En plus des 5 pique-niqueuses. nous sommes 64 inscrits pour le repas au restaurant. Certains moins courageux ont occulté la rando du matin.
Dès 9h00 les deux groupes démarrent de Pierre la Treiche sur des sentiers sympas au départ. Dès que nous arrivons dans la vallée du Larot, nous empruntons un sentier glissant dans les parties en dévers, d'où quelques chutes sans gravité.
Comme nous nous y attendions, les nivéoles sont défleuries, et nous ne pouvons admirer que d'immenses tapis verts au lieu de magnifiques tapis blancs comme en 2022.
Nous arrivons à la Deuille pratiquement vide, alors que nous y avions admiré le bouillonnement le 8 janvier dernier.
Sous un ciel menaçant, nous sommes 26 sur la Place Cugnot de Void pour une rando facile rallongée à 8.6 km, sous la conduite de Martial. Tout d'abord, nous longeons le canal de la Marne au Rhin jusqu'à Vacon, où nous poussons jusqu'à la résurgence du Ruisseau qui alimente le Vidus jusqu'à l'affluence avec la Méholle.
Pour rejoindre Void, nous suivons le chemin blanc en pente douce, sous une petite bruine et au sommet nous bénéficions d'une belle vue sur Void.
En fin de parcours, nous faisons un détour pour répondre à l'invitation de nos vidusiens Véronique et Bernard qui nous ont préparé un goûter sympa A cause de la petite pluie, nous avons été obligés d'être à l'intérieur : désolés pour le travail de ménage...
Merci pour cette belle rando rallongée pour une bonne cause. Un grand MERCI à nos hôtes.
Nous étions 16 au départ de la gare de Maxey en direction de Taillancourt Montbras par un temps printanier et sans pluie, avec une petite visite de la cour du château de Montbras.
Rando de 5kms.
A la semaine prochaine
Jean-Marie
En ce beau lundi ensoleillé, nous sommes 66 au départ de Méligny le Grand, village natal de Pierrot.
Deux groupes sont formés 28 et 38 et se suivent en direction de Vaux la Grande. Nous traversons une belle campagne verdoyante avec un arrêt au captage Saint Gengoult et nous profitons de magnifiques vues panoramiques sur les autres villages, Méligny le Petit et Vaux la Petite.
Nous arrivons à Vaux la Grande, village d'Edith nouvelle adhérente, puis nous remontons vers la forêt de La Voirine, où nous avons dérangé une harde d'une quinzaine de chevreuils.
A l'arrivée, certains ne se sont pas privés de faire des achats de produits locaux à la Ferme des Saturnins.
Merci à Bernard de nous avoir proposé ces beaux parcours inédits de 10 et 12 km.
Par un beau vendredi printanier ensoleillé, après être passé devant la Fontaine de la Bonne Vierge et le petit Saint Nicolas, nous sommes 34 à l'extrémité de la forêt de Rigny la Salle pour une rando guidée par Jean Luc.
Au début, nous prenons des chemins corrects, mais c'est au km 2 que nous avons emprunté une zone plus humide avec des chemins gras que nous avons franchis allégrement. Ensuite les chemins sont agréables avec même un beau chemin blanc en fin de vallée en bordure de la forêt de Foug.
Nous sommes récompensés en arrivant dans la vallée des nivéoles avec des tapis de fleurs à profusion, que nous admirons à défaut de pouvoir les cueillir.
Nous remontons tranquillement pour regagner nos véhicules après un agréable parcours de 7.4 km.
Nous sommes 18 courageux marcheurs au départ du Petit Chalaines sous la direction de Jean Marie. Balade très agréable sous un beau soleil printanier. Randonnée à plat avec une petite tentative de montée vers la Biquotte vite avortée..
1/3 hommes 2/3 femmes
Martial
En ce lundi couvert, nous sommes 55 sur le parking de la forêt de Gondrecourt pour un parcours de 9.3 km. Le 1er groupe écourtera son parcours en supprimant la boucle finale en forêt d'Amanty.
Les 2 groupes cheminent dans le Bois des Founots, pour arriver sur le GR 703, puis nous remontons par le Bois du Vaurond.
Après la traversée de la RD 966, nous arrivons dans le Bois des Fours à Chaux avec ses champs de jonquilles à flanc de coteaux. Nous en profitons pour faire une belle cueillette en respectant les consignes affichées par l'ONF.
Les deux groupes arrivent simultanément au point de départ pour la pose des photos de groupes fiers de leurs bouquets.
Ce vendredi 1 mars 2024 nous sommes 31 à Sepvigny pour un parcours de 7,5 km.
Nous contournons le village ce qui nous offre une vue dégagée de l’église. L’église St Epvre a été édifiée entre le 12ème et le 16ème siècle et fortifiée au 15ème siècle. Primitivement c’était une chapelle. L’église principale était l’actuelle chapelle du Vieux Astre (du Vieux Cimetière) jusqu’à ce que le village de Sepvigny situé autour soit détruit au Moyen Age. Le nouveau village a été bâti autour de l’ancienne chapelle transformée en église paroissiale. Le clocher occupe une place inhabituelle entre la nef et le chœur.
La longue montée du Fond de la Vau nous hisse à travers bois au sommet du coteau au lieu-dit les Belles Bornes. La distribution de friandises nous donne du tonus.
En ce mercredi frisquet, nous sommes 24 au départ donné par Jean Marie pour un parcours de 4.8 km à plat. Direction les quartiers Nord, puis nous bifurquons vers Tusey en passant devant le Château puis la Zone d'Activités et retour par l'ancienne voie ferrée.
Au retour Jean Marie, nous accueille avec Lucette, à la Salle des Promenades pour fêter avec un jour d'avance son 20ème anniversaire et ses 80 ans. Pour cet évènement qui n'arrive que tous les 4 ans Jean Marie avait aussi invité les non-marcheurs de son groupe qui s'agrandit spontanément à 34.
Après les mots de remerciements, Jean Marie reçoit en plus de la cagnotte, une ribambelle de 80 balais, préparée par Daniel.
Lucette a également été remerciée par une magnifique composition florale.
Nous terminons par un goûter en commun avec de délicieuses pâtisseries maison et des boissons au choix.
Le président réitère ses remerciements à Jean Marie qui, depuis plus de 10 ans, organise les randos douces du mercredi et gère son groupe en toute convivialité avec un esprit familial.
Félicitations et Joyeux Anniversaire à Jean Marie
Ce lundi 26 février nous sommes 57 à Saulxures les Vannes pour un parcours de 10 km d’abord dans le Bois de Saulxures en passant par la ligne du Té et près de la Croix Chenard, puis en traversant la D117 pour rejoindre le Bois de la Rôle puis le Bois de la Folie jusqu’aux Ronds Pâquis. On découvre alors une belle vue sur Barisey au Plain. En avançant vers Saulxures la vue s’étend à Housselmont et Allamps. Les pluies avaient détrempé les chemins mais le ciel s’est dégagé laissant place à un chaud soleil. Au loin vers Colombey les Belles, brillait un arc en ciel.
Les chocolats distribués pour l’anniversaire de l’un d’entre nous n’ont pas été le seul plaisir gourmand. Trois sympathiques marcheuses de Saulxures avaient organisé un goûter après la marche. Café, thé, boissons fraîches, délicieux gâteaux nous ont permis de récupérer des forces en devisant agréablement. Merci pour ce moment de convivialité apprécié par tous.
Mireille
En ce vendredi, nous sommes 26 pour une rando en forêt d'Amanty, puis d'Abainville dans une zone de jonquilles en début de floraison. Nous démarrons sous le soleil et après une demi-heure de marche, nous essuyons un petit grain qui fait sortir quelques capes pour un rapide aller et retour dans le sac.
Après les pluies continues du jeudi, certaines portions de chemins sont boueuses, mais il n'y a pas eu de glissades.
Nous terminons le parcours de 7.5 km par la cueillette de beaux bouquets de jonquilles qui décoreront les tables du repas de l'AG de demain qui rassemblera 128 convives.
Nous sommes 21 sous la conduite de Jean Marie pour un parcours de 5.5 km sur le territoire de Pagny sur Meuse.
Marche agréable sous un ciel gris
Martial
Ce lundi 19 février nous sommes 58 à Vouthon Haut pour un parcours de 10km.
On quitte Vouthon Haut pour rejoindre la vallée du ruisseau de la Fragne long de 9,9 km, qui arrose 7 communes Goussaincourt, Vouthon Haut, Vouthon Bas, Burey La Côte, Montbras, Taillancourt, Champougny. Nous parcourons le Fond de Buronvau jusqu’à la ferme du Petit Chênois. Puis on évite la ferme du Vaux de Bure pour entrer dans le bois de Taillancourt jusqu’à la Voie des Charmes. Nous suivons les Prés de la Vallée avant de nous engager dans le Bois de Goussaincourt et de monter jusqu’aux panneaux solaires des Rouges Terres. Après un salut au vieux Chêne Tortillard, nous descendons le chemin blanc jusqu’à la D 966 au bas du Coteau Masson que nous longeons pour atteindre Vouthon Haut.
Ce vendredi 16 février nous sommes 28 à Trondes pour une randonnée de 8 km autour de la colline de Romont qui culmine à 330 m. Nous laissons les voitures au stade dont le préau est décoré d’une grande fresque représentant le village réalisée par les jeunes de Trondes. Place du chanoine Rollinger se trouve une monumentale fontaine à deux bassins rectangulaires séparés par une vasque semi-circulaire. Rue Genevaux, une plaque rappelle que le philosophe Alain a séjourné à Trondes en 1915. Square du souvenir, le regard est attiré par une très curieuse fresque figurant une carte postale de Trondes, aux couleurs passées, et un groupe de personnages d’une époque révolue.
Ce lundi 12 février nous sommes 60 à Ville Issey devant la résidence secondaire du Cardinal de Retz lorsqu’il vivait à Commercy. Notre parcours moitié rural – moitié urbain de 11 km nous conduit à Commercy par la Côte Soutière avec vue sur la vallée inondée de la Meuse et sur l’autre rive Euville. Entrés dans Commercy par la caserne Oudinot, nous traversons le rond-point des Godelles (vaches) bleues qui paissent imperturbables.
Nous nous dirigeons vers le Prieuré de Breuil. Au XIème siècle on fait appel aux Bénédictins pour créer de petits centres monastiques au pied des châteaux. Ce fut à l’abbaye de Molesme que le seigneur de Commercy fit appel pour fonder un Prieuré.
Ce vendredi 9 février nous sommes 26 au lieu-dit la Cressonnière à Sauvoy pour un parcours de 7,5 km qui nous conduit à Villeroy-sur-Méholle. Le parcours en lisière de bois, longe la rigole d’alimentation du canal de la Marne au Rhin creusée au-dessus de la Méholle jusqu’à la Croix du Chaufour et Villeroy.
Pour alimenter en eau le canal en période de basses eaux, des pompes puissantes captent l’eau dans la nappe phréatique à Vacon situé à 248 m d’altitude. La rigole conduit gravitairement cette eau jusqu’au canal au niveau du tunnel de Mauvages situé à 287 m d’altitude. Des siphons, ouvrages hydrauliques composés de gros tuyaux enterrés, permettent de traverser les vallées et voies de circulation situées sur le parcours de la rigole. L’entrée de ces siphons est protégée par des grilles solides pour éviter que des animaux tombés dans la rigole ne soient emportés. Avant ces grilles, une rampe permet en cas de nécessité de remonter du fond au bord de la rigole.
Ce lundi 5 février nous sommes 62 à Sauvigny pour un parcours de 10 km qui nous conduit à Clérey la Côte.
Le nom de Sauvigny apparait déjà sur une monnaie datant des Mérovingiens qui ont régné de Clovis 481 à Pépin le Bref 751. L’église de Sauvigny est dédiée à Saint Loup qui aurait arrêté les troupes d’Attila devant Troyes au Vème siècle. La tradition veut que, Sauvigny ayant été incendié par les Huns d’Attila et complètement dépeuplé, les habitants d’Ugny vinrent s’y établir. Ils apportèrent le culte de Saint Loup, leur patron. C’est pourquoi l’église de Sauvigny lui est dédiée. Le premier édifice fut élevé en 1180, complété au 16ème siècle, remanié au 18ème siècle. Le lavoir-fontaine du 19ème, remarquable par son ornementation inspirée du panthéon gréco-romain, mérite la visite.
Ce vendredi 2 février ensoleillé, nous sommes 37 à Saint Germain pour une marche en plaine de 8 km qui passe le long du ruisseau de Chanteraine, nous fait traverser le pont sur la Meuse et la D144a au niveau du Pré des Taureaux.
A l’époque gallo-romaine Saint Germain s’appelait Travia du latin traviare=traverser. On retrouve la rue Traverse là où passait la voie romaine et où elle traversait la Meuse. Le pont de bois qui enjambait la rivière fut détruit par les glaces en 1889. Reconstruit en fer en1894, il fut détruit à nouveau en 1940. Les Allemands commençaient à le réparer quand les Américains les ont chassés. Finalement il sera reconstruit en 1944.
Nous sommes 25 courageux au départ d'Ugny, sous un ciel mitigé et sol boueux.
Petite pause gustative avec les beignets de Marie Odile
Parcours bien connu de 4.3 km
Martial
En ce lundi ensoleillé, c'est grosse affluence à Blénod Les Toul, puisque nous sommes 63 sur le parking surplombant le Village et la plaine de Toul.
Le 1er groupe de 26 animé par Patrick démarre dès 13h45 pour un parcours de 11.1 km, puis suit le 2ème groupe de 37 animé par Jean Paul pour un parcours de 9.7 km.
Direction Blénod en passant par les arrières, puis après la traversée du village, nous entamons une longue montée qui nous mène au Grand Bois où nous apprécions les beaux chemins bien entretenus. Le groupe 1 fait un détour jusqu'à la Source de Meine bien connue du parcours Coeur de Vert.
Les deux groupes rentrent presqu'ensembles avec des mines ravies après cette agréable sortie par un temps printanier.
Ce vendredi 26 janvier nous sommes 17+2 à Choloy pour un parcours de 8 km vers le Val de Passey sous la houlette de Jean-Marie. Depuis 1969 trois villages, Choloy, Menillot, et Val de Passey, ont fusionné pour former la commune actuelle. Choloy possède un château bâti au début du XIXème siècle par le baron de Mesny, compagnon de Napoléon Bonaparte pendant la campagne d’Italie qui décéda en 1855. Le château fut racheté et restauré dans les années 1900 par la famille Loevenbruck qui en est toujours propriétaire. De style empire, élégant et sobre, avec une aile Louis-Philippe, le bâtiment est entouré de 6 ha de parc dont certains arbres ont 200 ans, avec étang, bois, jardin à la française. Il dispose, parait-il de quatre caves voûtées en pierre de taille et de deux souterrains. Il a été aménagé en un gîte, une maison d’hôte, et deux chambres d’hôte.
Nous étions neuf courageux au départ de Rigny Saint Martin par un temps très agréable.
Des chemins bien propres pour une rando de 5,1 km. Bien contents de se retrouver après un mois sans marcher.
A la semaine prochaine.
Jean Marie
Ce lundi 22 janvier nous sommes 40 à Laneuville au Rupt pour un parcours riche de trois dénivelés d’une soixantaine de mètres chacun.
Laneuville tire son nom de son affranchissement en neuve-ville en 1243 par Gaucher, sire de Commercy. Le terme de rupt signifie ruisseau. Il est courant dans les Vosges, à la frontière de la langue romane côté lorrain où on dit rupt et de la langue germanique côté alsacien où ruisseau se dit bach. En 1266 Guillaume, abbé de Riéval, obtient pour son abbaye de l’évêque Gilles de Sorcy l’église de la Neu-ville dont il fit une cure régulière. L’église aurait été reconstruite au XVème siècle puis se serait écroulée et a été rebâtie et dédiée à Saint Nicolas en 1780.
Ce vendredi 19 janvier nous sommes 35 près de l’église de Goussaincourt pour un parcours de 7,6 km qui nous conduit à Burey la Côte.
Dans l’église halle de Goussaincourt dont le chœur date du 15ème siècle, qui fut reconstruite en 1782, se trouve un reliquaire figurant une tour entourée de tourelles qui contient les reliques des frères jumeaux saints patrons du village : Saint Gervais et Saint Protais, flagellés et décapités par l’empereur romain Néron. A la suite de miracles intervenus sur leurs tombes ils devinrent les patrons de la ville de MILAN.
Leurs statues ornent la fontaine qui fut élevée à GOUSSAINCOURT dans la deuxième moitié du 18ème siècle sur la source du ruisseau du village dit aussi ruisseau de BERMONT ou de Saint Gervais qui se jette à quelques centaines de mètres dans la Noue de BUREY après avoir longé la grand ’rue du village et, autrefois, alimenté les fossés du château.
Ce lundi 15 janvier à Houdelaincourt, nous sommes 19 à avoir cru à l’arrivée de l’astre solaire sur notre parcours de 9,5 km entre Houdelaincourt et Bonnet.
Houdelaincourt possède une église du 16ème siècle, un monumental fontaine-lavoir du milieu du 19ème siècle et la chapelle ND de la Consolation construite au 20ème siècle. Situé à l’embranchement du canal de la Marne au Rhin, le bourg est traversé par l’Ornain né à Gondrecourt de la confluence de l’Ognon et de la Maldite. Il coule vers la Marne pour se jeter dans la Saulx.
Ce samedi 13 janvier 2024 nous sommes 56 à Vaucouleurs à 17h00 pour la marche nocturne qui précède traditionnellement la soupe aux pois. La nuit tombe vite et les lampes de poche ne vont pas tarder à être indispensables. Notre parcours de 7,5 km commence sur l’ancienne voie ferrée en direction d’Ugny. Puis, après la traversée de la route de Pagny sur Meuse, nous faisons le tour de la zone d’activités commerciales pour revenir vers le château de Tusey.
Ce vendredi 12 janvier nous sommes 19 à Champougny pour un parcours encore un peu enneigé de 8 km par une température négative.
CHAMPOUGNY possède une belle église construite au 12ème siècle, fortifiée au 16ème siècle, l’église Saint Brice dont elle conserve les reliques. Elle fait partie des églises fortifiées du département. Dans la tradition chrétienne, l’église est un lieu inviolable où s’exerce le droit d’asile. Le morcellement des terres entre les Ducs de Bar et de Lorraine, les évêques de Toul et Verdun, et le roi de France, fut à l’origine de tant de guerres, invasions, pillages que les églises ont été fortifiées pour abriter et défendre les populations.
Ce lundi 8 janvier nous sommes 61 à Ochey pour un parcours de 10 km jusqu’à la Fontaine de la Deuille que nous espérons en crue. Nous quittons la D 78 par les lieux-dits « Derrière l’Etang » et le « Coin Joyeux »pour marcher entre la « Haute Borne » et « les Marchottes » jusqu’à la D 904 que nous traversons au niveau des « Hayes de Bouxières ». Le temps est froid et sec et le vent augmente l’impression de froidure. Heureusement la forêt nous accueille en nous protégeant du vent. Nous parcourons la Tranchée Colas Maréchal dans le Bois de l’Enfoux, puis, un petit détour dans le Bois de Bicqueley nous conduit à la Fontaine de la Deuille. Nos espoirs ne sont pas déçus.
Ce vendredi 5 janvier 2024 ensoleillé nous sommes 30 sur le parking en haut de la côte sur la route de Void, pour un parcours, détrempé par les récentes pluies, de 7,5 km, en forêt. Chemin faisant nous croisons par deux fois, de courageux affouagistes.
L’extraction du bois a toujours été nécessaire au développement de nos sociétés. Sous l’effet de la croissance démographique les besoins de la population en surfaces agricoles, bois de chauffage et bois d’œuvre, ont conduit à des défrichements et des extractions de bois considérables, si bien que la surface forestière fut réduite à 13,6 % du territoire avant de remonter à 28% c’est-à-dire environ 155 000 km2 aujourd’hui, soit au niveau de la fin du Moyen-Age.
Dès 19 heures, le DJ est à pied d'œuvre avec la musique d'ambiance pour accueillir les premiers convives dans la Salle des Fêtes préparée et décorée par une équipe de bénévoles.
Après le mot d'accueil du président, l'apéritif est servi : Champagne accompagné d'une suite de succulentes mignardises chaudes.
Cette année, nouveauté : les repas sont servis à l'assiette par une équipe de serveuses dans un ballet rapide et bien organisé.
Soirée très appréciée grâce à la participation des convives qui ont créé l'ambiance de convivialité et surtout grâce à l'investissement d'un bon nombre de bénévoles. Merci à l'équipe des cuisines, l'équipe des serveuses et à l'équipe de préparation de la salle qui était présente le 1er au matin pour le nettoyage et la remise en état.
BRAVO et GRAND MERCI A TOUS
Ce dernier vendredi de l’année 2023, nous sommes 16 à Chalaines pour un parcours de 7 km d’abord en lisière de bois au-dessus de la vallée de la Meuse jusqu’au niveau de Neuville les Vaucouleurs puis en suivant au plus près la rive droite du fleuve pour revenir par Petit Chalaines.
D’après Dom Calmet, notre célèbre historien de Mesnil la Horgne, Chalaines, occupée dès l’époque gallo-romaine est mentionnée au 6ème siècle pour la guérison miraculeuse d’une chalainoise près du tombeau de Saint Epvre à Toul. A l’origine il y eut Petit Chalaines incendié au début du 13ème siècle puis vers 1235. On construisit Chalaines la Grande. Le village fut pillé à plusieurs reprises : en 1415, en 1587 par les protestants allemands, en 1635 par les mercenaires de Louis XIII et Richelieu.
Pendant la première partie du parcours face à Vaucouleurs, nous surplombons la vallée de la Meuse et les méandres du fleuve. Trois chevreuils broutant dans un champ ne semblent pas perturbés par notre passage. Arrivés en face de Neuville les Vaucouleurs, nous descendons vers la Meuse et suivons le fleuve jusqu’à Petit Chalaines.
Nous sommes 9 courageux au départ de Chalaines pour une marche vers Rigny la Salle, puis retour par le cimetière vers le Moulin de la Roche.
Circuit de 5 km, agréable sous un soleil timide.
Martial
Ce lundi 18 décembre nous sommes 62 devant la salle des fêtes de Maxey sur Vaise pour une balade apéritive de 9,5 km avant le goûter de Noël. Pendant que nous marchons une vaillante équipe de bénévoles de Maxey prépare plats et tables pour notre retour. Nous sommes très reconnaissants à la Commune de mettre la salle des fêtes à notre disposition et aux bénévoles de Maxey de prendre en charge l’organisation de ce goûter traditionnel du Pied Champêtre.
Ce vendredi 15 décembre, nous sommes 49 dans le bus qui nous conduit à Montbéliard pour une journée avec marche le matin, repas franc-comtois au restaurant, visite guidée de la ville et enfin marché de Noël.
Montbéliard, 26 000 habitants, nous accueille sous un soleil qui ne nous quittera pas. La balade matinale commence non loin du port de plaisance. Une côte et 175 marches d’escalier plus tard, perchés sur une hauteur, nous profitons d’une vue dégagée sur la ville puis chemin faisant nous découvrons « La Vigne de Montbéliard » parcelle unique, en pente très raide, plantée en 2008 au cœur des faubourgs. La descente nous conduit sur les bords de l’Allan, affluent du Doubs. Puis nous empruntons la Coulée Verte de 25 km aménagée sur le chemin de halage du canal du Rhône au Rhin entre Belfort et Montbéliard.
Ce lundi 11 Décembre à la température agréable et sans pluie, nous sommes 49 à Rosières en Blois pour un parcours de 9.5 km (11 km pour les courageux) qui nous conduit par le Bois de la Côte et le parc d’éoliennes à Delouze puis par la variante du GR 703 dans le Bois du Charmois au-dessus du souterrain du canal de la Marne au Rhin de Mauvages. Par les lieux-dits Cachon l’Enson et la Côte des Loups on descend ensuite vers le Bois de la Côte pour rejoindre Rosières.
En 1973, Delouze et Rosières ont fusionné. Mais chaque commune a son église. Ainsi celle de Rosières du XIIIème siècle est dédiée à Saint Genebaud alors que celle de Delouze du XVIIIème siècle est dédiée à Saint Pierre de Vérone.
En ce vendredi brumeux et humide, nous sommes 35 au départ de Laneuville au Rupt sur un parcours préparé par Bernard empêché qui est remplacé par Martial.
Après une bonne montée, nous arrivons dans le Bois de Laneuville avec ses beaux chemins blancs, puis ses chemins de terre où nous admirons plusieurs ronds de champignons. C'est à ce moment que nous rejoint Bernard, notre mycologue attitré.
A Chiple, nous sortons de la forêt et nous grimpons vers les éoliennes pour arriver sur le plateau et redescendre vers notre point de départ.
Un beau parcours de 7.4 km, sans pluie.
Nous sommes 13 randonneurs, sous la conduite de Jean Marie, pour un parcours dans la forêt domaniale de Montigny.
Randonnée agréable de 5.3 km sous un soleil timide mais agréable.
Nous sommes 16 devant l'ancienne gare de Sauvoy pour une rando douce vers le Bois Cheté. Direction le pont sur le canal de la Marne au Rhin, puis nous longeons le chemin à plat longeant le bois. Après la petite montée, seule difficulté du jour, nous longeons une portion de la rigole d'alimentation du canal
L'eau est pompée à Vacon, puis rejoint gravitairement le point le plus haut du canal au tunnel de Mauvages, les vallée étant traversées par des siphons. Actuellement la rigole n'est pas en fonctionnement, mais uniquement en période de basses eaux.
Un parcours de 4.3 km à plat sous un temps frais parfois ensoleillé.
28 marcheurs au départ de Montigny avec une courte averse glaciale au début. Direction la forêt domaniale sous la conduite de Jean Paul.
Le parcours a été légèrement modifié au km 3.5 pour contourner une ligne non entretenue, soit un total de 8.2 km.
En ce mercredi automnal bien ensoleillé, 16 marcheurs démarrent depuis la baraque de chasse pour un périple à travers la forêt de Vaucouleurs.
Au départ les chemins sont boueux et il faut bien freiner dans une belle petite descente. Nous arrivons chez l'homme des bois, Alain qui vient gentiment nous saluer.
Après la montée en pente douce, puis une petite grimpette, arrivée à notre point de départ après un beau parcours de 4.8 km
Ce lundi 20 novembre nous sommes 42 à Lucey, village viticole depuis l’époque romaine, pour un parcours de 10,8 km qui nous conduit à Bruley puis à Pagney derrière Barine, entre soleil et averses et avec arc en ciel.
De Lucey, nous parcourons les Vignes l’Evêque, rappel de la puissance passée de l’Evêché de Toul, puis nous nous laissons guider par les croix de chemin et les calvaires commémoratifs à travers les vignes. A nos pieds s’offre à la vue une partie de la plaine céréalière de la Woëvre qui s’étend de la Croix de Metz à Toul à droite, à Francheville, Bouvron, Mesnil la Tour, et au loin jusqu’au immeubles du Haut du Lièvre de Nancy. Nous cheminons sur les « Côtes de Toul », entre Auxerrois, Pinot Noir, et Gamay sachant que ces cépages donneront vins rouges et blancs, tranquilles ou pétillants, et le vin gris de Toul, mélange de Gamay et de Pinot Noir.
En ce vendredi avec quelques gouttes de pluie au début, nous sommes 43 au départ de Taillancourt pour un rando guidée par Fabienne. C'est un record pour un vendredi : apparemment le beaujolais a attiré quelques marcheurs inhabituels!!!
Nous montons tranquillement vers le Bois Salmon avec des rayons de soleil par intermittence. Nous admirons le vol de plusieurs groupes de grues en migration vers le sud avec un arrêt au lac du Der.
Nous arrivons à la Salle communale de Taillancourt après un beau parcours de 7.5 km.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas : lundi les randonneurs ont marché sous une pluie continuelle et aujourd'hui c'est le grand soleil.
C'est un petit groupe de 13 marcheurs qui démarre de la baraque de chasse de la forêt de la Fouée. A noter la participation du président venu tester son pied défaillant en voie de guérison.
Nous empruntons le long chemin blanc en admirant la belle forêt automnale et les nombreux champignons, en particulier de beaux coprins.
Nous bifurquons en direction de la ferme de la Biquotte et nous empruntons l'agréable chemin de ronde surplombant la vallée de la Meuse inondée qui nous procure de belles vues sur Vaucouleurs ensoleillé au bord de l'eau.
Une belle rando à plat de 4.4 km sous un temps automnal idéal.
Ce lundi 13 novembre, malgré la pluie qui ne faiblira pas, nous sommes 49 à Rigny la Salle pour un parcours de 10,7 km qui délaisse le village et le château de Malpierre, reconstruit au XVIIIème siècle, et ses deux tours coiffées d’ardoises. Il nous conduit dans le Val de l’Ane puis à travers le Bois d’Ugny et le Bois de Rigny la Salle jusqu’à Rigny Saint Martin.
En traversant le Bois de Rigny la Salle nous rejoignons le Chênois et descendons par la vallée de Bracôte vers Rigny Saint Martin. Nous n’avons pas trouvé de truffes de Lorraine ou de truffes de Meuse (tuber uncinatum et tuber mésentérium) mais des Pieds de moutons.
20 marcheurs au départ d'une rando de 8 km guidée par Gérard.
Temps pluvieux au début et ensuite beaucoup de vent sur les hauts plateaux meusiens.
Nous sommes 20 randonneurs au départ de Montigny.
Direction Burniqueville sous un beau soleil. Arrivés à l'ancienne ferme, certains d'entre nous visitent l'ancien pigeonnier transformé en abri de chasse.
Belle petite randonnée sous la conduite de Jean Marie
Martial
Pierre a conduit 42 marcheurs depuis Troussey sur le circuit des Calvaires balisé par le Pied Champêtre.
https://www.cirkwi.com/fr/circuit/428481-circuit-des-calvaires
Ce Vendredi, nous sommes 20 courageux à randonner sur un parcours préparé par Mireille et animé par Jean Paul.
Parcours agréable sous un soleil timide.
En ce mardi 31 octobre, l'Association Gombervaux a organisé sa première marche nocturne sur le thème d'Halloween. Les parcours de 4 et 7 km ont été balisés par les baliseurs du Pied Champêtre, un bâton lumineux signalant chaque changement de direction.
Dès 18 heures, les parkings se remplissent et plusieurs centaines de marcheurs se présentent au départ.
Une grande cohorte, dont une bonne vingtaine du Pied Champêtre munie de luminaires et lucioles s'étire sur les parcours de chemins corrects sous un temps clément. On a pu apercevoir quelques monstres dans la campagne!!!
Au retour, chacun a droit à son verre de soupe et sa boisson. Une petite restauration a permis de se rassasier : sandwichs, saucisses, chèvre chaud, crêpes et gâteaux.
Une belle réussite qui a donné entière satisfaction à tous les nombreux participants des environs.
A renouveler.
Ce lundi 30 octobre nous sommes 29 à Sionne, localité des Vosges située dans la vallée de la Saônelle, affluent de la Meuse. En quittant Sionne par le Bois Brûlé, on aperçoit le Château de Bourlémont reconnaissable aux quatre tours coiffées de toits « en poivrières » héritées du Moyen Age. Un parcours de 10 km dans le Bois de Sionne nous permet de profiter des couleurs dont l’automne pare les feuillages. Mais parmi ces arbres mordorés, il en est qui possèdent un attrait supplémentaire : ce sont les Hêtres Tortillards rescapés des sècheresses de 1976 et 2003 et de la tempête de 1999.
Ce vendredi 27 octobre nous sommes 22 à Mauvages devant l’église Saint Pantaléon qui a gardé du sanctuaire d’origine un portail roman du XIIème siècle. L’abside date du XIVème siècle et le retable du XVIème siècle. L’église a été reconstruite au XVIIIème siècle.
Sur la place, le monumental lavoir-fontaine du « Déo » a été réalisé par l’architecte Théodore Oudet en 1831. Depuis un décret de 1789, les Municipalités sont chargées de gérer les biens de la communauté et d’exécuter les travaux publics. C’est entre 1810 et 1850 que la fièvre de la construction s’empare des communes meusiennes.
Pour la dernière rando douce de Brigitte avant son départ vers l'Atlantique, Jean Marie et son équipe avaient prévu un pot d'au revoir.
Le déluge matinal ne s'atténuant pas, la rando a été annulée, mais pas l'après-rando qui a même été avancé à la baraque de chasse de Maxey
Devant la quasi-totalité du groupe du mercredi, Jean Marie a remercié Brigitte, pour sa gentillesse, sa disponibilité, ses qualités culinaires et a insisté sur les liens d'amitiés qui se sont tissés au fil des ans.
Au nom du club, le président l'a remerciée pour ses 12 années d'adhésion, ses quelques années au conseil d'administration et aussi pour ses qualités de cuisinière en tandem avec Lucette pour les Boldairs et les soupes aux pois
Avec une cagnotte récoltée auprès du groupe, un cadeau de départ a été offert à Brigitte à choisir à Vannes le Châtel. Un cadeau a aussi été offert à son mari Bernard, qui certes ne marchait pas, mais était toujours présent pour seconder son épouse et mettre à disposition la baraque de chasse.
L'après-midi se poursuit par le dégustation de pâtisseries de nos cuisinières, tout en papotant et en se remémorant les bons souvenirs des randos, des séjours et des festivités.
Nous souhaitons bon vent à Brigitte et Bernard qui se rapprochent de leurs enfants à la Rochelle.
Ce lundi 23 octobre nous sommes 61 au Lac du Der toute la journée pour la fête de la grue. La pluie ne nous quittera pas. Notre passionnant guide du matin, Alain, nous accueille à Sainte Marie du Lac-Nuisement. Il nous apprend que le site du lac était à l’origine une épaisse forêt de chênes (Der signifie chêne) sur un terrain très humide voire marécageux dû à la présence en sous-sol une couche d’argile de plus de 30 m d’épaisseur. Malgré ces conditions peu favorables les moines cisterciens décidèrent d’exploiter cette forêt créant un village de bûcherons composé de maisons de bois. Les maisons étaient démontées et remontées au fur et à mesure que le chantier s’enfonçait dans la forêt. Faute de pierre disponible, les fermes et les habitations des villages ont adopté une architecture à pans de bois entre lesquels sont intercalés du torchis, des carreaux de terre, ou encore des briques. Les pierres importées très coûteuses, servaient pour le soubassement en l’absence de fondations. Les églises à pans de bois utilisent les mêmes matériaux et sont surmontées de flèches et couvertes d’ardoises ou d’écailles de bois. Du fait de leur mode de construction, maisons et églises peuvent se démonter et se remonter aisément.
Le temps était encore bien doux pour les 13 personnes parties se promener sur le chemin entre les villages d'EPIEZ et AMANTY.
Le départ de la marche a été donné en haut de la côte à 1km d'EPIEZ pour randonner entre campagne et forêt en apercevant parfois : Moutons, Vaches et poules à l'entrée de AMANTY. Après avoir emprunté une ou deux petites rues vers l'église fermée, nous avons fait une petite halte devant le lavoir communal. Au retour, quelques marcheuses ont pu cueillir un joli bouquet de fleurs de tournesols.
Une gentille balade de 6kms par une température bien agréable.
Daniel
Ce lundi 16 octobre nous sommes 53 à Grandménil, faubourg d’Ecrouves, pour un parcours de 10,2 km autour du Bois de Mortemoselle. Nous nous dirigeons vers la ferme du Point du Jour reconnaissable à la statue de la Vierge qui orne sa façade. Puis nous suivons la vallée jusqu’au Val des Nonnes. L’abbaye de Rangéval fondée en 1150, qui relevait de l’Ordre des Prémontrés, possédait à Pagney derrière Barine, l’Ermitage du Val des Nonnes qui accueillait des femmes. La place faite aux femmes était à l’époque un sujet de controverse. Norbert de Xanten, fondateur de l’Ordre des Prémontrés, s’était montré novateur en décidant d’installer des nonneries non loin des maisons des chanoines.
Nous sommes 27 au départ de la marche à Rigny st Martin
Après un début difficile dans une exploitation forestière qui nous fait perdre le sentier, nous retrouvons l'ombre jusqu'à la ferme aux daims.
Belle balade de 7 km.
Martial
Nous sommes 17 randonneurs pour un périple dans les ruelles et sentiers de la cité vidusienne.
Marche très agréable sous un soleil radieux.
Martial
Ce lundi 9 octobre nous sommes 53 à Vacon pour un parcours de 10km (plus pour les deux groupes de courageux) qui nous amène de Vacon à Naives en Blois. A Vacon, la Fontaine de Vacon constitue le ruisseau Vacon qui reçoit un affluent, la Méholle, pour constituer le Vidus, qui se jette dans la Meuse à Void. Sous le soleil qui rougeoie, le chemin qui poudroie épouse une succession de petites côtes qui assèchent les papilles et font sortir les gourdes. Avant d’arriver sur le plateau où un souffle d’air bienfaisant nous rafraîchit, nous laissons à notre droite la Vallée La Femme en nous interrogeant sur l’origine de ce curieux nom.
Félicitation aux Tailbras pour l’organisation ce samedi 7 octobre d’une marche tout public dans le cadre d’Octobre Rose. Les parcours de 11 et 7 km avaient été balisés par le Pied Champêtre pour guider les participants. Des cailloux colorés avaient été disséminés sur le parcours. En ramener un serait récompensé par un gâteau.
Le café-madeleine offert à l’accueil à Montbras a été apprécié dans la fraicheur matinale. Le soleil a rapidement réchauffé l’atmosphère provoquant l’abandon progressif des vêtements chauds.
Par un beau soleil, 28 marcheurs au départ d'URUFFE sous la conduite de Gérard sur un parcours de 7.3 km.
Direction Gibeaumeix par le haut et retour par la plaine de l'Aroffe.
On voit qu'il fait encore bon en ce début d'octobre car nous sommes 17 au départ du haut de SAINT GERMAIN pour nous diriger vers OURCHES. En passant d'abord par le haut du village, nous descendons vers l'ancienne gare, puis le chemin en dessous de la route départementale pour nous retrouver dans la vallée de notre chère Meuse que nous traversons d'un pas allègre.
Arrivés à l'entrée du petit village de OURCHES, nous poussons jusqu'au moulin et traversons le ruisseau sur la passerelle encore toute fleurie de géraniums. De là, nous faisons demi-tour pour reprendre la vallée en sens inverse, accompagnés un bon moment par les moutons de notre ami Marion de la ferme de la Biquotte afin de regagner notre point de départ.
Une bien agréable rando de 6kms environ, tout à plat et sous le soleil.
Daniel
Ce lundi 2 octobre, nous sommes 55 à Pagny la Blanche Côte pour affronter, sous un soleil ardent et 28° de température, les 10 km de notre parcours sans l’ombre des bois. On commence par la montée de la Côte des Vignes puis la traversée du Haut des Grosses Terres jusqu’au Fort de Pagny, propriété privée et habitée. Le vaste paysage qui s’offre à nous est, dans le lointain, nimbé de brume de chaleur. On commence à apercevoir, se détachant sur le bleu du ciel, des ailes volantes aux couleurs vives. Nous rejoignons le sommet de la Blanche Côte en passant devant la Batterie de Pagny, propriété privée et habitée comme le Fort.
Il y avait 34 inscrits au départ du bus à Vaucouleurs en direction de Belleville sur Meuse pour la 1ère Fête de la Rando. Au passage à Lérouville 3 adhérents de la Vadrouille montent dans le bus mis gratuitement à la disposition des clubs.
Sous l'égide de son président, Christian Garand, avec le concours des clubs verdunois, le Comité Départemental de la FFRP a organisé une Fête de la Rando à destination des clubs, mais aussi ouverte à tout public. Différents ateliers étaient proposés : 2 randos balisées de 11 et 16 km en forêt jusqu'au Mémorial de Verdun et les sites historiques, rando douce dans Belleville, rando challenge dans Verdun, marche nordique, marche rapide et joëlettes électriques.
Pour guider la rando, Patrick a remplacé au pied levé Denis HS.
30 participants pour un parcours de 7.6 km au départ d'Abainville (1ère commune de Meuse et 2ème de France....dans l'ordre alphabétique).
Direction le viaduc, puis Gondrecourt en suivant l'ancienne voie ferrée. Retour en suivant le GR 714, bien connu de nos baliseurs.
Nous sommes 11 au départ depuis le monument aux morts pour aller vers les quartiers nord jusqu'à la stèle des fusillés, puis nous prenons à gauche le chemin derrière l'ancienne école pour aller vers le "Ru Nicole".
En cours de route, nous sommes rejoints par nos amis Marie-Jeanne et Robert qui nous accompagnent jusqu'au parking du carrefour des routes de Void et Sauvoy tout en longeant le ruisseau à l'ombre. En passant nous pouvons voir en plein soleil l'élevage Saint Paul.
Après un peu de repos sur l'aire de pique nique, nous repartons vers le départ en faisant quelques crochets par la gendarmerie, puis Tusey et ensuite la route toute neuve du quartier des Maroches.
Une belle balade de 4,5 kms en ce premier mercredi d' automne.
Daniel
Ce lundi 25 septembre nous sommes 48 à Commercy pour un parcours de 10 km dans la Forêt de Commercy qui nous conduit à la Fontaine Royale.
Commercy existait dès le 9ème siècle. Au 14ème siècle un château fort est adossé à la Meuse. En 1662, Jean-François Paul de Gondi, Cardinal de Retz, héritier du château, y est astreint à résidence par Louis XIV pour sanction de sa participation à la Fronde. Commercy aux marches du Duché de Lorraine, du Barrois et du Royaume de France, est éloigné de Paris. Le Cardinal transforme le château fort en château résidentiel. Grand chasseur, il aménage des points d’eau dont la Fontaine Royale et son étang pour maintenir le gibier dans sa forêt de 8000 ha.
Martial est toujours fier de faire visiter son village natal aux 26 marcheurs du jour pour une rando qui sera parsemée de quelques gouttes de pluie.
Nous traversons la prairie, puis nous retournons vers le hameau de Saint Martin pour nous diriger vers le carrefour des 4 ponts en suivant l'ancienne voie ferrée.
En passant devant la Croix Mairel, nous rejoignons Sorcy et nous traversons le vieux village et son château, avec une petite halte à l'église.
Agréable rando de 8 km, à plat.
Après les vacances d'été et la vague de covid de la semaine dernière, nous pouvons reprendre les petites randos du mercredi. Nous sommes 12 (11 sur la photo plus l'opérateur) au départ depuis la zone artisanale de Tusey en empruntant l'ancienne voie ferrée jusqu'à l'entrée d' UGNY et retour, soit 5kms sous les ombrages à l'abri du vent et sous la chaleur de cette belle journée.
Cela fait du bien de retrouver les amis et les langues se délient pour raconter les vacances et bien sur quelques petites histoires drôles de notre ami Martial. On se dit au revoir en espérant être plus nombreux dans les semaines à venir.
Daniel
Ce lundi 18 septembre nous sommes 47 à Moncel sur Vair pour un parcours de 10 km. Nous laissons nos véhicules sous la garde d’une belle statue en bois de taille humaine figurant un jardinier sous son chapeau de paille.
Traversant Gouécourt, nous nous dirigeons vers la D3 et la voie ferrée pour franchir le Vair grâce au viaduc. Cet imposant viaduc ferroviaire construit en 1884 sur la ligne Culmont Chalindrey-Toul, long de 153 m, compte 10 arches et possède une voie piétonne. A 30 m de hauteur nous contemplons le Vair. Il prend sa source à Dombrot-le-Sec à peu de distance du col du Haut-de-Salin, près de Contrexéville qu'il traverse, puis reçoit le Petit Vair en provenance de Vittel. Après un parcours de 65,3 kilomètres1, il se jette dans la Meuse au nord de Neufchâteau, au nord-ouest de Maxey-sur-Meuse près de Domrémy-la-Pucelle.
Cet après-midi, nous étions 26 à randonner sur les sentiers de Neuville / Burey.
Après une petite montée sous un soleil en partie masqué par quelques nuages, nous entrons en forêt,
Puis nous descendons vers Burey en Vaux en admirant le panorama.
En traversant Burey, nous rencontrons Jeannot, notre vétéran.
Retour par la vallée de la Meuse.
En arrivant à Neuville, nous sommes invités au pot de l'amitié chez Maryse
Martial
Ce lundi matin du 11 septembre, très ensoleillé, nous sommes 43 à Pagny sur Meuse pour un parcours de 10 km qui fait le tour de la carrière du Révoi et retour par la Chapelle de Massey.
La carrière du Révoi est exploitée depuis 1966. Le gisement de calcaire de 75 m d’épaisseur, constitué de sédiments marins coralliens datant de 150 millions d’année, est recouvert d’une couche de 30 m de matériau marno-calcaire inutilisable soit 850 000 tonnes qu’il faut retirer par an et mettre en décharge. Le calcaire est découpé en quatre fronts de taille de 20 m de haut chacun environ. L’exploitation est réalisée par abattage à l’explosif. Ces explosifs sont introduits après forage de trous de 115 mm par une sondeuse sur chenilles. Le tir est commandé à distance.
Nous étions 15 participants à cette rando, maintenue malgré la chaleur. Nous avons eu le plaisir de retrouver Mélanie en pleine forme.
Au cours de cette rando de 7 kms le Pied Champêtre est intervenu 3 fois pour porter secours à des personnes et des oiseaux en difficultés.
Km 3 : un couple de hollandais était embourbé avec un 4x4 au milieu de la Viole, l'arrivée providentielle d' un quad et les hommes du club ont permis de libérer ces personnes.
Km 5 : arrêt pour soigner les ampoules d'Alexandrine .
Km 6 : Annick et Bernard ont libéré 2 mésanges coincées dans les racines d'un arbuste.
JP
Pour la reprise des randos en après-midi, Denis a modifié le programme pour une rando à partir des carrières d'Euville. Nous sommes 42 à suivre le parcours balisé vers les dernières galeries exploitées.
Les carrières d'Euville ont été exploitées à partir du 15ème siècle et c'est au début du 20ème siècle qu'elles connaissent leur plein essor grâce à deux entreprises qui employaient jusqu'à 1500 carriers. La pierre d'Euville était réputée pour sa dureté et son homogénéité. Elle a été utilisée pour d'illustres bâtiments : Le Louvre, l'Opéra Garnier, le monument du Montsec etc.... A cette époque Euville était la commune la plus riche de France, (proportionnellement à sa population). Actuellement la carrière est encore exploitée par la société Rocamat qui n'extrait que ses propres besoins.
Pour cette reprise des randos du vendredi, nous étions 21 en ce bel après-midi qui sentait l'automne.
Jean Paul nous guide au départ de Vacon sur le chemin au pied du Bois de Monfeu, puis nous montons pour longer la rigole d'alimentation du canal de la Marne au Rhin qui se poursuit jusqu'au tunnel de Mauvages. Nous surplombons la rigole en pente douce bien remplie entre deux siphons traversant les thalwegs vers la vallée de la Méholle.
Puis nous remontons vers le plateau de Monfeu en longeant une grande zone agricole avec une vue à 360° au sommet.
Après la descente, nous faisons une halte devant la source du Vidus qui serait une résurgence de l'Ornain.
Une belle rando de reprise de 7.3 km sous un ciel clément.
Ce lundi 28 août agréablement frais, c’est la dernière marche matinale car en septembre nous reprendrons les marches l’après-midi. Nous sommes 41 à avoir roulé 3 km sur la Voie des Charmes, chemin direct entre Taillancourt et Vouthon Bas.
Vouthon-Bas est le village dans lequel Isabelle Romée, la mère de Jeanne d’Arc, est née en 1377. Elle épouse Jacques d’Arc en 1405 et le couple s’installe à Domrémy. De leur union vont naitre cinq enfants vivants: Jeanne, Catherine, Jacques, Pierre, et Jean. Isabelle déménage à Orléans après le décès de son mari en 1440. Elle demande au Pape Nicolas V de réviser le procès en hérésie qui a conduit Jeanne au bucher en 1431.
En ce beau samedi par un temps clément, nous étions 104 inscrits au Repas Champêtre sous les hauts de Vaucouleurs dans la terrain d'Annie et Pierrot pour fêter la fin de vacances et la reprise, bien que les activités n'aient jamais cessé...
Pour se mettre en jambes, une petite troupe d'une vingtaine de marcheurs a parcouru 8.5 km sous la houlette de Gérard vers Montigny.
Auparavant, le chapiteau avait été monté et les équipes de restaurateurs étaient à l'œuvre : une équipe pour les amuse-bouches et desserts, une équipe pour les entrées, une équipe pour cochon et agneau à la broche et les frites, sans oublier l'équipe du bar.
Ce matin du lundi 21 août nous sommes 38 derrière l’église de Broussey en Blois pour un parcours de 10km à l’ombre des arbres du Haut Bois. Le ciel est pur de ce bleu dont on dit qu’il fait le désespoir du peintre tant il est difficile à reproduire. L’air est encore frais et c’est tant mieux car on commence par une belle côte bien longue au lieu-dit « le Sart », probablement une terre essartée c’est-à-dire défrichée. Les chemins ont gardé l’humidité des récentes averses et toutes sortes de champignons se sont développées. Pour profiter au maximum de la fraicheur de l’ombrage nous décrivons des lacets dans le bois avant de sortir en lisière près de la D194. Nous longeons la lisière au lieu-dit Cachon le Loup. Sur le parcours une croix de pierre aux inscriptions indéchiffrables nous intrigue. Arrivés au lieu-dit « Halbute » nous voisinons avec les éoliennes que Broussey partage avec Bovée-sur-Barboure.
Ce lundi 14 août orageux nous sommes 17 à braver les menaces du ciel à Domrémy devant la maison natale de Jeanne d’Arc dont il est difficile d’imaginer l’état initial.
Anoblie par le roi, exemptée d’impôt, la famille de Jeanne a agrandi la maison qui est cédée vers 1587 aux seigneurs de la région. Les comtes de Bourlémont, puis de Vaudémont, puis de Salm, mettent un point d’honneur à posséder ce lieu de mémoire. Girardin, ancien soldat de Bonaparte, fermier à Domrémy la rachète fin 18ème siècle. Il fait construire une maison devant et s’en sert comme cave à vin. L’Etat rachète, détruit la seconde maison. Pour l’ouverture du musée en 1818, on dalle le sol qui était en terre battue. En 1840 Prosper Mérimée l’inscrit sur la première liste des monuments historiques.
Ce lundi 7 août nous sommes 47 à la baraque de chasse de la forêt de Vaucouleurs sur la route de Sauvoy. Le temps est frais et sec pour parcourir 10 km sur des chemins forestiers un peu humides mais pas boueux malgré les récentes averses.
Partis des Quatre Coupes, nous atteignons le Val du Grand Vaux en longeant la D10 puis nous empruntons la Tranchée Lebon. Un monument a été érigé pour rappeler l’assassinat d’un garde forestier nommé Lebon en septembre 1871. De la plaine Chandant nous gagnons le Petit Terme pour rejoindre la Sommière de Septfond et la route forestière des Lignes Plates.
Une surprise nous attend à la baraque de chasse où, pour fêter son anniversaire, Michel a ouvert une buvette éphémère. C’est donc par un apéritif convivial très apprécié que se termine notre balade.
Mireille
Ce dernier lundi de juillet nous sommes 34 non loin de Rigny Saint Martin et du Neuf Moulin pour un parcours de 9.5 km autour de la Forêt Domaniale de l’Essart. Autrefois l’essartement ou l’essartage correspondait au défrichement d’un terrain boisé avec brûlis des bois inutilisables et épandage des cendres produites en vue d’une mise en culture du terrain défriché. La terre « éssartée » était nommée « essarts ».
La Lorraine est couverte par environ 830 000 ha de forêts dont 221 000 ha de forêts domaniales, 348 000 ha de forêts communales et 261 000 ha de forêts privées. Les forêts domaniales de notre région sont les anciens domaines du Duc de Lorraine, des autres nobles comme la famille de Salm, des abbayes et des évêchés.
En ce dernier dimanche de juillet nous étions 19 au départ de Vaucouleurs pour la randonnée jusqu’à la Chapelle de Sainte Anne. Nous passons devant la Porte de France d’où Jeanne d’Arc partit pour rejoindre le Dauphin à Chinon. A travers le bois du grand Bussy nous rejoignons Montigny les Vaucouleurs. Nous passons devant la Fontaine Jeanne d’Arc reconnaissable à la statue coulée aux fonderies de Tusey. Celle de la rue Sainte Anne, de style néoclassique, reconnaissable à son fronton triangulaire, à ses trois bassins, à sa vasque ornée de têtes de faunes et au dauphin sculpté au pied, héberge une pouponnière de têtards. Nous délaissons le vallon Marchal mais reprenons la vallée du ru Nicole pour gagner à l’ombre du bois, le vallon Sainte Anne. Mais arrivés à la Chapelle Sainte Anne nous constatons que la traditionnelle messe en plein air a été annulée et que le site est déserté. Seuls quelques amis marcheurs nous ont rejoints. Nous somme à présent 27.
En ce vendredi maussade, nous sommes 15 sur le plateau de Sauvigny à l'entrée de la forêt. Nous démarrons sous quelques gouttes de pluie qui vont nous suivre plus ou moins fort par intermittence.
Nous occultons la petite pointe prévue vers le Pré Gérard, puis nous suivons le parcours prévu.
Nous commençons à longer le département 54 (Mont l'Etroit) par une belle petite grimpette rendue glissante par le pluie.
Arrivés à la borne des 3 départements, chacun pose pour la photo dans son département de naissance. Puis nous poursuivons en longeant le département 88 (Clérey la Côte) et nous rejoignons notre point de départ en passant devant la Croix Pancarnel dont nous n'avons toujours pas déchiffré toutes les inscriptions.
Une belle rando pluvieuse de 7 km qui va nous donner de l'appétit.
Pause des randos du vendredi en août : reprise le 1er septembre
Ce lundi 24 juillet nous sommes 28 à Maxey sur Vaise, près de l’ancienne gare. Une belle fresque représente les voies et les quais où attendent les voyageurs, une locomotive à vapeur et ses wagons dans des dégradés de brun et de beige.
Le parcours de 10,8 km qui nous attend présente 215 m de dénivelé. Nous traversons la Vaise auprès d’un lavoir. La Vaise prend sa source au moulin et, après une brève course, rejoint la Haute Meuse à la sortie du village. Maxey compte plusieurs lavoirs présentant des singularités. Le toit à deux pentes de l’un couvre entièrement le ruisseau dont chaque berge est aménagée pour les lavandières. Un autre, le lavoir haut, a été doté d’une crémaillère en 1909 pour adapter son plancher au niveau de l’eau.
En ce vendredi matin, nous étions 18 (soit 16 de plus que pour la marche du 14 juillet à Gibeaumeix....) au départ de la zone de Tusey.
Après une petite montée, nous arrivons sur la plateau où nous profitons d'une vue panoramique sur les villages de Saint Germain, Ourches, les 2 Rigny et Chalaines.
Nous arrivons tranquillement à Ugny, pour la photo devant le tilleul de la révolution.
Le retour se fait en suivant l'ancienne voie ferrée qui a été débroussaillée par le Pied Champêtre et qui est depuis très fréquentée.
Belle rando de 7.5 km parcourue par un idéal temps frais.
Sortie nature organisée par Nicolas AVRIL, animateur du Conservatoire Régional des Sites Lorrains, sur la pelouse calcaire de Beauregard à Maxey sur Meuse.
Matinée très instructive et plaisante au sujet de la faune et la flore pour la petite vingtaine de passionnés.
Pour cette sortie de juillet, nous n'étions que 41 inscrits et finalement, nous nous retrouvons qu'à 37 suite à des indisponibilités de dernière minute. Le car nous transporte jusqu'à Manonville pour une rando proposée par Paul en suivant la vallée de l'Esch dans la Petite Suisse Lorraine.
Nous suivons d'agréables chemins bien ombragés à plat qui nous conduisent en bas d'une grimpette vers le Grouffre de Grimo Santé profond de 56 mètres.
Après cette seule difficulté de la matinée nous redescendons vers le Hameau Saint Jean, puis Martincourt.
Après l'apéritif (bière, porto et jus de fruits), nous pique-niquons dans la bonne humeur, dans un parc bien ombragé au centre du village.
Ce lundi 10 juillet nous sommes 39 sur la D 966 en direction de Gondrecourt au lieu-dit la Croix de Vouthon pour commencer un parcours de 9,7 km à l’ombre du Bois des Fournots.
En quoi cette date du 10 juillet est-elle intéressante ?
Le 10 juillet 1559, Marie Stuart devient Reine de France. Née en 1542, fille du Roi d’Ecosse Jacques V et de Marie de Guise la catholique, arrière-petite-fille d’Henri VII Roi d’Angleterre, Marie est âgée de quelques semaines à la mort de son père. Elle hérite de la couronne d’Ecosse. Elle est fiancée en 1548 à François, fils de Catherine de Médicis et d’Henri II Roi de France. Elle n’a que 16 ans lorsqu’elle l’épouse en 1558. Lorsqu’Henri II meurt le 10 juillet 1559 François II lui succède. Mais François meurt à son tour le 5 décembre 1560. Marie, veuve, doit rentrer en Ecosse. Reine d’Ecosse, elle aura été aussi Reine de France moins de 18 mois. La Reine Elisabeth 1ère, fille d’Henri VIII d’Angleterre, protestante, voit le retour de cette possible prétendante catholique au trône d’Angleterre d’un mauvais œil, la fait emprisonner en 1568 et, prétextant des menées subversives avec l’Espagne, la fait exécuter en 1587.
Ce vendredi 7 juillet nous sommes une douzaine pour étrenner un nouveau parcours de 8 km autour du Bois de Mortemoselle proposé par Jean-Marie. La première étape en longeant le Val des Nonnes puis en grimpant une belle côte, nous conduit à l’ancien Fort d’Ecrouves construit par Séré de Rivières entre 1874 et 1877 sur trois niveaux, et restructuré entre 1906 et 1910. Cette très vaste construction encore en bon état pouvait héberger 1046 hommes et 42 pièces d’artillerie et était équipée en l’absence de puits d’une citerne d’eau de 1300 m3. Elle servit de garnison lors de la guerre 14-18.
Le panorama au sommet de la Verte Côte détaillé sur une table d’orientation, offre une vue étendue de Choloy Ménillot à Charmes la Côte, à Pierre La Treiche, au Mont Saint Michel et à la Côte Barine.
Ce lundi 3 juillet nous sommes 49 à l’entrée de Blénod les Toul pour un parcours de 10,5 km finalement écourté (11,7 km pour les courageux) qui nous fait grimper par le Montant de la Corvée entre le Bois de la Gare aux Chèvres et le Bois de Sorvigne vers Mont le Vignoble en passant devant l’ancien Fort de Blénod.
Le départ est donné à BLENOD-LES-TOUL dont l’église fut construite entre 1506 et 1512 par un enfant du village, Hugues des Hazards, Evêque de TOUL. Elle est entourée par des « loges » qui servaient de grenier et de cave destinées à contenir les grains, les légumes et les vins des habitants. L’Association de Sauvegarde du Patrimoine s’efforce de les réhabiliter. Notre chemin est soudainement barré par des chenilles processionnaires en route vers l’arbre qui hébergera leur cocon.
Nous sommes 14 au départ de la marche à la stèle de l'avion.
Temps couvert peu de pluie. Marche très agréable de 7.8 km.
Martial
Après une petite rando dans les bois de Maxey, rendez-vous à la cabane de chasse de Maxey pour un pique-nique en commun.
Il ne manquait rien car tout le monde avait apporté une spécialité : apéritif, salades, plats froids, fromages et une multitude de desserts.
L'après-midi s'est terminé par des jeux et du papotage.
Merci à tous et en particulier à l'animateur et organisateur : Jean Marie sans oublier Lucette.