Ce lundi 9 juin très ensoleillé nous sommes 38 à la halle d’Allamps pour un parcours de 9,2 km (10.7 km pour les 15 plus courageux) qui nous conduit à Housselmont puis à Barisey-la-Côte puis à l’observatoire de la voûte céleste au sommet de la butte de Bonnet à 416 m et retour à Allamps. L’église Saint Pierre et Saint Paul d’Allamps a été construite au 13ème siècle et fortifiée pour protéger la population des nombreuses attaques de pillards. C’est sur le territoire d’Allamps que la Comtesse de Morizot a fondé en 1766 la verrerie dite de Vannes le Chatel parce que ses propriétaires vivaient au château de Vannes.
Ce vendredi 6 juin nous sommes 16 au Moulin de Brixey, avec exceptionnellement plus d’hommes que de femmes, pour une balade de 7,55 km (8.1km avec le détour vers la chapelle). Tant pis pour ceux qui se sont laissés découragés par le risque de pluie car il n’a plu que quelques minutes. Notre parcours nous conduit d’abord le long du lieu-dit L’Ile puis sur la berge de la Meuse jusqu’à Maxey sur Meuse.
Une fois traversé Maxey nous entamons une longue montée vers la pelouse calcaire du plateau de Beauregard parsemée d’orchidées et dominé par la chapelle de Beauregard. La première chapelle fut construite en 1245 par Joffroy de Bourlemont de retour de croisade, puis reconstruite en 1540. Le bâtiment actuel date de 1710. La chapelle était, semble-t-il, coiffée d’une croix celtique du IVème siècle déposée à côté du monument en 1875 pour être remplacée par le clocheton.
Au lieu-dit le Champ la Dame on se dirige vers la Côte du Plain qui nous amène à Brixey en révélant un large panorama sur la vallée de la Meuse, Burey la Côte, Goussaincourt et Greux. Une Croix de chemin est placée avant l’entrée de Brixey. Déjà habité à l’époque gallo-romaine, Brixey domine la vallée de la Meuse à l’altitude de 300m.
Ce lundi 2 juin nous sommes 29 aux lieux historiques de Vaucouleurs pour refaire le parcours de 10km du Boldair 2025. Après la montée sur le plateau de Bussy et la traversée de la D960 on se dirige vers Montigny. Là, on passe devant la Fontaine Jeanne d’Arc reconnaissable à la statue coulée aux fonderies de Tusey et devant celle de la rue Sainte Anne, de style néoclassique, reconnaissable à son fronton triangulaire, à ses trois bassins, à sa vasque ornée de têtes de faunes et au dauphin sculpté au pied. De Montigny on s’oriente vers Neuville les Vaucouleurs. Arrivés au Champ St Amand au-dessus de Neuville, on prend le chemin du retour à Vaucouleurs par le lieu-dit Le Rosier Brûlé.
Ce vendredi 30 mai très chaud nous sommes 9 à Gibeaumeix pour un parcours de 8 km à l’ombre des bois. Jusqu’au 9ème siècle peut-être 10ème, le village très petit, se situait probablement sur le ruisseau l’Aroffe en un lieu appelé La Rochotte. Sans doute fut-il détruit et reconstruit vers le 11ème ou 12ème siècle. Au 12ème siècle un château fort a été bâti au bord du ruisseau. Il fut confisqué à la Révolution et vendu en 1793. Démoli en 1803 il servira de carrière pour la construction des maisons du village.
Nous passons devant la chapelle Notre Dame de la Pitié reconstruite au 19ème siècle. Son portail imite l’art gothique avec ses deux colonnes à chapiteaux floraux. Son autel supporte une pieta polychrome et les statues sont du 19ème siècle alors qu’à l’arrière en hauteur se trouve un bas-relief médiéval représentant la Nativité.
Ce vendredi 23 mai frais mais ensoleillé, nous sommes 22 devant le lavoir de Gibeaumeix pour un parcours de 8,4 km. D’abord un kilomètre pour l’échauffement le long de prés jaunes de boutons d’or ou bleus de scabieuses et de champs vert tendre. Puis une belle côte de 700 m en forêt nous hisse de 266 m à 360 m d’altitude à travers la Vigne la Dame jusqu’au Grand Cugnaux. Les euphorbes sont en fleur. Trois kilomètres entre prés et champs, sur le plateau, nous permettent de reprendre notre souffle. Les acacias couverts de grappes de fleurs blanches embaument et peuvent parait-il être mélangées à de la pâte à beignets. Une flaque sert de refuge et lieu de frai à 4 crapauds à ventre jaune. Les fleurs de sureau inspirent des recettes de confitures. La descente dans le bois nous ramène sur le chemin qui relie Gibeaumeix à Uruffe. Partout les églantiers sont couverts de fleurs blanches tirant sur le rose.
Mireille
Première sortie joëlettes depuis 2023, puisque l'an dernier, toutes les sorties ont été annulées pour cause de météo.
Après vérification et regonflage des pneus, les deux joëlettes sont prêtes pour véhiculer deux résidents vers le plateau de Bussy. Dans la montée, il a fallu deux tireurs en plus du pousseur arrière.
Nous arrivons au parcours de santé en même temps que le véhicule des 4 résidents marcheurs et leurs accompagnatrices. Après avoir suivi le tracé bien ombragé du parcours de santé, les deux groupes se rejoignent pour une pause collation agrémentée des papotages habituels.
Au retour, sur le petit sentier bucolique, il a fallu contourner un gros arbre tombé récemment. Après quelques contorsions, nous descendons tranquillement vers notre point de départ.
Un grand MERCI aux tireurs et pousseurs des joëlettes, ainsi qu'aux accompagnatrices des marcheurs, qui ont permis une agréable sortie aux résidents ravis de cette belle virée dans la nature.
Après une petite grimpette, nous pouvons admirer le panorama du village. Retour dans Uruffe puis nous longeons l'Aroffe jusqu'au canal de l'Aroffe.
Puis retour en direction du village pour un goûter préparé par Marie José.
Très agréable après-midi.
Ce lundi 19 mai nous sommes 68 à Naives en Blois (un record de présents) pour une sortie à la journée, organisée par Philippe et Agnès, avec au programme :
- - le matin un parcours de 8,8 km (10,8 km pour les 25 plus courageux) dans le Bois de Voirut
- - puis le repas (pour 64 +10 pique-niques) préparé par Magalie servi à la loge de chasse de Naives en Blois, l’occasion de fêter le premier arrière-petit-fils de Pascale et Daniel et le 62ème anniversaire de Pascal
- - enfin une promenade digestive de 6,4 km pour 53 volontaires dans le Bois de l’Inglure.
En ce vendredi bien ensoleillé, nous sommes 23 en forêt de Void pour un parcours tracé par Martial et guidé par Denis. Suite à une mauvaise interprétation du mail, les premiers attendaient à la stèle, les derniers arrivés attendaient à l'entrée de la forêt comme prévu pendant que d'autres attendaient entre les deux endroits.
Finalement après le regroupement à la stèle, la rando démarre par une descente vers la route de Sauvoy que nous suivons sur 300m pour remonter bien à l'ombre en forêt des Frillonvaux.
Nous étions 10 au départ de Sauvigny, où nous attendait notre guide du jour Sandrine qui nous a promenés entre bois et découvert pour une rando de 5kms600 par une bonne température de 25 degrés. Très beau parcours, mais il était temps que l'on arrive, sinon notre hôte revenait en chaussettes!!!
Tout le monde était ravi.
À mercredi prochain.
Jean Marie
Nous sommes 60 à l'entrée de la forêt de l'Essart au départ de parcours proposées par Jean Luc. qui guide le premier groupe de 22 pour 11.7 km.
Le 2ème groupe de 38 est guidé par Pierre pour 10 km. Nous suivons le chemin bordant la domaniale, puis nous entamons une longue montée de 3 km en pente douce sur le chemin en limite de département entre Rigny Saint Martin et Domgermain. Arrivés à la Viergeotte, c'est la pause pour la traditionnelle photo de groupe sous la statuette.
Ce vendredi 9 mai ensoleillé et légèrement venteux, nous sommes 32 à Maxey sur Vaise près de l’ancienne gare pour un parcours de 8,3 km. Prenons le temps de découvrir la fresque derrière la gare. Elle représente la gare de Maxey, les châteaux d’eau pour la locomotive à vapeur, les voies, les quais où attendent les voyageurs, une locomotive et ses wagons, dans des dégradés de brun et de beige.
Nous traversons la D964, contournons le village, et passons devant la chapelle Notre Dame des Grâces (XVIème siècle).
Nous sommes 17, à dominante féminine, au départ de la rando en bordure de la forêt de l'Essart à Rigny Saint Martin.
Sous un soleil voilé, nous longeons la forêt domaniale où nous cueillons quelques brins de muguet, puis humons les senteurs de l'ail des ours en début de floraison.
Nous faisons un aller et retour sur le chemin en limite de département 54 et 55 entre les communes de Choloy Ménillot et Rigny Saint Martin. Puis au retour en bordure du GR 703, nous avons fait le plein de muguet.
Comme d'habitude, belle ambiance conviviale à un rythme de sénateurs sur un parcours de 5 km, avec peu de dénivelé et des bons chemins.
Ce lundi 5 mai nous sommes 65 près de Taillancourt dans la vallée du Cauroy à la baraque des chasseurs pour un parcours de 8,5 km ( 10,8 km pour les 26 plus courageux) à la recherche du muguet. Le chemin qui suit la vallée du Cauroy et la voie des Charmes est l’ancienne route qui reliait Taillancourt à Vouthon Bas. Nous allons nous en éloigner pour monter dans le Bois de Taillancourt au-dessus du Vau de Bure puis nous diriger vers la Source de Salmon avant de redescendre vers le GR 703 et de le longer en restant sur le sentier au-dessus pour retrouver nos véhicules à la baraque des
chasseurs.
Nous sommes 8 courageux, malgré le ciel bas et quelques gouttes, pour randonner dans les rues de Bar le Duc, pour découvrir, ou re découvrir moult monuments de la capitale meusienne.
Nous sommes accueillis à la salle Dumas par Philippe des Trottes Voyotes et son équipe. Aprés le café d'arrivée et les inscriptions, nous prenons la direction de la ville en 2 groupes, il est vrai que le dénivelé et les nombreux escaliers pouvaient faire un peu peur. Le premier groupe de 5 randonneurs pour le circuit P2 de 8 kms et les 3 derniers marcheurs pour le circuit P1 de 11 kms.
Malgré quelques gouttes qui nous mouillèrent à peine, le parcours fut très agréable, la première partie nous fit découvrir les monuments et immeubles des villes, basse et haute et nous amena sur une seconde plus sauvage et bucolique au travers des vergers et jardins des hauts de Bar le Duc.
Retour à la case départ, pour un plateau bien mérité précédé d'une douce boisson offerte par notre DJ préféré et président des Trottes Voyotes.
A 14h30, nous étions de retour sur Vaucouleurs.
Les photos vous permettront de voir quelques unes des curiosités vues tout au long du parcours.
Ce vendredi 2 mai très ensoleillé nous sommes 18 à l’entrée du Bois de Troussey au lieu-dit Croix du Pécheur pour un parcours pour l’essentiel en forêt de 7,1 km. On sort du bois pour un kilomètre en plaine au lieu-dit les Ajouneaux et on revient avec soulagement à l’ombre en forêt au lieu-dit la Queue Renard pour une petite montée de 257 m à 325 m.
Alors que nous déambulons sous les arbres, nous croisons la Pârisette à 4 feuilles, les fleurs blanches du Sceau-de-Salomon, les fleurs des fraises des bois, la bugle rampante aux fleurs bleues placées en étages sur une tige de 15 à 30 cm. Mais nous avons rencontré aussi force muguet tout au long du chemin en sorte que chacun a pu ramener un bouquet de clochettes blanches porte-bonheur.
A retenir pour l’an prochain.
Mireille
Ce mercredi 30 avril très ensoleillé nous sommes 18 à la baraque de chasse route de Sauvoy pour un parcours de 5 km à la recherche du muguet. C’est donc avec lenteur que nous avons marché le nez au sol. Nous avons apprécié l’ombre des arbres qui atténuait la chaleur. De sommières en fond de vallée, de l’ancienne voie ferrée jusqu’aux portes de Sauvoy nous avons pisté les moindres clochettes blanches. Et pour immortaliser le fruit de nos efforts nous avons pris une photo des bouquets réunis.
Mireille
Ce lundi 28 avril très ensoleillé nous sommes 59 devant le château de Tusey pour un parcours de 10,1 km (12,2 km pour les 24 plus courageux). Le château de Tusey doit sa construction à l’abandon du château médiéval de Gombervaux par ses propriétaires Jeanne-Thérèse du Breuil de la Bossardière et son époux Charles-François de Mailliart. La démolition de Gombervaux commence en 1770, une partie des pierres servant probablement à la construction du château de Tusey.
Ce vendredi 25 avril, nous sommes 25 non loin de Vannes le Châtel sur la D 4B vers Pagny la Blanche Côte, quelques centaines de mètres après le pont sur l’Aroffe à l’entrée du Bois de Pagny au lieu-dit les Genièvres. Mais nous n’avons pas vu de genièvres. En restant à la lisière du Bois nous avançons vers la vallée de Gironvaux puis vers la vallée de la Viole que nous suivons pour atteindre la Croix Saint Rémy dans le Bois de Saulxures. Cette croix du XVIIIème siècle dont le fût à quatre côtés repose sur un soubassement carré, porte la date de 1818 qui correspond sans doute à la rénovation du monument après la Révolution. Derrière le Christ, une petite statuette de Saint Remy repose sur un motif décoratif.
Ce vendredi 18 avril nous sommes 27 à Neuville-les-Vaucouleurs devant le monument aux ânes soldats. En 1916 pour ravitailler les premières lignes, on a importé des milliers d’ânes d’Afrique du Nord. De petite taille, endurants et dociles, ils permettaient un passage discret à l’intérieur des tranchées. Malgré la mitraille, ils étaient chargés de ravitailler les premières lignes en nourriture, petites munitions,…. Comme les soldats, ils «étaient mal nourris, blessés par les tirs et les éclats d’obus, accidentés sur les terrains défoncés par les obus.
En ce beau lundi ensoleillé, Jean Marie nous propose une rando en partie inédite depuis Vignot.
Nous sommes 56 au départ du parking de la Salle des Ouillons. Patrick guide le 1er groupe de 20 pour une distance de 11.5 km et Jean Marie conduit le 2ème groupe de 36 pour 9.8 km.
Après la traversée des faubourgs de Vignot, nous entamons une longue montée en pente douce dans le Fond de Noblanvau, où nous apprécions les bons chemins bordés de tapis d'anémones.
Ce vendredi 11 avril est estival, nous sommes 32 sur la place Cugnot, dont un très jeune participant, le neveu de Nathalie et Michel âgé de 13 ans qui nous a accompagné sur ce parcours inédit, tracé par Bernard, circuit qui pourrait être validé et marqué par notre équipe de baliseurs. Après avoir traversé le ruisseau la Méholle, nous le suivons un moment par la rue la Pierrerue. Nous passons sous la nationale 4, pour rejoindre les hauteurs par le bas de la haie Brocheville. Avant le sommet, les premiers ont la chance … ou pas de voir une magnifique vipère, qui ne demanda pas son reste et rejoignit rapidement la forêt au travers des hautes herbes. Nous continuons sur des chemins en plein bois, mi- ombragés, secs et très bien entretenus. Arrivés à la Cornée, nous rejoignons un chemin blanc, avec vue sur Laneuville au Rupt. Nous faisons 2 kilomètres sur ce chemin, pratiquement en ligne droite. Nous entrons dans Void par le Faubourg Cailloux. De là, nous passons devant la maison de Bernard, où nous sommes invités à un goûter très apprécié et délicieux sur la terrasse de leur superbe maison. Merci à Véronique et Bernard pour leur accueil très sympathique et chaleureux. Après la collation, Bernard nous ramène aux voitures par quelques chemins détournés.
Ce lundi 07 avril, le soleil et les températures clémentes sont au rendez vous. Malgré cette météo confortable, nous ne sommes que 36 pour arpenter les bois d'Epiez puis ceux de Burey. Un grande partie de nos randonneurs du lundi s'est rendue aux obsèques d'Emilien pour partager l'immense tristesse de sa famille.
Nous partons en 2 groupes de la côte 356, le premier compte 16 marcheurs pour un parcours de 11 kms, guidé par Patrick. Dans le second, nous trouvons les 20 autres randonneurs qui feront pratiquement 10 kms avec Jean Marc à leur tête.
Les chemins bien secs sont très agréables, nous offrant des parcours souvent mi ombragés, que tout le monde apprécie. Après le bois d'Epiez, nous nous retrouvons dans le village, nous remontons vers le coin de Brois, avant de redescendre vers la chapelle de Sainte Anne par le bois de Burey. Un agréable moment.
Ce vendredi 4 avril très ensoleillé nous sommes 28 devant le cimetière pour un parcours à plat de 7,7 km qui nous mène à la Croix Mairel près de la gare de frêt puis qui longe le canal de l’Est, passe le Ruiseau de Frasne, traverse la plaine d’Aviot jusqu’au Gros Bloc puis revient par le cimetière du choléra et la Grande Croix.
Au cimetière où nous laissons nos voitures, nous apercevons la croix de mission, premier des calvaires du village qui en compte beaucoup comme celui qui s’élève à proximité d’un ancien cimetière où ont été inhumés les morts du choléra lors de deux épidémies au XIX° siècle, ou la croix Mairel, ou la croix Châtel ou croix St Jean, ou la Grande Croix, ou la croix Charles.
Rando de 5.8 km aller et retour, guidée par Gérard entre le Bois d'Epiez et le village d'Amanty.
Sous un beau soleil et un vent frisquet, les 21 marcheurs cheminent jusqu'à l'église d'Amanty qui était ouverte .
Après la pause et la photo devant le lavoir, retour par le même chemin.
Ce lundi 31 mars ensoleillé nous sommes 62 à Greux pour un parcours de 11 km (12 km pour les 21 plus courageux) qui nous conduit d’abord à Domrémy-la-Pucelle. L’église Saint Rémy a été transformée à plusieurs reprises comme l’indiquent les dates figurant sur les clefs de voûte. Seraient contemporains de Jeanne d’Arc : la grande voûte, les piliers, le bénitier, une statue de Sainte Marguerite du 14ème siècle, et la cuve baptismale qui se présente comme un bloc de calcaire octogonal.
Ce vendredi 28 mars ensoleillé nous sommes 37 au refuge des chasseurs de Maxey sur Vaise au lieu-dit la Scée pour un parcours de 7,8 km entièrement dans les bois. Nous marchons d’abord vers deux des fontaines qui entourent Maxey : la Fontaine de l’Erable et la Fontaine de la Chavée. Le soleil a fait s’épanouir autour de nous Violettes, Scilles et Pervenches bleues, Anémones blanches et Coucous jaunes. Puis nous nous dirigeons vers le Vau de Bure et ensuite vers la Voie des Charmes. Les chemins portent les empreintes du fouissage des sangliers.
Nous sommes 16 (+1) au départ à l'entrée du village pour une rando guidée par Jean Marie (le pagnotin). Nous longeons le canal jusqu'à l'usine de récupération de métaux et c'est là que nous rejoint le n° 17 : Bernadette que nous avons tous plaisir à retrouver après sa convalescence.
Après la pause friandises, nous cheminons lentement jusqu'au port et nous terminons notre circuit par un petit tour dans les arrières du village.
Une belle rando de 5.2 km, tout à plat, par un temps idéal avec du soleil jouant à cache-cache.
Suite à un désistement de dernière minute, nous sommes 62 au départ de Vaucouleurs pour la journée au Lac du Der.
Le premier groupe de 44, guidé par Denis démarre de la Maison forestière de Beaulieu pour un parcours de 9.5 km. Le deuxième groupe de 18, guidé par Jean Paul démarre plus loin pour un parcours de 6.5 km.
A travers bois, puis campagne, nous arrivons au lac en allant jusqu'à l'église de Champaubert qui a été déconstruite, puis reconstruite au bord du Lac en souvenir du village englouti.
Dès l'après-midi, les baliseurs du Pied Champêtre ont fléché le parcours de la marche nocturne organisée par les écoles en vue de financer un voyage à Guédélon (Yonne) où se termine un chantier de construction d'un château-fort suivant les techniques du Moyen-âge.
A la tombée de la nuit, 210 marcheurs sont prêts pour la montée vers le plateau de Bussy avec un premier ravitaillement au stand de tir.
Environ les 3/4 suivent le parcours de 4 km et redescendent en empruntant le parcours de santé.
L'autre quart, soit une cinquantaine de personnes dont des enfants de 5 ans, empruntent le parcours des 10 km en passant devant l'ancienne ferme de Burniqueville avec quelques gouttes de pluie, puis Montigny où la municipalité nous a accueillis chaleureusement avec un ravitaillement bien garni.
Retour par le GR 703 et arrivée à la Salle des Fêtes avec un verre de soupe offert, puis possibilité de se rassasier avec croque-monsieurs, pizzas, quiches, crêpes et bière pression.
Merci aux organisateurs et aux marcheurs qui ont eu plaisir à participer à une belle action.
Ce vendredi 21 mars nous somme 38 à Villeroy sur Méholle pour un parcours de 7,6 km. La Méholle vient grossir la Meuse. Sa vallée est presque entièrement occupée par le canal de la Marne au Rhin qui y débouche en provenance de la vallée de l’Ornain par le tunnel de Mauvages. La Méholle prend sa source dans les bois sur le territoire de Mauvages. Longue de 17,7 km, elle baigne Mauvages, Villeroy sur Méholle, Sauvoy, et Void-Vacon où elle se jette dans le Vidus puis dans la Meuse.
Ce mercredi 19 mars sous un soleil radieux, nous sommes 21 devant l’église de Rigny St Martin pour une balade de 5 km qui nous conduit à Rigny la Salle. L’église Saint Martin de Rigny-Saint-Martin, construite en 1849 et restaurée en 1893, est de forme ronde rarissime.
Nous empruntons le chemin des morts. La peste entre 1630 et 1640 a donné au chemin entre Rigny la Salle et le cimetière qui se trouvait situé à Rigny Saint Martin, le nom de chemin des morts. Nous arrivons à Rigny la Salle devant la Croix érigée par la famille Gastiner en remerciement pour avoir été épargnée par l’épidémie de choléra de 1854.
Ce lundi 17 mars très ensoleillé nous sommes 67 à Saulxures les Vannes pour un parcours de 9 km (11 km pour les 23 plus courageux). Par ce temps clair, la vue sur la vallée vers Barisey au Plain jusqu’à Colombey les Belles est bien dégagée. Nous partons sur le chemin qui relie Saulxures à Sauvigny en laissant le Bois des Seigneurs de côté pour arpenter le Bois de Saulxures bien entretenu et lumineux. Nous traversons la Tranchée des Cosaques. Notre parcours nécessite une modification qui nous permet d’emprunter des chemins larges et agréables pour rejoindre la Ligne du Té que nous suivons puis nous traversons le lieu-dit Les Fagivaux en direction de Mont l’Etroit.
Nous sommes 23 en service commandé pour cueillir des jonquilles destinées à la décoration des tables du repas de l'AG du lendemain.
Sur la première moitié du parcours, nous suivons de beaux chemins blancs bordés de restes de neige. Par un temps frisquet, nous profitons d'un soleil timide qui réchauffe l'atmosphère.
En fin de parcours, nous arrivons dans la même zone de jonquilles que lundi, mais par un chemin différent.
Dans les immenses parterres de jonquilles bien fleuries, nous faisons notre cueillette qui va enchanter la responsable de la décoration.
Une belle rando agréable de 7.6 km à plat, agrémentée de montagnes russes en fin de parcours.
Nous sommes 19 courageux au départ de Montigny les Vaucouleurs sous un froid sibérien.
Nous rejoignons le village le long du ruisseau, puis direction le Trou du Loup et les vestiges (tour carrée) de l'ancienne ferme Becker à Burniqueville
Randonnée de 5 km avec peu de dénivelé.
Martial
Ce lundi 10 mars pluvieux nous sommes 48 dans le Bois d’Abainville près d’Amanty pour un parcours de 9 km (10 km pour les 17 plus courageux) mais surtout pour cueillir des jonquilles. Ce « Narcisse Trompette » jaune, présent en Europe comme en Asie, tire son nom de la légende de Narcisse, jeune homme d’une grande beauté amoureux de lui-même, mort de cette passion, dont le corps fut trouvé sur un parterre de ces fleurs. L’appellation jonquille en France daterait de 1596.
Ce vendredi 07 mars, sous un soleil radieux et un ciel d'un bleu … nous sommes 34 à stationner devant l'église remarquable de Rigny Saint Martin. Le parcours de 7.7 Kms avec un dénivelé de 146 m, nous emmena sur Gibeaumeix en suivant l'Aroffe. S'en suivit une belle petite grimpette que chacun put effectuer à son rythme. Après une partie propre et sèche, un chemin gras, alimenté par différentes sources, nous permit de rejoindre la dernière descente. C'est toujours sous un ciel sans nuage et une température très douce appréciée de tous que nous rentrons dans Rigny Saint Martin après 2 heures de bonne randonnée.
Jean Luc
Nous sommes 24 marcheurs, dont 6 hommes, au départ du parking des jonquilles au-dessus d'Amanty pour un parcours de 5,600 kms .
A la fin de la rando, c'est la cueillette traditionnelle des jonquilles déjà bien fleuries .
Ce soleil radieux nous a fait rencontrer de nombreux cueilleurs dans le bois.
Jean Paul
Ce lundi 3 mars très ensoleillé nous sommes 64 devant l’église de Vacon pour un parcours vallonné de 9,8 km (11,2 km pour les 20 plus courageux)
Tout près de Vacon se trouve le berceau des abbayes des Prémontrés en Lorraine. Vers 1140, des chanoines réguliers de l’Ordre des Prémontrés, installés à Gévaux à quelques kilomètres de Commercy, vinrent s’installer à Rieval (commune de Mesnil la Horgne) sur proposition de Renaud Comte de Bar et de son épouse Gisèle de Vaudémont. Pour la fondation, seigneurs, chevaliers, bourgeois et paysans faisaient des dons qui pouvaient être un fief (terre, domaine), une vigne, un pré, un moulin, ou une portion de bois.
Ce vendredi 28 février nous sommes 38 à Trondes pour un parcours de 7,6 km qui nous conduit à Laneuveville-derrière-Foug.
Des vestiges gallo-romains attestent de l’ancienneté de Trondes dont le saint-patron est Saint Elophe. L’église, construite à partir de 1340 à l’emplacement d’une ancienne église romane, lui est dédiée. Elophe, né en Lorraine, fut décapité en 362 une semaine après sa sœur Libaire.
Ce lundi 24 février nous sommes 54 à 2 km à l’intérieur du Bois de Rigny la Salle pour un parcours vallonné en forêt de 10 km environ (11,8 km pour les 21 les plus courageux) à la recherche des nivéoles.
Lassés de l’hiver nous guettons les signes précurseurs du printemps. Quelques pâquerettes et primevères ont fait leur apparition mais nous recherchons la profusion des nivéoles. Proches des perce-neige, ces petites plantes sont les premières à tapisser les bois avant les lumineuses jonquilles, les blanches anémones et les pervenches bleues. Six pétales blancs terminés en pointe verte forment une cloche pendante au bout de la tige. A l’intérieur les étamines sont jaune vif.
Ce vendredi 21 février ensoleillé et doux nous sommes 27 à Chalaines pour un parcours de 7,5 km. Nous empruntons d’abord le GR 703 qui nous fait passer de la vallée de la Meuse à la vallée de l’Aroffe. L’Aroffe long de 50 km prend sa source à Beuvezin (54). Il disparait par endroit sous terre à partir de Gémonville et réapparait à Barisey au Plain. A Rigny Saint Martin il reçoit le ruisseau Saint Fiacre et prend le nom de Baumelle puis de Goulot de Meuse. Il se jette dans la Meuse à Rigny la Salle (55). Mais une autre partie de l’Aroffe va dans la Moselle. Pour rejoindre la Moselle l’Aroffe devient souterrain et ressort, mêlé aux nombreuses sources du bassin de Bouvade, à Crézilles (deuille de Crézilles), à Moutrot (trou des Glanes, trou du Chahalot) et à Ochey (deuille d’Ochey). Il se jette finalement dans la Moselle par le Larot à Pierre la Treiche et par le Chaudeau à Bicqueley/Toul.
Nous sommes 18 au départ de Sauvoy derrière le château. Nous longeons le canal de la Marne au Rhin jusqu'à l'ancien Café de la Marine.
Puis nous marchons jusqu'au château de Béhilleux. Retour en longeant la rigole d'alimentation du canal.
Belle petite marche de 5 km sous un soleil timide, mais agréable.
Martial
Ce lundi 17 février ensoleillé nous sommes 59 à l’entrée de Blénod les Toul au carrefour avec la D 114 venant d’Uruffe, pour effectuer un parcours de 9,5 km (11,6 km pour les 14 courageux).
Blénod a vu naître Hugues des Hazards, Evêque de Toul, qui construisit l’église Saint Médard. En 1516, il a récompensé les « manants » et habitants de Blénod pour l’aide apportée dans les constructions de l’église, du palais épiscopal et les réparations de la forteresse, en leur octroyant le droit de bâtir loges et maisonnettes dans son château sans qu’ils aient à payer de redevance.
Ce vendredi 14 février froid nous sommes 32 au lieu-dit les 4 Bans sur la D113 entre Vannes et Blénod. Notre parcours de 7,6 km se déroule dans le Bois de Vannes et commence au totem pyramidal qui marque l’une des entrées du circuit balisé Cœur de Vert au sein de la forêt de Meine. Ce circuit est ponctué par des stèles évoquant les insectes et les animaux de la forêt. Nous abandonnons rapidement ce sentier balisé pour rejoindre en fond de vallée un chemin large et bien entretenu dont la particularité est de former une boucle de 6 km. Il coupe des sommières aux noms évocateurs : sommière de la Bellière, sommière des chaufours, sommière du cul de sac. Les arbres qui nous entourent sont nus et le sol tapissé de feuilles mortes mais les fleurs vert tendre des nombreux hellébores au bord de notre route témoignent de l’imminence du printemps.
Le soleil du départ nous a abandonné en cours de balade mais les nombreuses friandises offertes au long du parcours ont contribué à nous réchauffer.
Mireille
On ne peut plus se fier à la métèo qui avait prévu la fin de la pluie à 14h00, car en réalité la pluie s'est arrêtée à 14h15 au moment du départ. C'est pour cette raison que Denis se retrouve comme un coq en pâte avec 7 courageuses marcheuses.
Le petit groupe suit au début le même parcours que vendredi en empruntant la variante du GR 703 en pente douce jusqu'à l'entrée de la forêt domaniale de Montigny. Le rythme est "pian pian" avec trois arrêts friandises...
Le chemin du retour a été perturbé par des inquiétudes : une avait perdu son écharpe et l'autre son téléphone (qui ne sonnait pas malgré les appels).
La pluie est juste revenue dans la descente vers Montigny, où nous sommes accueillis avec les 4 coups de 16h00 après un parcours de 5 km.
Le premier réflexe a été de vérifier que les "objets perdus" avaient été oubliés bien au sec dans les véhicules!!!
Ce lundi 10 février, sous la pluie, nous sommes 47 à Troussey pour un parcours en plaine de 9,5 km pour 31 marcheurs et 11,8 km pour les 16 les plus courageux.
En 2016, un habitant de Troussey, passionné, nous avait raconté son village dont une douzaine de maisons ont conservé les traditionnelles niches occupées par la statue d’un saint protecteur. L’histoire de l’église Saint Laurent est marquée par les guerres qui ont ensanglanté la région au fil des siècles.
En ce vendredi sans brouillard, nous sommes 34 au départ de Montigny pour une rando de 7.5 km vers la Forêt Domaniale.
Pour guider la rando, Denis est assisté par Fabienne qui est en formation pour le certificat d'animateur. Ayant déjà préparé son tableau de marche, elle mesure l'azimut au point de départ. et nous voilà parti en suivant la variante du GR 703. Pour entrer dans la forêt et à chaque changement de direction, Fabienne prend l'azimut et nous donne la bonne direction.
Ce mercredi 5 février nous sommes 20 sur le sommet de la Côte des Vignes pour un parcours de 5 km. Nous nous acheminons dans un brouillard épais vers l’ancienne Batterie de Pagny, poste avancé du Fort de Pagny. A 353 m d’altitude, nous devrions évoluer dans un décor très minéral d’éboulis de calcaire blanc, résultat de l’érosion par la rivière de Chêtre, affluent de la Meuse, qui coule au pied de la côte ainsi que de la désagrégation du calcaire par la pluie et le gel. Nous devrions profiter au sud-ouest d’un point de vue sur la vallée de la Meuse, Taillancourt, Montbras et son château typiquement Renaissance. Eu égard à la brume qui nous enveloppe et nous prive de tout panorama, nous renonçons à aller jusqu’au terrain de décollage des parapentes.
Nous revenons vers le Fort de Pagny aujourd’hui propriété privée et passons non loin de la Batterie d’Uruffe, poste avancé du Fort vers la vallée de l’Aroffe, Vannes le Chatel, et au loin Colombey les Belles. Mais de tout cela nous ne verrons rien aujourd’hui.
Tant pis, ce sera pour une prochaine fois. Nous avons marché en bavardant et c’est l’essentiel.
Mireille
Ce lundi 3 février très brumeux nous sommes 65 à Ménil la Horgne pour un parcours de 10km (11,5 km pour les 21 plus courageux d’entre nous) qui nous conduit à Méligny le Grand.
Ménil la Horgne a été construit sur le site de l’ancienne Abbaye de Riéval fondée au XIIème Siècle qui disparut définitivement dans un incendie en 1830. Les fonts baptismaux de l’Eglise paroissiale St Bénigne construite en 1840 proviennent de cette abbaye. Près de l’église se trouve le buste de Dom Calmet né dans ce village en 1672.
Fils du maréchal-ferrant, il entre à 15 ans à l’Université de Pont à Mousson. Bénédictin, il prononce ses vœux à l’Abbaye St Mansuy de Toul en 1689. Il est successivement nommé prieur à Lay St Christophe, puis abbé de St Léopold de Nancy et abbé de Senones en 1728.
Ce vendredi 31 janvier nous sommes 39 à Mauvages pour un parcours de 7,5 km.
Nous laissons nos véhicules devant l’église Saint Pantaléon du XIIIème siècle reconstruite au XVIIIème siècle qui a gardé, d’un sanctuaire d’origine, un portail roman du XIème siècle. A côté se trouve la remarquable fontaine du Deo réalisée en 1831. Les travaux furent confiés, non pas à un entrepreneur local mais à un architecte célèbre dans la Meuse Théodore Oudet. Pour cet ouvrage, Oudet, formé à Paris, a été influencé par l’égyptomanie qui a suivi la campagne d’Egypte de Bonaparte et les travaux de Champollion. Ainsi devant un péristyle orné de quatre colonnes se tient un serviteur égyptien vêtu d’un simple pagne portant deux jarres dont l’eau s’échappe.
Ce lundi 27 janvier nous sommes 57 sur l’aire de pique-nique (D964) près de Burey la Côte pour un parcours de 9 km (plus des 10,5 km prévus pour les 20 plus courageux contraints de changer de parcours en raison d’inondations).
Depuis le parking nous montons dans le Bois de Burey la Côte par le lieu-dit Devant le Bois. Nous déambulons sur plus de 2 km avant de retrouver très brièvement le GR 703 GRP Jeanne d’Arc. Une partie d’entre nous choisissent d’éviter le relief et de rejoindre tout droit le lieu-dit le Vigneux. Les autres s’engagent dans une belle descente, un peu de plat en fond de talweg et une montée bien raide au lieu-dit les Gravinottes.
Ce vendredi 24 janvier nous sommes 30 devant le lavoir de Burey en Vaux pour un parcours de 7,96 km. Le lavoir a été construit de 1847 à 1849. La maçonnerie est en pierre d’Euville. Tout à côté on nous désigne les ruines d’une maison où auraient demeuré la sœur d’Isabelle Romée, mère de Jeanne d’Arc, et son époux Durant Laxart.
Burey faisait partie de la seigneurie de Vaucouleurs détenue par les Sires de Joinville qu’ils ont cédée au Roi de France au milieu du 14ème siècle par échange de terres.
Nous sommes 23 au départ d'Ugny sous la conduite de Jean Paul.
Petit circuit dans le centre ville du village puis direction Saint Germain par l'ancienne voie ferrée.
Un petit tour dans Saint Germain, puis retour par la voix ferrée en raison des chemins impraticables
Randonnée très agréable sous un soleil timide mais réconfortant
Martial
En ce lundi frais et brumeux, nous sommes 61 (18+43) à proximité du pont de Champougny pour une rando de 9.6 km et 11.7 km pour les plus vaillants. Après la traversée du village nous montons sur de bons chemins en pente douce et régulière vers le Fort de Pagny.
Ensuite ça se gâte : après le passage du troupeau de moutons de la Biquotte, le chemin est rendu glissant. Puis au lieudit La Croix Gérard sur le territoire d'Uruffe, nous empruntons un chemin récemment labouré sur une grande partie : un vrai parcours du combattant. Sur le plateau, certaines parties de chemins sont rendus glissants et collants par l'effet du dégel, d'où du grognement dans les troupes...
Par une longue descente nous arrivons sur la RD 145 que nous suivons sur 1 km pour arriver bien contents à Champougny, mais avec des chaussures bien crottées...
Ce vendredi 17 janvier nous sommes 30 au bord de l’étang de Létange pour une balade de 7,4 km noyée dans la brume. Nous suivons la rive de l’étang puis le cours du Ruisseau de Létange avant de s’enfoncer dans le bois de Bulligny sur le chemin de la Cousan laissant la source du Rupt et la Fontaine du Muty pour une autre randonnée.
Arrivés au refuge des chasseurs nous commençons la descente assez raide vers Bulligny d’abord sur un chemin empierré puis bétonné et enfin goudronné. Au passage nous saluons le monument de la Pieta qui commémore la guerre de 1940-1945.
Ce lundi 13 janvier, froid mais très ensoleillé, nous sommes 55 dans le Bois de Rigny la Salle au lieu-dit « Sur les Monts » où se trouve le Monument du Sacré Cœur, stèle en pierre d’Euville surmontée d’une statue du Christ. L’abbé Laqueste lors de la guerre 14-.18, fit le vœu d’ériger une chapelle dédiée au Sacré Cœur si ses paroisses d’Ugny et des deux Rigny étaient épargnées par la guerre. Il fut exaucé mais il n’a pu collecter une somme suffisante pour une chapelle, et a érigé cette stèle inaugurée le 6 Septembre 1936.
Ce samedi 11 janvier nous sommes 53 au monument aux morts de Vaucouleurs armés de nos lampes de poche pour une marche nocturne de 7 km destinée à ouvrir les appétits avant la dégustation de la soupe aux pois. Prenant l’ancienne voie romaine vers la Maison de Retraite puis l’ancienne route de Joinville nous nous hissons à travers bois vers le Plateau de Bussy avant de revenir vers le Chemin du Grand Ban. Après une incursion parmi les jardins du Chemin des Plantes nous contournons le collège. Le Chemin de Grivaux nous mène à la D960 que nous abandonnons vite pour entrer dans la zone lotie par les rues Charles Péguy et Victor Hugo puis la rue du Manège nous conduit aux rues de La Fontaine et de Molière. Enfin nous faisons le tour du Champ Bojot pour retrouver l’Avenue de Domrémy.
Ce vendredi 12 janvier nous sommes 32 à Ville Issey pour un parcours de 7,5 km. La Meuse ayant débordé sur plusieurs routes, nous avons dû passer par Commercy et traverser Euville, célèbre pour sa pierre, pour rejoindre Ville Issey.
Napoléon III a demandé à son Préfet, le baron Hausmann, de faire de Paris une capitale moderne. Une première série de travaux est lancée dès 1853. En 1853 la société Civet expédie depuis la toute nouvelle gare de Commercy les premiers blocs de pierre d’Euville à Paris.
Ce lundi 6 janvier, un vent de tempête souffle et la pluie se déchaîne sur les 46 marcheurs au départ de Pagny sur Meuse pour un parcours de 9 km (10,6 km pour les courageux). Nous passons à pieds mouillés sous la RN4 car la Meuse occupe le terrain. Peu après, la pluie cesse et le circuit, qui nous fait passer au pied de la carrière du Révoi jusqu’au Fond de Louvau, nous tient à l’abri du vent. Puis nous traversons la RN4 et la D400 pour rejoindre le canal de la Marne au Rhin.
Ce vendredi 3 janvier froid mais ensoleillé, nous sommes 31 au plateau de Bussy pour une balade de 7,8 km qui commence par une longue descente qui serpente dans Vaucouleurs jusqu’au Champ Bojot. Il s’ensuit une longue montée qui nous conduit au lieu-dit le Rosier Brûlé et nous offre une superbe vue au-delà de Vaucouleurs et de Chalaines sur les mamelons alentour qui culminent entre 300 et 400 m. La neige s’accroche aux sommets accentuant le relief. Toujours en grimpant, nous avançons au-dessus de Neuville-les-Vaucouleurs puis de Montigny-les-Vaucouleurs élargissant le panorama que referme le Bois des Hoëttes. Le GR 703 nous ramène à plat vers Vaucouleurs à travers le Grand Bussy aux arbres givrés. Bien que très sensibles aux charmes des coteaux et collines enneigés, les marcheurs ont beaucoup parlé de la soirée du Réveillon, de l’excellence du repas, de l’ambiance sympathique qui a prévalu, des rires et de la bonne humeur presque jusqu’au bout de la nuit. Voilà une année qui commence bien.
Mireille
Pour la dernière rando de l'année, Jean Paul guide les 23 marcheurs au départ de Neuville sur un parcours de 7.7 km.
Depuis le Monument des Ânes, nous suivons le chemin de la Corvée pour monter vers le Bois de Neuville où nous cheminons sur des chemins à plat.
Nous longeons le bois des Ossées en limite du bois des Houettes de Vaucouleurs. Après les pauses friandises, nous suivons le grand chemin en direction de Neuville avec de belles vues panoramiques ensoleillées sur la vallée de la Meuse.
A l'année prochaine pour de nouvelles randos.
Meilleurs Voeux à tous.
Beaucoup de marcheurs étant occupés à préparer le réveillon de Noël, nous n'étions que 19 au départ de Brixey aux Chanoines pour un parcours de 10.3 km.
Nous randonnons en un seul groupe vers le Bois de Brixey et après une seule montée, nous longeons la Côte Saint Gérard avec de belles vues panoramiques, sur la plaine de Ruppes, Punnerot, Clérey la Côte et Jubainville. Nous entrons dans le département des Vosges avec des traces de neige dans des chemins boueux par endroits après les pluies du week -end.
En arrivant à la chapelle de Beauregard, nous admirons la vallée de la Meuse inondée en direction de Neufchâteau. Par le chemin de Champ la Dame, nous rejoignons Brixey à la nuit tombante, où nous bénéficions encore de belles vues sur la vallée inondée.
Ce vendredi 20 décembre nous sommes 25 à Rigny Saint Martin pour un parcours de 8,4 km qui nous mène à Gibeaumeix. Nous prenons le chemin à la sortie du village qui se prolonge le long de la berge du ruisseau l’Aroffe.
La plupart des deuilles sont des résurgences de l’Aroffe, ruisseau long de 50 km, qui prend sa source à Beuvezin (54). Il traverse des communes en Meurthe et Moselle, dans les Vosges et en Meuse. L’Aroffe reçoit le Ru de Vicherey dans le village d’Aroffe, disparait par endroit sous terre à partir de Gémonville, réapparait à Barisey au Plain, reçoit des ruisseaux affluents à Saulxures, Housselmont, Allamps, Uruffe, et enfin à Rigny Saint Martin le Saint Fiacre. Dès lors il se nomme Baumelle puis Goulot de Meuse. Il se jette dans la Meuse à Rigny la Salle (55).
Pour la dernière rando douce de l'année, nous sommes 17 pour un parcours de 4.5 km dans les rues de Vaucouleurs.
Jean Marie nous guide vers Tusey, puis direction plein sud en longeant la déviation pour arriver au Champ Bojot pour la traditionnelle visite du Village de Noël. Lucette, Marie Ange et Sylvie, nous accueillent chez nos hôtes du jour.
Nous admirons l'oeuvre entièrement fabriquée des mains de Noël et Christine. Tout a commencé par une crèche et au fil des années, de nouveaux modules sont ajoutés. 400 santons + les animaux y trouvent leur place dans des décors de Provence ou de la région sans oublier notre Jeanne d'Arc. Une véritable oeuvre artistique qui a nécessité des centaines d'heures de travail et de patience avec encore plein de projets d'extension pour les prochaines années.
La visite se termine par une collation avec vin chaud préparée par Lucette et ses amies.
Un Grand MERCI pour cet accueil chaleureux et félicitations pour le travail accompli.
A l'année prochaine pour une nouvelle série de randos douces.
Ce lundi 16 décembre nous sommes 61 à l’ancienne gare de Maxey sur Vaise pour un parcours de 8,5 km (10 km pour les courageux). Les régionaux de l’étape s’affairent à la préparation du goûter de Noël dans la salle des fêtes prêtée gracieusement par la Mairie que nous remercions. Nous, les marcheurs, traversons la D964 et nous dirigeons vers la Croix Saint Matthieu près de la chapelle Notre Dame des Grâces (16ème siècle). Nous suivons le chemin Sous la Scée et grimpons jusqu’à la Source Salmon puis la descente nous offre une agréable vue sur Taillancourt et le château Renaissance de Montbras . Sans entrer dans Taillancourt nous suivons le chemin dans la plaine vers la salle des fêtes.
Ce vendredi 13 décembre nous sommes 32 à Ourches pour un parcours de 8 km. Notre circuit commence par une côte qui passe devant le château d’Ourches.
En 1229 la maison d’Ourches est donnée à Rémy d’Ourches, écuyer, grand serviteur de l’Etat qui organise en 1239 la rencontre à Vaucouleurs entre Saint Louis et Frédéric II. En juin 1239 il part en croisade avec Henri II de Bar qui mourra à Gaza et Thibaut IV de Champagne avec lequel il revient en 1241. Puis Rémy d’Ourches repartira avec Saint Louis pour la 7ème croisade et mourra à Damiette.
Nous sommes 27 pour une petite marche dans les rues de Rigny la Salle sous la conduite de Jean Marie.
A 15h00, nous nous dirigeons vers la fabrique de boîtes en bois, où nous sommes accueillis par Pascal Aubry qui nous explique les différentes phases de la fabrication.
Visite très agréable qui se termine par un goûter offert par la direction.
Martial
Ce 9 décembre nous sommes 56 à Goussaincourt pour un parcours de 10,2 km (11,4 km pour les courageux).
Si vous passez par GOUSSAINCOURT, vous remarquerez l’église du XVème reconstruite en 1782 et les statues des jumeaux Saint Gervais et Saint Protais qui ornent la fontaine élevée au 18ème siècle sur la source du ruisseau du village. Quant au château construit au 14ème siècle, il a été remanié au 16ème, 17ème et 18ème siècle et restauré par son propriétaire actuel.
Sur 61 inscrits, nous n'étions plus que 56 au moment du départ de Vaucouleurs en direction de Scy Chazelles pour une rando matinale.
Sur un parcours à plat de 7 km, nous longeons la Moselle sur la voie verte pour arriver à Metz à midi pile, où nous attendait une excellente choucroute à la Brasserie du Rond-Point.
L'après-midi était réservé à une visite guidée en deux groupes organisée par l'Office de Tourisme. Entre la Gare de Metz, la Cathédrale, les rues historiques, nous avons bénéficié d'explications historiques et architecturales.
Nous avons terminé la journée par une visite rapide du Marché de Noël et dégustation de vin chaud. avec en final la traversée du magnifique Sentier des Lanternes.
Encore une belle journée entre amis, où nous avons bénéficié d'un temps idéal , frais sans une goutte de pluie.
Ce lundi 2 décembre nous sommes 57 à Gondrecourt-le-Château pour un parcours de 9,6 km (10,7 km pour les courageux). Nous n’entrons pas dans la ville et ne verrons pas la Tour Ronde du XVème siècle, dernier vestige d’un ancien château fort érigé au XIème siècle et démantelé sur ordre de Richelieu en 1633.
Nous montons par le lieu-dit la Molière pour rejoindre le chemin qui descend vers le lieu-dit le Chêne Pouilleux. Puis nous suivons La Grande Vallée (nous traversons la D193) jusqu’au niveau du Boudapré. Nous nous dirigeons par le Fond des Mandes vers la D193 que nous empruntons brièvement et prenons le chemin entre Champ des Fèves et Grange aux Chiens pour regagner Gondrecourt.
Ce vendredi 29 novembre ensoleillé, nous sommes 32 au cimetière entre Sorcy et St Martin pour un parcours de 8,8 km.
Le village primitif de Sorcy était situé en hauteur sur la colline Saint Jean. C’est vers le Xème siècle que celui-ci s’établit à l’endroit actuel par l’édification d’un château auquel se sont greffés fermes, moulins etc…La seigneurie de Sorcy a compté jusqu’à 5 châteaux : le Gros château, le Petit château, le château Emi, le château Bas, et le château Saint Vincent. Cinq seigneuries se partageaient Sorcy. Au cimetière, où nous laissons nos voitures, nous apercevons la croix de mission, premier des calvaires qui caractérisent le village: la Croix Mairel, la Croix Châtel, la Grande Croix, et la Croix Charles.
Nous sommes 18 au départ de Vannes le Chatel. Nous débutons, après un contrôle technique des bretelles des sacs à dos, sous un soleil radieux.
Après quelques kilomètres, nous rencontrons un équidé en liberté qui s'intéresse aux friandises de nos sacs. Nous tentons de le remettre dans son parc sans succès.
Nous arrivons dans les cités ouvrières des cristalliers où nous nous arrêtons devant l'ancien café de Marie Jeanne.
A la fin de la marche de 5.5 km, la pluie s'invite jusqu'au parking, puis visite de l'exposition du CERFAV
Martial
Ce lundi 25 novembre après un long cheminement en voiture entre le Bois de Longor et le Bois de Moncel, nous sommes 34 près de Lay-St–Rémy au lieu-dit La Haie du Chenet dans le Val de l’Ane pour un parcours dans le Bois de Grammont de 10 km (12,5 km pour les courageux).
Au XIXème siècle, la découverte de galets siliceux provenant des Vosges dans les alluvions de la Meuse a apporté la preuve que le lit de la Moselle à l’époque préhistorique se trouvait entre Toul et Pagny sur Meuse dans le Val de L’Ane et que la Moselle se jetait dans la Meuse. La cause du changement de cap de la Moselle vers la Meurthe semble être l’affaissement du rift rhénan.
Ce vendredi 22 novembre clair nous sommes 33 sur la grand’ place de Taillancourt à vouloir braver le froid durant 7,5 km pour ensuite fêter le Beaujolais.
Nous passons devant le lavoir construit au 18ème siècle et restauré en 1853 par Merdier. Le toit couvert en tuiles violon est surmonté par un lanterneau en surélévation éclairant le bassin par le haut en complément des quatre baies rectangulaires percées sur le côté. La charpente de chêne est impressionnante.
Ce lundi 18 novembre nous sommes 52 sous la halle de Vannes-le-Chatel pour un parcours de 9,6 km (11,7 km pour les courageux).
Dès le début du 14° siècle, la seigneurie de Vannes a appartenu aux de Ligniville. Jean-Jacques De Ligniville, en 1571, reconstruisit le château ancestral et édifia la chapelle seigneuriale et le caveau familial. Ses descendants se sont succédés jusqu’à Jean-Jacques III qui vendit la seigneurie de Vannes à Bernard de Rheims, dont le fils épousa Rose de Barbarat de Marizot. Celle-ci posa en 1765 la première pierre de la verrerie de Vannes, située sur le territoire d’Allamps, mais dont le nom vient de celui de la seigneurie. Rose vendit la verrerie à M de Saint Léger en 1775. Il la céda en1788 à Nicolas Griveau qui mourut en 1823.
Ce vendredi 15 novembre nous sommes 34 à Void au pied de la RN4 pour un parcours sans dénivelé de 8,2 km. Nous passons devant le cimetière et longeons la RN4 avant d’obliquer vers le lieu-dit Becs des Cygnes, puis la Babelotte où nous rejoignons la Meuse, et retour par la Laie, Quintainaux, les Planchottes et Faucompierre.
L’histoire de Void remonte à l’occupation par les Romains. Une ville nommée Noviantum se trouvait alors sur la voie qui reliait l’oppidum de Boviolles au Châtel de Sorcy. Au 11ème siècle Noviant a périclité et une nouvelle cité, Vedum (Void), possession de l’Evêché de Toul, a prospéré.
Ce lundi 11 novembre nous sommes 23 à Vaucouleurs dans la bruine pour un parcours de 9,5 km qui nous conduit à Tusey.
A Tusey, les Carolingiens (règne 751 - 987), avaient déjà construit un palais. Au 10ème siècle, le roi de France Charles le Simple (règne 893 – 923), donna à son épouse, sœur du roi d’Angleterre, le domaine royal de Tusey qui englobait le hameau de Vaucouleurs. A partir du 16ème siècle, Tusey a eu son église, dédiée à St Rémi, qui fut l’église-mère de Vaucouleurs.
Ce vendredi 8 novembre embrumé, nous sommes 34 à Sepvigny pour une balade de 7,8 km. Depuis le bord de la Meuse, nous contournons le village et traversons la D145 pour grimper doucement le Fond de la Vau jusqu’au lieu-dit Les Belles Bornes. Après la descente vers le « jardin des plantes grimpantes », on prend la direction de la ferme de la Biquotte. Avant de l’atteindre on tourne sur le large chemin qui descend la Côte Léja ce qui nous permet d’apercevoir dans la brume, la Meuse, Burey en Vaux, Neuville-les-Vaucouleurs, et Vaucouleurs. Prudemment nous suivons la D145 vers la Chapelle romane du Vieux Astre c’est-à-dire du vieux cimetière. C’était le chœur de l’ancienne église paroissiale de Sepvigny du 12ème siècle. Elle est décorée de remarquables fresques datées des 15ème et 16ème siècles.
Nous sommes 24 au départ de la Zone de Tusey pour une rando de 5 km tout à plat empruntant l'ancienne voie ferrée en direction d'Ugny.
Nous cheminons tranquillement sur un beau sentier en sous-bois en marchant sur les feuilles mortes en longeant par endroits la Meuse .
A proximité de l'ancien passage à niveau près d'Ugny, et après la pause friandises, nous retournons sur nos pas et ainsi les derniers se retrouvent les premiers...
Avec les papotements d'usage, nous arrivons à destination, satisfaits de ce bel après-midi automnal.
Ce lundi 4 novembre très brumeux, nous sommes 54 à Rosières-en-Blois pour un parcours de 9,5 km (plus de 11 km pour les courageux), qui nous amène à Gérauvilliers.
L’église de Rosières construite au XIIIème siècle, est dédiée à Saint Genebaud, neveu de Saint Rémi. Il fut nommé par ce dernier premier évêque de Laon bien qu’il eut déjà une famille. Mais après son ordination, alors qu’il avait fait vœu de chasteté, il eut encore deux fois des enfants ce que Saint Rémi sanctionna en l’envoyant pendant sept ans dans une cellule en pénitence. Genebaud mourut en 550.
Ce lundi 28 octobre très ensoleillé, nous sommes 59 à Chalaines pour un parcours de 10 km (plus de 11 km pour les courageux) qui relie les villages de Chalaines-Rigny Saint Martin-Rigny la Salle. Au départ à Chalaines, le lieu-dit Rouvel offre une belle vue sur Rigny Saint Martin, Rigny la Salle, la carrière de Saint Germain, Ugny, le haut du donjon du château de Gombervaux, et Vaucouleurs. On rejoint la sommière du Bois de la Fouée. Au milieu du bois on descend une pente raide qui mène sur le chemin bas. On foule bruyamment les feuilles mortes. On débouche sur la vallée de l’Aroffe avec vue sur les deux Rigny et Gibeaumeix au loin.
Nous sommes 36 à profiter de l'été indien au départ du sommet de la Blanche Côte. Nous descendons vers Champougny et seul un petit groupe fait un aller et retour vers la Chapelle Notre Dame des Affligés.
Ensuite nous montons en pente douce la vallée de Palinvau, puis nous bifurquons vers le Fort de Pagny.
Retour par le haut de la côte des Vignes, et passage devant l'ancienne Batterie de Pagny.
A l'arrivée, nous admirons les figures de quelques parapentistes survolant Pagny.
Un beau parcours de 7.5 km parcouru sous un chaud soleil automnal.
Sous un beau soleil automnal, 19 marcheurs se rassemblent devant l'église ronde de Rigny Saint Martin. Direction Rigny la Salle en empruntant le chemin à plat dit de la Voie des Morts.
Durant le parcours la troupe s'agrandit à 22, car Monique et ses 2 petits enfants viennent à la rencontre du groupe.
A Rigny la Salle, contournement par l'arrière en passant devant le terrain de foot en cours de tonte par le président du club local.
Retour à Rigny Saint Martin par le même chemin pour une distance totale de 5 km à allure adaptée.
Ce lundi 21 octobre très ensoleillé nous sommes 50 à Sionne (Vosges) pour un parcours de 10,6 km (12 km pour les courageux) qui nous a conduit d’abord par le Vau puis à travers le Bois de Sionne vers la ferme de Rorthey. La maison forte initiale appartenait à l’évêché de Toul au 11ème siècle. C’est Jeoffroy de Bourlemont qui a construit un véritable château fort au 13ème siècle. Aujourd’hui c’est une propriété privée.
A la fin du 16ème siècle, le destin des héritiers du château de Gombervaux proche de Vaucouleurs, a croisé celui des héritiers de Rorthey sur fond de guerre de religion. Philippe des Salles seigneur de Gombervaux, fidèle au catholicisme et au Duc de Lorraine, avait eu six enfants.