundi 22 avril nous sommes 48 à Vannes le Chatel à la grande halle pour un parcours de 10,7 km. Nous rejoignons le ruisseau l’Aroffe près de la confluence avec le ruisseau la Viole et remontons la berge vers le lieu-dit le Château. Nous traversons la D4. Par le chemin qui monte à gauche de la D113, nous nous hissons jusqu’au sommet de la Terre des Bois (400 m). Dans le Bois de Vannes, nous traversons la sommière du Chêne Patu pour prendre la sommière du Lièvre Manqué. Nous descendons ensuite par le talweg jusqu’au lieu-dit Harbévaux.
Ce vendredi 19 avril nous sommes 18 à Villeroy-sur-Meholle sous la pluie pour un parcours de 7,9 km. En arrivant nous sommes passés devant le lavoir de 1840 très bien restauré avec ses trois abreuvoirs, sa fontaine et son gayoir. Les bords du bassin rehaussés permettaient de laver le linge debout et non à genoux ce qui offrait plus de confort aux lavandières.
Puis nous avons laissé nos véhicules sur la place en face de l’église Saint Evre dont le chœur date des 15ème et 16ème siècles. C’est une église fortifiée. La salle refuge n’est accessible que depuis l’intérieur et la nef est percée de 6 archères défensives. Au centre de la place, la fontaine-abreuvoir de 1904 est surmontée par un lampadaire. Autour de la place les tilleuls ont été plantés en 1811 à la naissance du Roi de Rome. A la fin du 19ème siècle un atelier de distillation avec 4 alambics a été construit. C’est pourquoi un alambic décoratif trône sur la place.
Ce mercredi 17 avril nous étions 52 dans le bus qui nous a amenés à Bar le Duc pour les manifestations organisées dans le cadre de la journée de repos des Ambassadeurs de la Grande Randonnée vers Paris. Salle Dumas un café-pâtisseries nous attend. Alors qu’une succession d’averses s’annonce, nous commençons un parcours de 7,7 km qui nous fait descendre la côte Sainte Catherine et enjamber le canal. Nous passons devant l’église Notre Dame construite et remaniée à plusieurs reprises entre le 10ème et le 18ème siècle actuellement en travaux. Le Pont Notre Dame, construit en 1311, nous fait traverser l’Ornain. Bombardé durant la deuxième guerre mondiale, le pont fut détruit à l’exception du pilier qui supporte la tourelle dans laquelle se trouve la chapelle de la Vierge Couronnée.
Ce lundi 15 avril nous sommes 52 à Punerot dans le département des Vosges pour un parcours inédit de 10,6 km étourdis par un vent qui ne cessera de forcir. Nos véhicules restent devant l’église dédiée à Saint Brice, qui possède un porche issu d’une ancienne chapelle du 16ème siècle. Les lilas très nombreux embaument. La sortie du village a été très bien aménagée avec une aire de jeu pour enfants et un parcours de santé. Nous longeons la voie ferrée dont les travaux ont commencé en 1885. Une navette inter-cités nous dépasse.
Entre champs et prés nous gagnons le Bois de Toulière puis le Bois du Grand Jard. A la sortie de celui-ci nous nous trouvons sur un promontoire qui nous offre un large panorama sur Saulxures les Vannes, Allamps, Barisey au Plain et Barisey la Côte.
En ce 13 avril, pour le départ de la seconde étape meusienne de la Grande Randonnée Mauvages-Bonnet nous ne sommes que 16, bien loin des 60 à l’arrivée de l’étape d’hier.
Le GR 703 (variante) nous conduit à Delouze qui en 1973 a fusionné avec Rosières. Mais chaque commune a son église. Celle de Delouze du 18ème siècle est dédiée à Saint Pierre de Vérone dont l’histoire est singulière. Pierre Rosini est né à Vérone en 1205 dans une famille cathare. Les cathares sont des chrétiens en dissidence avec l’Eglise catholique de Rome qui les considère comme hérétiques. Pierre de Vérone se détourne de la religion cathare et entre chez les Frères prêcheurs Dominicains. En 1251 le Pape le nomme Inquisiteur pour Milan et Côme. Son action pour convertir les Cathares suscite tant de haine qu’en 1252 il est poignardé. Onze mois après sa mort, le Pape le canonise. Non loin de l’église se trouve le lavoir avec sa belle charpente traditionnelle en bois.
Etape Rigny Saint Martin-Chalaines-Vaucouleurs-Montigny-Mauvages
En ce 12 avril, l’excitation est palpable lors du café-viennoiseries de départ offert par la Commune de Rigny Saint Martin. Nous sommes 42 à prendre la route avec les ambassadeurs de la grande randonnée en suivant le GR 703.
Nous passons devant la très originale église Saint Martin construite en 1849 et restaurée en 1893, qui est d’une forme ronde rarissime ce qui en fait un monument important du patrimoine local. La Mairie l’a ouverte pour nous.
A Chalaines nous négligeons le château dont on aperçoit l’enceinte et les tours médiévales, et nous traversons la Meuse pour atteindre Vaucouleurs sur l’autre rive. Nous faisons halte sur la place de la Mairie où trône la statue de Jeanne d’Arc réalisée en 1832, exposée sur une place d’Alger de 1851 à1966 date de son rapatriement en France. Vaucouleurs est la cité qui arma Jeanne d’Arc et la vit partir en 1429 pour rejoindre le Dauphin à Chinon et chasser les Anglais de France
Grande Randonnée vers Paris : étape Toul-Rigny Saint Martin
La Grande Randonnée préfigure les JO 2024. Depuis 16 villes de départ, des marcheurs-ambassadeurs vont converger vers Paris à travers 7 itinéraires principaux soit 500 étapes et plus de 10 000 km parcourus sur les GR balisés (projection de la carte de France, de Meuse et du flyer ainsi que de la vidéo figurant sur le site de la FFRP). Les départs s’échelonnent du 13 janvier au 20 avril pour que les marcheurs se rejoignent le 10 mai à Paris.
Nous étions 19 au départ de la baraque de chasse de Vaucouleurs en direction des bois de Sauvoy.
Passage près de la grotte, cueillette de quelques brins de muguet, beaucoup de feuilles mais pas beaucoup de brins de muguet.
Retour par l'ancienne voie ferrée par un beau soleil qui a fait souffrir dans la petite côte sur le retour (même le responsable de la rando).
A mercredi prochain
Jean-Marie
Ce lundi 8 avril chaud et ensoleillé, nous sommes 63 à Burey en Vaux pour un parcours de 9,2 km qui commence par un hommage à la chapelle Sainte Libaire constituée par le chœur de l’ancienne église paroissiale. C’est en 1777 que fut construite l’actuelle église paroissiale qui renferme une relique de Sainte Libaire décapitée près de Soulosse, au bord du Vair, ainsi que son frère Saint Elophe. Le lavoir de Burey en Vaux a été construit de 1847 à 1849 en pierre d’Euville. Il est alimenté par la source dite La Vigne des Bois. La mairie-école a été bâtie en 1859.
Ce vendredi 5 avril nous sommes 27 au lavoir de Gibeaumeix. Ce jour de marche fait suite à plusieurs
journées de pluies intenses qui ont inondé les chemins des bois au-dessus de Gibeaumeix obligeant à changer de parcours. On monte donc la rue de l’église entre des maisons dont les chambranles et les ornements sculptés datent du 18 ème siècle. La pente jusqu’au carrefour de la ferme de la Camardière nous échauffe. Heureusement sur le plateau des Lavières, souffle un petit vent rafraichissant. Gérard
fait quelques photos et des œufs de Pâques font monter notre taux de sucre. Une descente paisible nous conduit à Uruffe où nous franchissons le ruisseau l’Aroffe qui devient la Baumelle avant de se jeter dans la Meuse. Le chemin entre Uruffe et Gibeaumeix suit le lit du ruisseau entre prairies et champs inondés. Le soleil a fini par percer les nuages et la chaleur se fait sentir. Nul doute : les averses vont faire une pause. Tant mieux.
Mireille
Nous étions 7 courageux au départ de Rigny st Martin pour une rando de 4kms 300. Les absents ont eu tort, pas une goutte de pluie et même quelques percées du soleil température 16 degrés.
Rando agréable.
A mercredi prochain
Jean-Marie
Ce lundi 25 mars nous sommes 68 à Coussey pour un parcours de 10 km dans les bois. Après une belle montée dans le Bois des Combelles et la traversée de la Combe aux Enfants, nous rejoignons par les Grands Bois le GR 714 qui passe par le Cul du Vau pour atteindre le Pré de Villée, puis retour par la D 53.
Pour garer nos véhicules nous sommes passés devant la basilique du Bois Chenu dont la construction en pierre d’Euville et granit rose des Vosges, a commencé en 1881. D’abord dédiée à St Michel, la basilique fut consacrée à Jeanne d’Arc en 1926 après la canonisation de Jeanne en 1920.
Le soleil nous accompagne. Des violettes, des primevères coucou jaunes, quelques anémones sylvestres blanches égayent le tapis de feuilles mortes du chemin. Quelques feuilles commencent à se développer sur certains arbustes. Le printemps est bien là.
Un moment de plaisir apprécié.
Mireille
En ce vendredi printanier, nous sommes 35 au départ de Troussey pour une rando écourtée de 5.4 km préparée par Jean Marie.
Nous rejoignons le canal de la Marne au Rhin en passant sur et sous le Pont Mazagran, puis nous faisons une pause au lavoir de l'ancien village de Dommartin détruit par les Suédois lors de la guerre de 30 ans.
Nous terminons notre rando par la visite du musée de la Pomme de Terre. 10 marcheurs nous quittent car ils connaissent ce musée créé par Daniel Laurent qui est fier de nous montrer sa collection d'outils et de documents retraçant l'histoire du village qui était autrefois la capitale de la Pomme de Terre.
Nous sommes 20 courageux pour une randonnée sur le plateau de Beauregard.
Marche très agréable sous un soleil printanier dans la bonne humeur avec les mélodies de Nathalie et Pascal.
Martial
En plus des 5 pique-niqueuses. nous sommes 64 inscrits pour le repas au restaurant. Certains moins courageux ont occulté la rando du matin.
Dès 9h00 les deux groupes démarrent de Pierre la Treiche sur des sentiers sympas au départ. Dès que nous arrivons dans la vallée du Larot, nous empruntons un sentier glissant dans les parties en dévers, d'où quelques chutes sans gravité.
Comme nous nous y attendions, les nivéoles sont défleuries, et nous ne pouvons admirer que d'immenses tapis verts au lieu de magnifiques tapis blancs comme en 2022.
Nous arrivons à la Deuille pratiquement vide, alors que nous y avions admiré le bouillonnement le 8 janvier dernier.
Sous un ciel menaçant, nous sommes 26 sur la Place Cugnot de Void pour une rando facile rallongée à 8.6 km, sous la conduite de Martial. Tout d'abord, nous longeons le canal de la Marne au Rhin jusqu'à Vacon, où nous poussons jusqu'à la résurgence du Ruisseau qui alimente le Vidus jusqu'à l'affluence avec la Méholle.
Pour rejoindre Void, nous suivons le chemin blanc en pente douce, sous une petite bruine et au sommet nous bénéficions d'une belle vue sur Void.
En fin de parcours, nous faisons un détour pour répondre à l'invitation de nos vidusiens Véronique et Bernard qui nous ont préparé un goûter sympa A cause de la petite pluie, nous avons été obligés d'être à l'intérieur : désolés pour le travail de ménage...
Merci pour cette belle rando rallongée pour une bonne cause. Un grand MERCI à nos hôtes.
Nous étions 16 au départ de la gare de Maxey en direction de Taillancourt Montbras par un temps printanier et sans pluie, avec une petite visite de la cour du château de Montbras.
Rando de 5kms.
A la semaine prochaine
Jean-Marie
En ce beau lundi ensoleillé, nous sommes 66 au départ de Méligny le Grand, village natal de Pierrot.
Deux groupes sont formés 28 et 38 et se suivent en direction de Vaux la Grande. Nous traversons une belle campagne verdoyante avec un arrêt au captage Saint Gengoult et nous profitons de magnifiques vues panoramiques sur les autres villages, Méligny le Petit et Vaux la Petite.
Nous arrivons à Vaux la Grande, village d'Edith nouvelle adhérente, puis nous remontons vers la forêt de La Voirine, où nous avons dérangé une harde d'une quinzaine de chevreuils.
A l'arrivée, certains ne se sont pas privés de faire des achats de produits locaux à la Ferme des Saturnins.
Merci à Bernard de nous avoir proposé ces beaux parcours inédits de 10 et 12 km.
Par un beau vendredi printanier ensoleillé, après être passé devant la Fontaine de la Bonne Vierge et le petit Saint Nicolas, nous sommes 34 à l'extrémité de la forêt de Rigny la Salle pour une rando guidée par Jean Luc.
Au début, nous prenons des chemins corrects, mais c'est au km 2 que nous avons emprunté une zone plus humide avec des chemins gras que nous avons franchis allégrement. Ensuite les chemins sont agréables avec même un beau chemin blanc en fin de vallée en bordure de la forêt de Foug.
Nous sommes récompensés en arrivant dans la vallée des nivéoles avec des tapis de fleurs à profusion, que nous admirons à défaut de pouvoir les cueillir.
Nous remontons tranquillement pour regagner nos véhicules après un agréable parcours de 7.4 km.
Nous sommes 18 courageux marcheurs au départ du Petit Chalaines sous la direction de Jean Marie. Balade très agréable sous un beau soleil printanier. Randonnée à plat avec une petite tentative de montée vers la Biquotte vite avortée..
1/3 hommes 2/3 femmes
Martial
En ce lundi couvert, nous sommes 55 sur le parking de la forêt de Gondrecourt pour un parcours de 9.3 km. Le 1er groupe écourtera son parcours en supprimant la boucle finale en forêt d'Amanty.
Les 2 groupes cheminent dans le Bois des Founots, pour arriver sur le GR 703, puis nous remontons par le Bois du Vaurond.
Après la traversée de la RD 966, nous arrivons dans le Bois des Fours à Chaux avec ses champs de jonquilles à flanc de coteaux. Nous en profitons pour faire une belle cueillette en respectant les consignes affichées par l'ONF.
Les deux groupes arrivent simultanément au point de départ pour la pose des photos de groupes fiers de leurs bouquets.
Ce vendredi 1 mars 2024 nous sommes 31 à Sepvigny pour un parcours de 7,5 km.
Nous contournons le village ce qui nous offre une vue dégagée de l’église. L’église St Epvre a été édifiée entre le 12ème et le 16ème siècle et fortifiée au 15ème siècle. Primitivement c’était une chapelle. L’église principale était l’actuelle chapelle du Vieux Astre (du Vieux Cimetière) jusqu’à ce que le village de Sepvigny situé autour soit détruit au Moyen Age. Le nouveau village a été bâti autour de l’ancienne chapelle transformée en église paroissiale. Le clocher occupe une place inhabituelle entre la nef et le chœur.
La longue montée du Fond de la Vau nous hisse à travers bois au sommet du coteau au lieu-dit les Belles Bornes. La distribution de friandises nous donne du tonus.
En ce mercredi frisquet, nous sommes 24 au départ donné par Jean Marie pour un parcours de 4.8 km à plat. Direction les quartiers Nord, puis nous bifurquons vers Tusey en passant devant le Château puis la Zone d'Activités et retour par l'ancienne voie ferrée.
Au retour Jean Marie, nous accueille avec Lucette, à la Salle des Promenades pour fêter avec un jour d'avance son 20ème anniversaire et ses 80 ans. Pour cet évènement qui n'arrive que tous les 4 ans Jean Marie avait aussi invité les non-marcheurs de son groupe qui s'agrandit spontanément à 34.
Après les mots de remerciements, Jean Marie reçoit en plus de la cagnotte, une ribambelle de 80 balais, préparée par Daniel.
Lucette a également été remerciée par une magnifique composition florale.
Nous terminons par un goûter en commun avec de délicieuses pâtisseries maison et des boissons au choix.
Le président réitère ses remerciements à Jean Marie qui, depuis plus de 10 ans, organise les randos douces du mercredi et gère son groupe en toute convivialité avec un esprit familial.
Félicitations et Joyeux Anniversaire à Jean Marie
Ce lundi 26 février nous sommes 57 à Saulxures les Vannes pour un parcours de 10 km d’abord dans le Bois de Saulxures en passant par la ligne du Té et près de la Croix Chenard, puis en traversant la D117 pour rejoindre le Bois de la Rôle puis le Bois de la Folie jusqu’aux Ronds Pâquis. On découvre alors une belle vue sur Barisey au Plain. En avançant vers Saulxures la vue s’étend à Housselmont et Allamps. Les pluies avaient détrempé les chemins mais le ciel s’est dégagé laissant place à un chaud soleil. Au loin vers Colombey les Belles, brillait un arc en ciel.
Les chocolats distribués pour l’anniversaire de l’un d’entre nous n’ont pas été le seul plaisir gourmand. Trois sympathiques marcheuses de Saulxures avaient organisé un goûter après la marche. Café, thé, boissons fraîches, délicieux gâteaux nous ont permis de récupérer des forces en devisant agréablement. Merci pour ce moment de convivialité apprécié par tous.
Mireille
En ce vendredi, nous sommes 26 pour une rando en forêt d'Amanty, puis d'Abainville dans une zone de jonquilles en début de floraison. Nous démarrons sous le soleil et après une demi-heure de marche, nous essuyons un petit grain qui fait sortir quelques capes pour un rapide aller et retour dans le sac.
Après les pluies continues du jeudi, certaines portions de chemins sont boueuses, mais il n'y a pas eu de glissades.
Nous terminons le parcours de 7.5 km par la cueillette de beaux bouquets de jonquilles qui décoreront les tables du repas de l'AG de demain qui rassemblera 128 convives.
Nous sommes 21 sous la conduite de Jean Marie pour un parcours de 5.5 km sur le territoire de Pagny sur Meuse.
Marche agréable sous un ciel gris
Martial
Ce lundi 19 février nous sommes 58 à Vouthon Haut pour un parcours de 10km.
On quitte Vouthon Haut pour rejoindre la vallée du ruisseau de la Fragne long de 9,9 km, qui arrose 7 communes Goussaincourt, Vouthon Haut, Vouthon Bas, Burey La Côte, Montbras, Taillancourt, Champougny. Nous parcourons le Fond de Buronvau jusqu’à la ferme du Petit Chênois. Puis on évite la ferme du Vaux de Bure pour entrer dans le bois de Taillancourt jusqu’à la Voie des Charmes. Nous suivons les Prés de la Vallée avant de nous engager dans le Bois de Goussaincourt et de monter jusqu’aux panneaux solaires des Rouges Terres. Après un salut au vieux Chêne Tortillard, nous descendons le chemin blanc jusqu’à la D 966 au bas du Coteau Masson que nous longeons pour atteindre Vouthon Haut.
Ce vendredi 16 février nous sommes 28 à Trondes pour une randonnée de 8 km autour de la colline de Romont qui culmine à 330 m. Nous laissons les voitures au stade dont le préau est décoré d’une grande fresque représentant le village réalisée par les jeunes de Trondes. Place du chanoine Rollinger se trouve une monumentale fontaine à deux bassins rectangulaires séparés par une vasque semi-circulaire. Rue Genevaux, une plaque rappelle que le philosophe Alain a séjourné à Trondes en 1915. Square du souvenir, le regard est attiré par une très curieuse fresque figurant une carte postale de Trondes, aux couleurs passées, et un groupe de personnages d’une époque révolue.
Ce lundi 12 février nous sommes 60 à Ville Issey devant la résidence secondaire du Cardinal de Retz lorsqu’il vivait à Commercy. Notre parcours moitié rural – moitié urbain de 11 km nous conduit à Commercy par la Côte Soutière avec vue sur la vallée inondée de la Meuse et sur l’autre rive Euville. Entrés dans Commercy par la caserne Oudinot, nous traversons le rond-point des Godelles (vaches) bleues qui paissent imperturbables.
Nous nous dirigeons vers le Prieuré de Breuil. Au XIème siècle on fait appel aux Bénédictins pour créer de petits centres monastiques au pied des châteaux. Ce fut à l’abbaye de Molesme que le seigneur de Commercy fit appel pour fonder un Prieuré.
Ce vendredi 9 février nous sommes 26 au lieu-dit la Cressonnière à Sauvoy pour un parcours de 7,5 km qui nous conduit à Villeroy-sur-Méholle. Le parcours en lisière de bois, longe la rigole d’alimentation du canal de la Marne au Rhin creusée au-dessus de la Méholle jusqu’à la Croix du Chaufour et Villeroy.
Pour alimenter en eau le canal en période de basses eaux, des pompes puissantes captent l’eau dans la nappe phréatique à Vacon situé à 248 m d’altitude. La rigole conduit gravitairement cette eau jusqu’au canal au niveau du tunnel de Mauvages situé à 287 m d’altitude. Des siphons, ouvrages hydrauliques composés de gros tuyaux enterrés, permettent de traverser les vallées et voies de circulation situées sur le parcours de la rigole. L’entrée de ces siphons est protégée par des grilles solides pour éviter que des animaux tombés dans la rigole ne soient emportés. Avant ces grilles, une rampe permet en cas de nécessité de remonter du fond au bord de la rigole.
Ce lundi 5 février nous sommes 62 à Sauvigny pour un parcours de 10 km qui nous conduit à Clérey la Côte.
Le nom de Sauvigny apparait déjà sur une monnaie datant des Mérovingiens qui ont régné de Clovis 481 à Pépin le Bref 751. L’église de Sauvigny est dédiée à Saint Loup qui aurait arrêté les troupes d’Attila devant Troyes au Vème siècle. La tradition veut que, Sauvigny ayant été incendié par les Huns d’Attila et complètement dépeuplé, les habitants d’Ugny vinrent s’y établir. Ils apportèrent le culte de Saint Loup, leur patron. C’est pourquoi l’église de Sauvigny lui est dédiée. Le premier édifice fut élevé en 1180, complété au 16ème siècle, remanié au 18ème siècle. Le lavoir-fontaine du 19ème, remarquable par son ornementation inspirée du panthéon gréco-romain, mérite la visite.
Ce vendredi 2 février ensoleillé, nous sommes 37 à Saint Germain pour une marche en plaine de 8 km qui passe le long du ruisseau de Chanteraine, nous fait traverser le pont sur la Meuse et la D144a au niveau du Pré des Taureaux.
A l’époque gallo-romaine Saint Germain s’appelait Travia du latin traviare=traverser. On retrouve la rue Traverse là où passait la voie romaine et où elle traversait la Meuse. Le pont de bois qui enjambait la rivière fut détruit par les glaces en 1889. Reconstruit en fer en1894, il fut détruit à nouveau en 1940. Les Allemands commençaient à le réparer quand les Américains les ont chassés. Finalement il sera reconstruit en 1944.
Nous sommes 25 courageux au départ d'Ugny, sous un ciel mitigé et sol boueux.
Petite pause gustative avec les beignets de Marie Odile
Parcours bien connu de 4.3 km
Martial
En ce lundi ensoleillé, c'est grosse affluence à Blénod Les Toul, puisque nous sommes 63 sur le parking surplombant le Village et la plaine de Toul.
Le 1er groupe de 26 animé par Patrick démarre dès 13h45 pour un parcours de 11.1 km, puis suit le 2ème groupe de 37 animé par Jean Paul pour un parcours de 9.7 km.
Direction Blénod en passant par les arrières, puis après la traversée du village, nous entamons une longue montée qui nous mène au Grand Bois où nous apprécions les beaux chemins bien entretenus. Le groupe 1 fait un détour jusqu'à la Source de Meine bien connue du parcours Coeur de Vert.
Les deux groupes rentrent presqu'ensembles avec des mines ravies après cette agréable sortie par un temps printanier.
Ce vendredi 26 janvier nous sommes 17+2 à Choloy pour un parcours de 8 km vers le Val de Passey sous la houlette de Jean-Marie. Depuis 1969 trois villages, Choloy, Menillot, et Val de Passey, ont fusionné pour former la commune actuelle. Choloy possède un château bâti au début du XIXème siècle par le baron de Mesny, compagnon de Napoléon Bonaparte pendant la campagne d’Italie qui décéda en 1855. Le château fut racheté et restauré dans les années 1900 par la famille Loevenbruck qui en est toujours propriétaire. De style empire, élégant et sobre, avec une aile Louis-Philippe, le bâtiment est entouré de 6 ha de parc dont certains arbres ont 200 ans, avec étang, bois, jardin à la française. Il dispose, parait-il de quatre caves voûtées en pierre de taille et de deux souterrains. Il a été aménagé en un gîte, une maison d’hôte, et deux chambres d’hôte.
Nous étions neuf courageux au départ de Rigny Saint Martin par un temps très agréable.
Des chemins bien propres pour une rando de 5,1 km. Bien contents de se retrouver après un mois sans marcher.
A la semaine prochaine.
Jean Marie
Ce lundi 22 janvier nous sommes 40 à Laneuville au Rupt pour un parcours riche de trois dénivelés d’une soixantaine de mètres chacun.
Laneuville tire son nom de son affranchissement en neuve-ville en 1243 par Gaucher, sire de Commercy. Le terme de rupt signifie ruisseau. Il est courant dans les Vosges, à la frontière de la langue romane côté lorrain où on dit rupt et de la langue germanique côté alsacien où ruisseau se dit bach. En 1266 Guillaume, abbé de Riéval, obtient pour son abbaye de l’évêque Gilles de Sorcy l’église de la Neu-ville dont il fit une cure régulière. L’église aurait été reconstruite au XVème siècle puis se serait écroulée et a été rebâtie et dédiée à Saint Nicolas en 1780.
Ce vendredi 19 janvier nous sommes 35 près de l’église de Goussaincourt pour un parcours de 7,6 km qui nous conduit à Burey la Côte.
Dans l’église halle de Goussaincourt dont le chœur date du 15ème siècle, qui fut reconstruite en 1782, se trouve un reliquaire figurant une tour entourée de tourelles qui contient les reliques des frères jumeaux saints patrons du village : Saint Gervais et Saint Protais, flagellés et décapités par l’empereur romain Néron. A la suite de miracles intervenus sur leurs tombes ils devinrent les patrons de la ville de MILAN.
Leurs statues ornent la fontaine qui fut élevée à GOUSSAINCOURT dans la deuxième moitié du 18ème siècle sur la source du ruisseau du village dit aussi ruisseau de BERMONT ou de Saint Gervais qui se jette à quelques centaines de mètres dans la Noue de BUREY après avoir longé la grand ’rue du village et, autrefois, alimenté les fossés du château.
Ce lundi 15 janvier à Houdelaincourt, nous sommes 19 à avoir cru à l’arrivée de l’astre solaire sur notre parcours de 9,5 km entre Houdelaincourt et Bonnet.
Houdelaincourt possède une église du 16ème siècle, un monumental fontaine-lavoir du milieu du 19ème siècle et la chapelle ND de la Consolation construite au 20ème siècle. Situé à l’embranchement du canal de la Marne au Rhin, le bourg est traversé par l’Ornain né à Gondrecourt de la confluence de l’Ognon et de la Maldite. Il coule vers la Marne pour se jeter dans la Saulx.
Ce samedi 13 janvier 2024 nous sommes 56 à Vaucouleurs à 17h00 pour la marche nocturne qui précède traditionnellement la soupe aux pois. La nuit tombe vite et les lampes de poche ne vont pas tarder à être indispensables. Notre parcours de 7,5 km commence sur l’ancienne voie ferrée en direction d’Ugny. Puis, après la traversée de la route de Pagny sur Meuse, nous faisons le tour de la zone d’activités commerciales pour revenir vers le château de Tusey.
Ce vendredi 12 janvier nous sommes 19 à Champougny pour un parcours encore un peu enneigé de 8 km par une température négative.
CHAMPOUGNY possède une belle église construite au 12ème siècle, fortifiée au 16ème siècle, l’église Saint Brice dont elle conserve les reliques. Elle fait partie des églises fortifiées du département. Dans la tradition chrétienne, l’église est un lieu inviolable où s’exerce le droit d’asile. Le morcellement des terres entre les Ducs de Bar et de Lorraine, les évêques de Toul et Verdun, et le roi de France, fut à l’origine de tant de guerres, invasions, pillages que les églises ont été fortifiées pour abriter et défendre les populations.
Ce lundi 8 janvier nous sommes 61 à Ochey pour un parcours de 10 km jusqu’à la Fontaine de la Deuille que nous espérons en crue. Nous quittons la D 78 par les lieux-dits « Derrière l’Etang » et le « Coin Joyeux »pour marcher entre la « Haute Borne » et « les Marchottes » jusqu’à la D 904 que nous traversons au niveau des « Hayes de Bouxières ». Le temps est froid et sec et le vent augmente l’impression de froidure. Heureusement la forêt nous accueille en nous protégeant du vent. Nous parcourons la Tranchée Colas Maréchal dans le Bois de l’Enfoux, puis, un petit détour dans le Bois de Bicqueley nous conduit à la Fontaine de la Deuille. Nos espoirs ne sont pas déçus.
Ce vendredi 5 janvier 2024 ensoleillé nous sommes 30 sur le parking en haut de la côte sur la route de Void, pour un parcours, détrempé par les récentes pluies, de 7,5 km, en forêt. Chemin faisant nous croisons par deux fois, de courageux affouagistes.
L’extraction du bois a toujours été nécessaire au développement de nos sociétés. Sous l’effet de la croissance démographique les besoins de la population en surfaces agricoles, bois de chauffage et bois d’œuvre, ont conduit à des défrichements et des extractions de bois considérables, si bien que la surface forestière fut réduite à 13,6 % du territoire avant de remonter à 28% c’est-à-dire environ 155 000 km2 aujourd’hui, soit au niveau de la fin du Moyen-Age.